NUPES
Les barrages, les fronts républicains, c’est bon pour la droite. La gauche, elle, ne s’embarrasse pas de morale.
Il séduit des nostalgiques heureux de cette resucée inespérée des fadaises d’hier, revenues du diable Vauvert.
Selon eux, « les prémices de la préférence nationale guettent ».
Sous la tente avec les sans-abris, mais attablés au petit déjeuner dans une chic brasserie…
Le naufrage de la NUPES bâtie par Mélenchon accouche d’une nouvelle donne politique, avec ses atouts et ses risques.
C’est donc l’attaque terroriste du Hamas en Israël qui aura tout chamboulé.
Ça n’allait déjà pas fort à gauche, mais en un seul week-end, badaboum et patatras ! Récit.
La gauche planche sur une loi qui aurait pour but de « réprimer le climato-scepticisme dans les médias ».
Le message ahurissant de la NUPES ne rencontrera aucune opposition au sein du pouvoir exécutif.
Des invectives de l’Assemblée aux slogans anti-flics, les députés de la NUPES ont choisi la stratégie du chaos
L’extrême gauche ne recule devant rien.
La désertion de la commission par la NUPES a permis au gouvernement de se sauver, avec la complicité des LR.
La chasse à l’ultra-droite est ouverte. L’ultra-gauche NUPES peut continuer à frayer avec les antifas violents.
Ce pourrait être une non-affaire, mais c’est au contraire quelque chose de capital. Il ne s’agit pas d’une affaire de chiffons mais d’une affaire d’ordre ontologique.
Les écolos osent réclamer le droit d’être indemnisé pour paresser, mais qui payera ?
Au fond, c’est peut-être un SNU, qu’il faudrait au groupe NUPES tout entier.
Donc, c’est dit, sûr, c’est validé, c’est misogyne…
La NUPES, justement, voit la natalité comme une odieuse prise d’otage des femmes.
Philippe Bas, à l’origine de tant d’effusions dans les rangs de la NUPES, souhaitait-il marcher dans les pas de son mentor Simone Veil ou simplement faire parler de lui ?
Après tirage au sort surprise ce mardi, c’est la motion du groupe de Marine Le Pen qui a été choisie, envoyant celle défendue par la gauche aux oubliettes. Une situation qui fait les affaires du RN mais qui a mis la Nupes dans tous ses états.
Louis Boyard se prend pour Gavroche et Marine Tondelier pour Robin des Bois, Clémentine Autain a eu l’idée brillante de nationaliser une entreprise publique !
Comme d’habitude, les militants de l’ultra-gauche et les antifas, galvanisés par la NUPES, ont de leur côté provoqué, insulté et chargé les forces de l’ordre en semant le chaos…
« Les gauchistes vivent de la misère, c’est un business très juteux, mais le problème, c’est qu’ils ne savent pas à quoi ça ressemble. »
Au sein du parti de la pureté morale revendiquée, la faute est sans rémission.
Cette phrase pourtant simple tranche radicalement avec l’effacement généralisé de tout symbole chrétien.
Force est de constater que le risque de les voir marcher séparément pour se frapper entre eux est plus que jamais à l’ordre du jour…
Ainsi invitée dans des amphithéâtres, l’extrême gauche distille son idéologie anticapitaliste, wokiste et immigrationniste à un auditoire conquis.
La Macronie mime l’agitation face au désastre de l’immigration. Mais, en coulisses, le parti présidentiel s’emploie à bloquer les mesures les plus évidentes. Illustration emblématique ce 1er décembre après-midi à l’Assemblée.
Les barrages, les fronts républicains, c’est bon pour la droite. La gauche, elle, ne s’embarrasse pas de morale.
Il séduit des nostalgiques heureux de cette resucée inespérée des fadaises d’hier, revenues du diable Vauvert.
Selon eux, « les prémices de la préférence nationale guettent ».
Sous la tente avec les sans-abris, mais attablés au petit déjeuner dans une chic brasserie…
Le naufrage de la NUPES bâtie par Mélenchon accouche d’une nouvelle donne politique, avec ses atouts et ses risques.
C’est donc l’attaque terroriste du Hamas en Israël qui aura tout chamboulé.
Ça n’allait déjà pas fort à gauche, mais en un seul week-end, badaboum et patatras ! Récit.
La gauche planche sur une loi qui aurait pour but de « réprimer le climato-scepticisme dans les médias ».
Le message ahurissant de la NUPES ne rencontrera aucune opposition au sein du pouvoir exécutif.
Des invectives de l’Assemblée aux slogans anti-flics, les députés de la NUPES ont choisi la stratégie du chaos
L’extrême gauche ne recule devant rien.
La désertion de la commission par la NUPES a permis au gouvernement de se sauver, avec la complicité des LR.
La chasse à l’ultra-droite est ouverte. L’ultra-gauche NUPES peut continuer à frayer avec les antifas violents.
Ce pourrait être une non-affaire, mais c’est au contraire quelque chose de capital. Il ne s’agit pas d’une affaire de chiffons mais d’une affaire d’ordre ontologique.
Les écolos osent réclamer le droit d’être indemnisé pour paresser, mais qui payera ?
Au fond, c’est peut-être un SNU, qu’il faudrait au groupe NUPES tout entier.
Donc, c’est dit, sûr, c’est validé, c’est misogyne…
La NUPES, justement, voit la natalité comme une odieuse prise d’otage des femmes.
Philippe Bas, à l’origine de tant d’effusions dans les rangs de la NUPES, souhaitait-il marcher dans les pas de son mentor Simone Veil ou simplement faire parler de lui ?
Après tirage au sort surprise ce mardi, c’est la motion du groupe de Marine Le Pen qui a été choisie, envoyant celle défendue par la gauche aux oubliettes. Une situation qui fait les affaires du RN mais qui a mis la Nupes dans tous ses états.
Louis Boyard se prend pour Gavroche et Marine Tondelier pour Robin des Bois, Clémentine Autain a eu l’idée brillante de nationaliser une entreprise publique !
Comme d’habitude, les militants de l’ultra-gauche et les antifas, galvanisés par la NUPES, ont de leur côté provoqué, insulté et chargé les forces de l’ordre en semant le chaos…
« Les gauchistes vivent de la misère, c’est un business très juteux, mais le problème, c’est qu’ils ne savent pas à quoi ça ressemble. »
Au sein du parti de la pureté morale revendiquée, la faute est sans rémission.
Cette phrase pourtant simple tranche radicalement avec l’effacement généralisé de tout symbole chrétien.
Force est de constater que le risque de les voir marcher séparément pour se frapper entre eux est plus que jamais à l’ordre du jour…
Ainsi invitée dans des amphithéâtres, l’extrême gauche distille son idéologie anticapitaliste, wokiste et immigrationniste à un auditoire conquis.
La Macronie mime l’agitation face au désastre de l’immigration. Mais, en coulisses, le parti présidentiel s’emploie à bloquer les mesures les plus évidentes. Illustration emblématique ce 1er décembre après-midi à l’Assemblée.
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