Pap Ndiaye
Pap Ndiaye a trouvé la cause de tous les maux de la société éducative et le sens profond de son action : il doit combattre avant tout le Rassemblement national, parti dans la République mais pas républicain.
Les professeurs signalent très peu ces tenues. 82 % des signalements ont été faits par des élèves, 7 % par des parents d’élèves et seulement 6 % par le personnel enseignant.
Corriger de telles copies pour un professeur doit être une tâche ingrate et désespérante.
Suggérons donc à notre ministre, au cas où il lirait ces lignes, quelques pistes susceptibles d’améliorer la situation.
Pap Ndiaye est le ministre de l’Éducation nationale : cette fonction devrait lui imposer, dans ses déclarations publiques, à défaut de neutralité, une absence de parti pris.
S’il ne veut pas entrer davantage dans la voie de la soumission, le gouvernement doit réagir vite et fermement.
Accompagné du ministre-symbole de la diversité qu’est désormais Pap Ndiaye, le message est clair. Le message est clair que la priorité, pour Emmanuel Macron, est désormais une certaine France.
La presse vient de confirmer ce que l’on pressentait. Pap Ndiaye ne scolarise pas ses enfants dans un établissement lambda, mais dans la très prestigieuse École alsacienne.
Jean-Michel Blanquer ne faisait que freiner un mouvement progressiste : il était temps d’accélérer.
Cette semaine, chers lecteurs de Boulevard Voltaire, beaucoup d’entre vous étaient sous le choc de l’équipe annoncée pour gouverner la France sous la direction d’Elisabeth Borne.
En nommant, le 20 mai, Pap Ndiaye ministre de l’Éducation nationale, la Macronie fraîchement réélue poursuit son programme de déconstruction, somme toute nullement dissimulé, de la nation française.
« La République, par l’école, elle est plus forte », a-t-il dit. « C’est la République qui gagne, finalement, malgré tout. » La France a dî s’absenter, il ne reste que la République…
«J’ai vu en mon temps cent artisans, cent laboureurs, plus sages et plus heureux que des recteurs de l’université », disait Montaigne en son temps. On pourrait rajouter cent footballeurs.
Cette nomination en dit bien plus long, du coup, sur le chef de l’État, sur sa ligne politique, sa méthode et ses objectifs que sur les ambitions de Pap Ndiaye.
Assa Traoré et Ladj Ly gardent donc toutes leurs chances pour 2027.
Ce retour de Macron à son ADN socialiste avec une forte dose Mélenchon est en fait une bonne nouvelle
Les familles aisées privilégient les établissements privés pour leurs enfants, c’est confirmé
Se pourrait-il que la France soit lassée de son statut de mauvais élève à l’étranger ?
Facturer pour la bagatelle de 496.800 euros ce qui traîne dans la plupart des rapports antérieurs peut sembler cher…
Pap Ndiaye a trouvé la cause de tous les maux de la société éducative et le sens profond de son action : il doit combattre avant tout le Rassemblement national, parti dans la République mais pas républicain.
Les professeurs signalent très peu ces tenues. 82 % des signalements ont été faits par des élèves, 7 % par des parents d’élèves et seulement 6 % par le personnel enseignant.
Corriger de telles copies pour un professeur doit être une tâche ingrate et désespérante.
Suggérons donc à notre ministre, au cas où il lirait ces lignes, quelques pistes susceptibles d’améliorer la situation.
Pap Ndiaye est le ministre de l’Éducation nationale : cette fonction devrait lui imposer, dans ses déclarations publiques, à défaut de neutralité, une absence de parti pris.
S’il ne veut pas entrer davantage dans la voie de la soumission, le gouvernement doit réagir vite et fermement.
Accompagné du ministre-symbole de la diversité qu’est désormais Pap Ndiaye, le message est clair. Le message est clair que la priorité, pour Emmanuel Macron, est désormais une certaine France.
La presse vient de confirmer ce que l’on pressentait. Pap Ndiaye ne scolarise pas ses enfants dans un établissement lambda, mais dans la très prestigieuse École alsacienne.
Jean-Michel Blanquer ne faisait que freiner un mouvement progressiste : il était temps d’accélérer.
Cette semaine, chers lecteurs de Boulevard Voltaire, beaucoup d’entre vous étaient sous le choc de l’équipe annoncée pour gouverner la France sous la direction d’Elisabeth Borne.
En nommant, le 20 mai, Pap Ndiaye ministre de l’Éducation nationale, la Macronie fraîchement réélue poursuit son programme de déconstruction, somme toute nullement dissimulé, de la nation française.
« La République, par l’école, elle est plus forte », a-t-il dit. « C’est la République qui gagne, finalement, malgré tout. » La France a dî s’absenter, il ne reste que la République…
«J’ai vu en mon temps cent artisans, cent laboureurs, plus sages et plus heureux que des recteurs de l’université », disait Montaigne en son temps. On pourrait rajouter cent footballeurs.
Cette nomination en dit bien plus long, du coup, sur le chef de l’État, sur sa ligne politique, sa méthode et ses objectifs que sur les ambitions de Pap Ndiaye.
Assa Traoré et Ladj Ly gardent donc toutes leurs chances pour 2027.
Ce retour de Macron à son ADN socialiste avec une forte dose Mélenchon est en fait une bonne nouvelle
Les familles aisées privilégient les établissements privés pour leurs enfants, c’est confirmé
Se pourrait-il que la France soit lassée de son statut de mauvais élève à l’étranger ?
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