passe vaccinal
L’Assemblée nationale a voté ce 4 mai pour une abrogation du passe vaccinal, à 157 voix dont celles du RN, contre 137.
Le passe sanitaire aurait de fortes chances d’être rendu obligatoire si la situation sanitaire venait à s’aggraver.
À l’heure où l’épidémie de Covid-19 semble reprendre de l’avant, ce vote présagerait-il un retour à une obligation vaccinale dans les pays européens ?
Il est donc légitime de penser que, sur ce sujet, plusieurs groupes parlementaires pourraient s’entendre lors d’un vote commun, s’unissant pour contrer le passe vaccinal.
En Franche Comté, une cinquantaines de plaintes contre X ont été déposées devant la juridiction pénale.
Tous les outils seront là pour que l’on entre, corps et âme, dans un système de surveillance et de crédit social à la chinoise.
Outre la fin du passe vaccinal, le Premier ministre a annoncé la fin du masque en intérieur dans certains endroits.
Les migrants ukrainiens seront autorisés à circuler gratuitement en France. C’est très altruiste. Mais on ne peut imaginer qu’on leur fera l’affront de les refouler s’ils n’ont pas de passe vaccinal ? Et on continuerait à le réclamer pour les Français ?
Du côté de nos voisins européens, la situation est plus réjouissante. Après le Danemark, le Royaume-Uni et l’Allemagne, ce sont l’Autriche et la Suisse qui lèvent les restrictions.
Des sénateurs LR dénoncent tout autant l’absence de légitimité sanitaire de ce passe vaccinal pour un virus devenu bénin que, logiquement, la nature politique de cette mesure.
Certes, la France n’est pas encore une dictature, mais la loi vaccinale respire la tyrannie.
Cette période de fin mars-début avril a de quoi interpeller : elle se situe en effet juste avant le premier tour de l’élection présidentielle.
Elle a décidé « de dire stop à ce contrôle social à la chinoise qu’on installe en France ». Cette mère de quatre enfants, grand-mère de 54 ans et artisan à Louvigné-du-Désert, en Ille-et-Vilaine, joint les actes à la parole.
Le restaurateur porte-parole du collectif « Restons ouverts » s’interroge : « Pourquoi aurions-nous plus de pouvoir que la police municipale qui ne peut contrôler
Le Conseil constitutionnel a validé la quasi-intégralité des mesures en affirmant que celles-ci poursuivaient « l’objectif à valeur constitutionnelle de protection de la santé publique ».
Cerise sur le clafoutis : dans sa grande mansuétude, le gouvernement offrira le sésame aux antivax venant à résipiscence.
On sait que cela ne servira à rien, mais c’est pas grave, on vote quand même pour. Visiblement, il n’y a pas que la gestion de la crise par le gouvernement qui est « chaotique »…
Ce dimanche 16 janvier, l’Assemblée nationale a validé définitivement le passe vaccinal, après deux semaines chaotiques. Pourtant, dans le même temps, l’épidémiologiste Arnaud Fontanet a
Il est de petites victoires qu’en ces temps d’emmerdement il est bon de célébrer…
Ce 15 janvier clignotera une petite guillotine sur l’application #TousAntiCovid des mauvais Français
Ce jeudi, sur RMC, Christian Estrosi s’est prononcé sur le statut des non-vaccinés, plaidant une « tolérance zéro ».
Si le groupe LR au Sénat soutient le principe du passe vaccinal, certains sénateurs de cette famille politique ont bien décidé de ne pas suivre le mouvement
Ses déclarations sur son désir d’emmerder les non-vaccinés s’inscrivent donc dans la continuité de la stratégie qu’il développe depuis six mois.
« On peut passer à autre chose, maintenant ? L’élection présidentielle à venir, par exemple. Les errances de ce gouvernement concernant différents thèmes : sécurité, économie, santé, culture, etc. Refusez l’élection covidentielle ! »
Au total, 131 manifestations ont été recensées par le ministère de l’Intérieur.
Mais le Grand Vaccinateur veut la mort du pêché, pas du pécheur, c’est bien connu.
Le sénateur revient sur l’indignité des propos du président de la République, la division des Républicains sur la question du passe vaccinal, ou encore sur l’état des hôpitaux.
Conclusion partielle du raisonnement : refuser un vaccin non obligatoire, c’est donc plus grave que d’assassiner des Français ? Plus grave que d’appeler au meurtre en chanson ? Plus grave que de violer, de piller, de saccager ce qui reste de notre cher beau pays ?
