Olivier véran
On imagine qu’on va rapidement nous expliquer que la fermeture des frontières décidée par le gouvernement n’a rien à voir avec celle préconisée par Marine Le Pen. Forcément.
Reste à définir ce qu’Olivier Véran appelle le populisme.
Le ministre de la Santé nous l’a confirmé à la télé : 70 millions de personnes seront vaccinées, d’ici l’été ! Restent donc 69 millions,
Avec 12 millions d’élèves accueillis par près d’un million de de personnels, comment le ministère parviendra-t-il à tester, chaque mois, jusqu’à un million d’enfants et d’enseignants ?
Ces gens-là se sont découvert une passion : l’interdiction. Quelque chose me dit que c’est pour longtemps.
Qu’avons-nous à proposer à ces jeunes radicalisés qui ont soif d’idéal, en quête d’identité et de verticalité ? Une bûche surgelée devant la télé ? Et l’on s’étonne…
« Sortez d’ici ! » Fatigue du ministre, parole malheureuse ? Ou confirmation du mépris dans lequel le pouvoir macroniste tient la représentation nationale ?
En temps de guerre – de vraie guerre, je veux dire, avec ces milliers de morts quotidiens -, ce ministre serait accusé de saper le moral de la troupe.
Cette procédure s’inscrit dans le cadre d’une information judiciaire ouverte par la Cour de justice de la République au mois de juillet…
Beaucoup pensaient que la science était l’autorité suprême. Seulement, le Covid-19 est passé par-là : la barre du million de morts a été franchie dans le
Des messages dramatiques, contradictoires, suspects d’arrière-pensées, tel est le cocktail explosif créé par le pouvoir lui-même et les médias.
La véritable épidémie, encouragée par le gouvernement, est celle de la peur, de l’angoisse.
Tout cela est pourtant si simple. Comme bonjour.
Il est fort à parier que, bientôt, ils oseront nous l’imposer et nous serons contraints de le porter sous peine d’amende et sans bêler…
Ainsi, une revue étrangère avait conduit le ministre d’un grand pays soi-disant doté du meilleur système de santé du monde… à prendre une décision précipitée d’ignorant pressé.
Depuis quand la politique sanitaire de la France se fait-elle dans les salles de rédaction des journaux ?
D’ici à ce qu’il soit démontré que nos pléthoriques autorités sanitaires, à commencer par le successeur d’Agnès Buzyn, ont préconisé l’exact contraire de ce qu’il fallait faire, il n’y a peut-être pas loin…
Si Olivier Véran a quelques amis, ceux-ci devraient le mettre en garde.
Nous avions le très surréaliste « Ceci n’est pas une pipe », de René Magritte, le post-réaliste « Je ne suis pas un homme, monsieur » d’Arnaud Gauthier-Fawas. Nous avons désormais le « Ce n’est pas un raté », d’Olivier Véran.
Bien évidemment, à aucun moment ne sera abordée la question du traumatisme de la femme devant avorter sous anesthésie locale en ambulatoire et qui rentrera, aussitôt fait, chez elle !
Qu’on se le dise ! Le déconfinement ne sera pas le début d’une plus grande liberté mais le démarrage de nouvelles contraintes.
Nous n’avons pas la réponse. Juste quelques indices.
Premier médecin en exercice décédé des suites de l’épidémie, il s’appelait Jean-Jacques Razafindranazy, était urgentiste à l’hôpital de Compiègne…
Le résultat est là : en février 2020, plus de réserves !
Les méfaits du THC sont nombreux et graves. Un médecin s’impliquant dans les aspects législatifs d’un médicament doit manifester une prudence redoublée.
L’explosion en vol de la candidature de Benjamin Griveaux à la mairie de Paris a conduit la Macronie à jouer aux chaises musicales.
À l’hôpital, des gens issus du management non médical ont mis la main sur le soin.
Pour le manque de main-d’œuvre, il suffira d’aller se servir dans les pays pauvres.
