parrainages
Plusieurs dégradations ont été commises dans ce petit village, mais le maire ne craint pas les menaces et témoigne de son devoir de faire respecter la démocratie.
Christiane Taubira n’avait rassemblé, à ce jour, que 181 signatures d’élus, contre les 500 signatures requises pour se présenter à la présidentielle.
Il y a encore quelques jours, Éric Zemmour et Marine Le Pen alertaient l’opinion sur leurs difficultés à obtenir le précieux sésame. Ils avaient dû interrompre leur campagne pour se concentrer sur la récolte des parrainages. Un effort qui a porté ses fruits.
Les juristes Christophe Boutin et Frédéric Rouvillois dressent cet état des lieux juridique, tout en effectuant un parallèle aussi pertinent que saisissant avec le suffrage censitaire en cours sous la Restauration et la monarchie de Juillet.
Alors que certains candidats pesant plus de 10 % dans les intentions de vote ne sont pas assurés de pouvoir participer au scrutin présidentiel en
En cas de second tour entre Emmanuel Macron et Éric Zemmour, François-Xavier Bellamy ne soutiendra pas le Président sortant.
On peut, comme Anne Hidalgo, considérer que si l’on n’a pas 500 parrainages, c’est qu’on ne mérite pas de concourir. On peut aussi se dire que tout cela n’est pas très démocratique ; on peut même en conclure que la démocratie française sent le sapin.
Quels sont les maires qui auront le courage de braver pressions et menaces, conscients que par l’effet pervers d’une mauvaise loi, ils sont, de fait, les garants du pluralisme et de l’équité d’une élection ?
« Les maires voudraient bien donner leur signature, mais ils ne veulent pas porter préjudice à leur collectivité », alerte l’eurodéputé RN Philippe Olivier, au
À l’heure où Éric Zemmour et Marine Le Pen peinent à obtenir les leurs, alors qu’ils sont crédités de 15 à 17 % d’intentions de vote selon les sondages, cela a de quoi surprendre.
À moins d’un mois de l’échéance pour la date limite du recueil des 500 signatures, qui est prévue au 4 mars, le candidat a annoncé avoir réuni les parrainages des maires de France.
Le système des 500 signatures fonctionne à condition que ceux qui en sont chargés assument leur responsabilité. Ils sont aussi élus pour cela !
Voilà une campagne qui n’en finit pas de surprendre. Le clou du spectacle résidant probablement dans la ténébreuse affaire des parrainages.
Il est clair qu’obtenir le sésame, d’ici un mois, pour certains des prétendants ne sera pas aisé, même pour celle que les sondages placent encore au second tour
Ce n’est plus une « fracture » mais une secessio plebis. Nos élites en tiennent-elles le moindre compte ?
Par peur de l’opprobre ou de perdre des subventions, en cas de parrainage de candidats représentant « la haine » (vous voyez de qui on parle), de nombreux élus avaient rechigné à soutenir tel ou telle.
Si souvent berné, l’électorat catholique se laissera-t-il flouer une fois encore ?
Selon les informations du Figaro, Éric Zemmour avait déjà recueilli 273 parrainages en fin de semaine dernière.
Plusieurs dégradations ont été commises dans ce petit village, mais le maire ne craint pas les menaces et témoigne de son devoir de faire respecter la démocratie.
Christiane Taubira n’avait rassemblé, à ce jour, que 181 signatures d’élus, contre les 500 signatures requises pour se présenter à la présidentielle.
Il y a encore quelques jours, Éric Zemmour et Marine Le Pen alertaient l’opinion sur leurs difficultés à obtenir le précieux sésame. Ils avaient dû interrompre leur campagne pour se concentrer sur la récolte des parrainages. Un effort qui a porté ses fruits.
Les juristes Christophe Boutin et Frédéric Rouvillois dressent cet état des lieux juridique, tout en effectuant un parallèle aussi pertinent que saisissant avec le suffrage censitaire en cours sous la Restauration et la monarchie de Juillet.
Alors que certains candidats pesant plus de 10 % dans les intentions de vote ne sont pas assurés de pouvoir participer au scrutin présidentiel en
En cas de second tour entre Emmanuel Macron et Éric Zemmour, François-Xavier Bellamy ne soutiendra pas le Président sortant.
On peut, comme Anne Hidalgo, considérer que si l’on n’a pas 500 parrainages, c’est qu’on ne mérite pas de concourir. On peut aussi se dire que tout cela n’est pas très démocratique ; on peut même en conclure que la démocratie française sent le sapin.
Quels sont les maires qui auront le courage de braver pressions et menaces, conscients que par l’effet pervers d’une mauvaise loi, ils sont, de fait, les garants du pluralisme et de l’équité d’une élection ?
« Les maires voudraient bien donner leur signature, mais ils ne veulent pas porter préjudice à leur collectivité », alerte l’eurodéputé RN Philippe Olivier, au
À l’heure où Éric Zemmour et Marine Le Pen peinent à obtenir les leurs, alors qu’ils sont crédités de 15 à 17 % d’intentions de vote selon les sondages, cela a de quoi surprendre.
À moins d’un mois de l’échéance pour la date limite du recueil des 500 signatures, qui est prévue au 4 mars, le candidat a annoncé avoir réuni les parrainages des maires de France.
Le système des 500 signatures fonctionne à condition que ceux qui en sont chargés assument leur responsabilité. Ils sont aussi élus pour cela !
Voilà une campagne qui n’en finit pas de surprendre. Le clou du spectacle résidant probablement dans la ténébreuse affaire des parrainages.
Il est clair qu’obtenir le sésame, d’ici un mois, pour certains des prétendants ne sera pas aisé, même pour celle que les sondages placent encore au second tour
Ce n’est plus une « fracture » mais une secessio plebis. Nos élites en tiennent-elles le moindre compte ?
Par peur de l’opprobre ou de perdre des subventions, en cas de parrainage de candidats représentant « la haine » (vous voyez de qui on parle), de nombreux élus avaient rechigné à soutenir tel ou telle.
Si souvent berné, l’électorat catholique se laissera-t-il flouer une fois encore ?
Selon les informations du Figaro, Éric Zemmour avait déjà recueilli 273 parrainages en fin de semaine dernière.
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