Olivier véran
Une fois encore, Olivier Véran a évoqué l’intention d’Emmanuel Macron et du gouvernement de « travailler et gouverner avec toutes celles et ceux qui sont dans l’arc républicain »…
Olivier Véran incarne la faillite de la crise du Covid, la suspension des soignants non vaccinés et la mise en place d’une politique des plus répressives avec le vote du passe sanitaire et du passe vaccinal.
Une formation en médecine menée de front avec des études en œnologie confère à Olivier Véran une compétence à nulle autre pareille.
Chaque jour, nous constatons que l’idéologie transgenre s’installe de plus en plus durablement dans notre société.
La décision de l’élu des Sables-d’Olonne n’a pas manqué de faire réagir l’opposition, trois maires de communes avoisinantes s’interrogeant notamment sur l’accueil réservé par Yannick Moreau au candidat Éric Zemmour.
Si même Christophe Barbier est capable d’une telle lucidité, c’est que le vent tourne, non ?
Avec le trio Castex-Véran-Macron, nous sommes retournés avant la nuit du 4 août 1789 : l’état de vaccination, comme alors la naissance, détermine deux types de citoyens, avec des droits différents : le piqué et le non-piqué.
Se faire vacciner ou renoncer à aller au restaurant ? C’est un des choix que devront faire les Français si le passe vaccinal est voté.
Il n’y a pas à tortiller. Avant de s’en prendre aux bronches, le coronavirus attaque le cervelet.
Pas de couvre-feu pour le 31 décembre.
Nous vous proposons donc le bêtisier du coronavirus avec, en vedette, le ministre de la Santé, l’homme des affirmations péremptoires qui seront démenties de façon tout aussi péremptoire le lendemain…
Après avoir tout misé sur le passe et la vaccination qui devaient, précisément, nous en dispenser, et alors que près de 80 % de la population a joué le jeu bon gré mal gré, ce serait un terrible aveu d’échec.
Il paraît que, pour la campagne électorale qui va s’ouvrir, les médias vont mettre sur pied des armées de décodeurs et de fact checkers. Il serait peut-être temps de la commencer, cette campagne, non ?
A tous ces services hospitaliers désorganisés par des impérities de gouvernance et de recrutement s’ajoute la situation inquiétante de bien des foyers d’accueil médicalisés pour personnes handicapées.
Médicalisation et psychiatrisation de l’adversaire politique : le parti d’Emmanuel Macron en est là…
Qui, des ministres composant le gouvernement, y siégera encore au lendemain de l’élection suprême ?
Et voilà que ce gouvernement, clairement dur avec les faibles et faible avec les forts, se félicite des « effets très positifs » de sa menace de suspension immédiate du contrat de travail sans rémunération.
Encore n’a-t-il pas précisé si ce Philippot qu’il exècre appartient à l’espèce des hyènes tachetées, rayées, brunes ou fouisseuses.
La seule question qu’on aimerait poser à M. Véran, c’est celle de la condition – précise – de la disparition du passe sanitaire.
Cette opération de communication du gouvernement vise à convaincre les futures mamans hésitantes.
Les députés ont voté contre ? Qu’à cela ne tienne, ils devront revoter.
Le ministre a annoncé que la CNIL allait rendre un avis favorable jeudi.
Et comme c’est généralement dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes, le voilà donc parti en guerre contre Marine Le Pen, faisant ainsi assaut d’héroïsme, d’abnégation et, surtout, d’originalité.
Que faire pour convaincre récalcitrants, sceptiques et cas particuliers de se faire vacciner ? Une fois encore, les autorités louchent du côté des USA.
Mais comment est-ce possible ?
Le monde des soignants est, parmi la population concernée, l’un des plus réticents à la vaccination.
Il est d’ailleurs curieux que le gouvernement ne nous offre pas un point quotidien télévisé, animé par le très charismatique et médiatique professeur Salomon, sur la situation vaccinale du pays.
Le vaccin anglo-suédois, développé avec l’université d’Oxford, a été autorisé par la Haute Autorité de santé le 2 février dernier.
