Parti socialiste
Voici le PS paré, sinon pour le grand large, disons pour faire du cabotage.
Durant ses six mois d’hibernation, le bobo socialiste réfléchit. François Hollande pourrait revenir et rouvrir Fessenheim.
Les Français laisseront mourir sans dignité un parti qui a fait tant de mal à la France, par souci électoraliste.
Le plus amusant, dans tout ce cirque, dans tout cet emballement, c’est que la candidate socialiste ne dépassera probablement pas les 8 %.
Dans un sens, il faut se réjouir des mauvais choix du Parti socialiste car, au moins, on est sûr de ne pas avoir cette gauche-là au pouvoir.
Le parti pour lequel se bat notre gaillard, non sans verve ni panache, n’est ni plus ni moins qu’un cadavre qui comptera bientôt plus d’élus que d’électeurs.
Les électeurs ne se trompent pas. Parmi les nombreuses dérives de la société française, il n’en est en effet pas une où le PS n’ait joué un rôle essentiel.
La feuille de route d’Olivier Faure, à l’occasion de ces primaires, avait « Le Chemin de la renaissance » pour intitulé. Il doit sûrement s’agir d’une blague.
Il est toujours intéressant de scruter les soubresauts des partis politiques en décomposition et le cas du PS est un exemple d’anthologie.
Comme il fallait s’y attendre, l’exécuteur des hautes œuvres s’est incarné en la personne de Manuel Valls.
Le Parti socialiste ne sait plus à quel saint se vouer.
Voici le PS paré, sinon pour le grand large, disons pour faire du cabotage.
Durant ses six mois d’hibernation, le bobo socialiste réfléchit. François Hollande pourrait revenir et rouvrir Fessenheim.
Les Français laisseront mourir sans dignité un parti qui a fait tant de mal à la France, par souci électoraliste.
Le plus amusant, dans tout ce cirque, dans tout cet emballement, c’est que la candidate socialiste ne dépassera probablement pas les 8 %.
Dans un sens, il faut se réjouir des mauvais choix du Parti socialiste car, au moins, on est sûr de ne pas avoir cette gauche-là au pouvoir.
Le parti pour lequel se bat notre gaillard, non sans verve ni panache, n’est ni plus ni moins qu’un cadavre qui comptera bientôt plus d’élus que d’électeurs.
Les électeurs ne se trompent pas. Parmi les nombreuses dérives de la société française, il n’en est en effet pas une où le PS n’ait joué un rôle essentiel.
La feuille de route d’Olivier Faure, à l’occasion de ces primaires, avait « Le Chemin de la renaissance » pour intitulé. Il doit sûrement s’agir d’une blague.
Il est toujours intéressant de scruter les soubresauts des partis politiques en décomposition et le cas du PS est un exemple d’anthologie.
Comme il fallait s’y attendre, l’exécuteur des hautes œuvres s’est incarné en la personne de Manuel Valls.
Le Parti socialiste ne sait plus à quel saint se vouer.
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