On imagine qu’on va rapidement nous expliquer que la fermeture des frontières décidée par le gouvernement n’a rien à voir avec celle préconisée par Marine Le Pen. Forcément.
Reste à définir ce qu’Olivier Véran appelle le populisme.
Le ministre de la Santé nous l’a confirmé à la télé : 70 millions de personnes seront vaccinées, d’ici l’été ! Restent donc 69 millions,
Avec 12 millions d’élèves accueillis par près d’un million de de personnels, comment le ministère parviendra-t-il à tester, chaque mois, jusqu’à un million d’enfants et d’enseignants ?
Ces gens-là se sont découvert une passion : l’interdiction. Quelque chose me dit que c’est pour longtemps.
Qu’avons-nous à proposer à ces jeunes radicalisés qui ont soif d’idéal, en quête d’identité et de verticalité ? Une bûche surgelée devant la télé ? Et l’on s’étonne…
« Sortez d’ici ! » Fatigue du ministre, parole malheureuse ? Ou confirmation du mépris dans lequel le pouvoir macroniste tient la représentation nationale ?
En temps de guerre – de vraie guerre, je veux dire, avec ces milliers de morts quotidiens -, ce ministre serait accusé de saper le moral de la troupe.
Cette procédure s’inscrit dans le cadre d’une information judiciaire ouverte par la Cour de justice de la République au mois de juillet…
Beaucoup pensaient que la science était l’autorité suprême. Seulement, le Covid-19 est passé par-là : la barre du million de morts a été franchie dans le
Des messages dramatiques, contradictoires, suspects d’arrière-pensées, tel est le cocktail explosif créé par le pouvoir lui-même et les médias.
La véritable épidémie, encouragée par le gouvernement, est celle de la peur, de l’angoisse.
Tout cela est pourtant si simple. Comme bonjour.
Il est fort à parier que, bientôt, ils oseront nous l’imposer et nous serons contraints de le porter sous peine d’amende et sans bêler…
Ainsi, une revue étrangère avait conduit le ministre d’un grand pays soi-disant doté du meilleur système de santé du monde… à prendre une décision précipitée d’ignorant pressé.
Depuis quand la politique sanitaire de la France se fait-elle dans les salles de rédaction des journaux ?
D’ici à ce qu’il soit démontré que nos pléthoriques autorités sanitaires, à commencer par le successeur d’Agnès Buzyn, ont préconisé l’exact contraire de ce qu’il fallait faire, il n’y a peut-être pas loin…
Si Olivier Véran a quelques amis, ceux-ci devraient le mettre en garde.
Nous avions le très surréaliste « Ceci n’est pas une pipe », de René Magritte, le post-réaliste « Je ne suis pas un homme, monsieur » d’Arnaud Gauthier-Fawas. Nous avons désormais le « Ce n’est pas un raté », d’Olivier Véran.
Bien évidemment, à aucun moment ne sera abordée la question du traumatisme de la femme devant avorter sous anesthésie locale en ambulatoire et qui rentrera, aussitôt fait, chez elle !
Qu’on se le dise ! Le déconfinement ne sera pas le début d’une plus grande liberté mais le démarrage de nouvelles contraintes.
Nous n’avons pas la réponse. Juste quelques indices.
Premier médecin en exercice décédé des suites de l’épidémie, il s’appelait Jean-Jacques Razafindranazy, était urgentiste à l’hôpital de Compiègne…
Le résultat est là : en février 2020, plus de réserves !
Les méfaits du THC sont nombreux et graves. Un médecin s’impliquant dans les aspects législatifs d’un médicament doit manifester une prudence redoublée.
L’explosion en vol de la candidature de Benjamin Griveaux à la mairie de Paris a conduit la Macronie à jouer aux chaises musicales.
À l’hôpital, des gens issus du management non médical ont mis la main sur le soin.
Pour le manque de main-d’œuvre, il suffira d’aller se servir dans les pays pauvres.
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