Une fois encore, Olivier Véran a évoqué l’intention d’Emmanuel Macron et du gouvernement de « travailler et gouverner avec toutes celles et ceux qui sont dans l’arc républicain »…
Olivier Véran incarne la faillite de la crise du Covid, la suspension des soignants non vaccinés et la mise en place d’une politique des plus répressives avec le vote du passe sanitaire et du passe vaccinal.
Une formation en médecine menée de front avec des études en œnologie confère à Olivier Véran une compétence à nulle autre pareille.
Chaque jour, nous constatons que l’idéologie transgenre s’installe de plus en plus durablement dans notre société.
La décision de l’élu des Sables-d’Olonne n’a pas manqué de faire réagir l’opposition, trois maires de communes avoisinantes s’interrogeant notamment sur l’accueil réservé par Yannick Moreau au candidat Éric Zemmour.
Si même Christophe Barbier est capable d’une telle lucidité, c’est que le vent tourne, non ?
Avec le trio Castex-Véran-Macron, nous sommes retournés avant la nuit du 4 août 1789 : l’état de vaccination, comme alors la naissance, détermine deux types de citoyens, avec des droits différents : le piqué et le non-piqué.
Se faire vacciner ou renoncer à aller au restaurant ? C’est un des choix que devront faire les Français si le passe vaccinal est voté.
Il n’y a pas à tortiller. Avant de s’en prendre aux bronches, le coronavirus attaque le cervelet.
Pas de couvre-feu pour le 31 décembre.
Nous vous proposons donc le bêtisier du coronavirus avec, en vedette, le ministre de la Santé, l’homme des affirmations péremptoires qui seront démenties de façon tout aussi péremptoire le lendemain…
Après avoir tout misé sur le passe et la vaccination qui devaient, précisément, nous en dispenser, et alors que près de 80 % de la population a joué le jeu bon gré mal gré, ce serait un terrible aveu d’échec.
Il paraît que, pour la campagne électorale qui va s’ouvrir, les médias vont mettre sur pied des armées de décodeurs et de fact checkers. Il serait peut-être temps de la commencer, cette campagne, non ?
A tous ces services hospitaliers désorganisés par des impérities de gouvernance et de recrutement s’ajoute la situation inquiétante de bien des foyers d’accueil médicalisés pour personnes handicapées.
Médicalisation et psychiatrisation de l’adversaire politique : le parti d’Emmanuel Macron en est là…
Qui, des ministres composant le gouvernement, y siégera encore au lendemain de l’élection suprême ?
Et voilà que ce gouvernement, clairement dur avec les faibles et faible avec les forts, se félicite des « effets très positifs » de sa menace de suspension immédiate du contrat de travail sans rémunération.
Encore n’a-t-il pas précisé si ce Philippot qu’il exècre appartient à l’espèce des hyènes tachetées, rayées, brunes ou fouisseuses.
La seule question qu’on aimerait poser à M. Véran, c’est celle de la condition – précise – de la disparition du passe sanitaire.
Cette opération de communication du gouvernement vise à convaincre les futures mamans hésitantes.
Les députés ont voté contre ? Qu’à cela ne tienne, ils devront revoter.
Le ministre a annoncé que la CNIL allait rendre un avis favorable jeudi.
Et comme c’est généralement dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes, le voilà donc parti en guerre contre Marine Le Pen, faisant ainsi assaut d’héroïsme, d’abnégation et, surtout, d’originalité.
Que faire pour convaincre récalcitrants, sceptiques et cas particuliers de se faire vacciner ? Une fois encore, les autorités louchent du côté des USA.
Mais comment est-ce possible ?
Le monde des soignants est, parmi la population concernée, l’un des plus réticents à la vaccination.
Il est d’ailleurs curieux que le gouvernement ne nous offre pas un point quotidien télévisé, animé par le très charismatique et médiatique professeur Salomon, sur la situation vaccinale du pays.
Le vaccin anglo-suédois, développé avec l’université d’Oxford, a été autorisé par la Haute Autorité de santé le 2 février dernier.
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