L’Assemblée nationale a voté ce 4 mai pour une abrogation du passe vaccinal, à 157 voix dont celles du RN, contre 137.
Le passe sanitaire aurait de fortes chances d’être rendu obligatoire si la situation sanitaire venait à s’aggraver.
À l’heure où l’épidémie de Covid-19 semble reprendre de l’avant, ce vote présagerait-il un retour à une obligation vaccinale dans les pays européens ?
Il est donc légitime de penser que, sur ce sujet, plusieurs groupes parlementaires pourraient s’entendre lors d’un vote commun, s’unissant pour contrer le passe vaccinal.
En Franche Comté, une cinquantaines de plaintes contre X ont été déposées devant la juridiction pénale.
Tous les outils seront là pour que l’on entre, corps et âme, dans un système de surveillance et de crédit social à la chinoise.
Outre la fin du passe vaccinal, le Premier ministre a annoncé la fin du masque en intérieur dans certains endroits.
Les migrants ukrainiens seront autorisés à circuler gratuitement en France. C’est très altruiste. Mais on ne peut imaginer qu’on leur fera l’affront de les refouler s’ils n’ont pas de passe vaccinal ? Et on continuerait à le réclamer pour les Français ?
Du côté de nos voisins européens, la situation est plus réjouissante. Après le Danemark, le Royaume-Uni et l’Allemagne, ce sont l’Autriche et la Suisse qui lèvent les restrictions.
Des sénateurs LR dénoncent tout autant l’absence de légitimité sanitaire de ce passe vaccinal pour un virus devenu bénin que, logiquement, la nature politique de cette mesure.
Certes, la France n’est pas encore une dictature, mais la loi vaccinale respire la tyrannie.
Cette période de fin mars-début avril a de quoi interpeller : elle se situe en effet juste avant le premier tour de l’élection présidentielle.
Elle a décidé « de dire stop à ce contrôle social à la chinoise qu’on installe en France ». Cette mère de quatre enfants, grand-mère de 54 ans et artisan à Louvigné-du-Désert, en Ille-et-Vilaine, joint les actes à la parole.
Le restaurateur porte-parole du collectif « Restons ouverts » s’interroge : « Pourquoi aurions-nous plus de pouvoir que la police municipale qui ne peut contrôler
Le Conseil constitutionnel a validé la quasi-intégralité des mesures en affirmant que celles-ci poursuivaient « l’objectif à valeur constitutionnelle de protection de la santé publique ».
Cerise sur le clafoutis : dans sa grande mansuétude, le gouvernement offrira le sésame aux antivax venant à résipiscence.
On sait que cela ne servira à rien, mais c’est pas grave, on vote quand même pour. Visiblement, il n’y a pas que la gestion de la crise par le gouvernement qui est « chaotique »…
Ce dimanche 16 janvier, l’Assemblée nationale a validé définitivement le passe vaccinal, après deux semaines chaotiques. Pourtant, dans le même temps, l’épidémiologiste Arnaud Fontanet a
Il est de petites victoires qu’en ces temps d’emmerdement il est bon de célébrer…
Ce 15 janvier clignotera une petite guillotine sur l’application #TousAntiCovid des mauvais Français
Ce jeudi, sur RMC, Christian Estrosi s’est prononcé sur le statut des non-vaccinés, plaidant une « tolérance zéro ».
Si le groupe LR au Sénat soutient le principe du passe vaccinal, certains sénateurs de cette famille politique ont bien décidé de ne pas suivre le mouvement
Ses déclarations sur son désir d’emmerder les non-vaccinés s’inscrivent donc dans la continuité de la stratégie qu’il développe depuis six mois.
« On peut passer à autre chose, maintenant ? L’élection présidentielle à venir, par exemple. Les errances de ce gouvernement concernant différents thèmes : sécurité, économie, santé, culture, etc. Refusez l’élection covidentielle ! »
Au total, 131 manifestations ont été recensées par le ministère de l’Intérieur.
Mais le Grand Vaccinateur veut la mort du pêché, pas du pécheur, c’est bien connu.
Le sénateur revient sur l’indignité des propos du président de la République, la division des Républicains sur la question du passe vaccinal, ou encore sur l’état des hôpitaux.
Conclusion partielle du raisonnement : refuser un vaccin non obligatoire, c’est donc plus grave que d’assassiner des Français ? Plus grave que d’appeler au meurtre en chanson ? Plus grave que de violer, de piller, de saccager ce qui reste de notre cher beau pays ?