Pierre Moscovici
Cette bévue s’inscrit dans un large mouvement de révolte des élites contre le réseau social américain X.
Apportons quelques éléments au débat sur la démission – ou pas – de Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes.
« La Cour des comptes a pour mission de s’assurer du bon emploi de l’argent public et d’en informer les citoyens. »
En séance de la commission des affaires sociales chargée d’examiner le rapport de la Cour des comptes, le député insoumis Frédéric Mathieu s’est mis à égrainer la longue liste des retraites dont l’ancien ministre de Jospin sous Chirac, puis de l’Économie et des Finances sous Hollande, bénéficie aujourd’hui.
Depuis quand la politique sanitaire de la France se fait-elle dans les salles de rédaction des journaux ?
Une sorte de non-événement comme on a les non-anniversaires dans le monde merveilleux d’Alice.
Emmanuel Macron, champion malgré lui de l’Europe techno-libérale depuis l’annonce de la mise à la retraite prochaine d’Angela Merkel, se retrouve ainsi dans la position du repoussoir idéal pour tous les « lépreux » du Vieux Continent.
Au fait, qui surveille Pierre Moscovici ?
L’homme rode son spectacle. À propos de l’élection de Jair Bolsonaro, au Brésil, il croque ce dernier « démocrate illibéral ».
C’est le gouvernement des hauts fonctionnaires et des juges éclairés.
En France, coup de théâtre et amant qui sort du placard de la gauche : Jean-Luc Mélenchon apporte son soutien à Salvini !
Vérificateur de bruits de bottes, encore un nouvel emploi aidé ?
Ce que Pierre Moscovici appelle populisme, c’est l’expression démocratique la plus banale.
Accablants, ces allers-retours entre l’énorme entreprise des cousins et un membre des plus hautes instances politiques de l’État.
Pierre Moscovici n’a-t-il pas déjà eu la main sur les finances de notre pays ?
Cette bévue s’inscrit dans un large mouvement de révolte des élites contre le réseau social américain X.
Apportons quelques éléments au débat sur la démission – ou pas – de Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes.
« La Cour des comptes a pour mission de s’assurer du bon emploi de l’argent public et d’en informer les citoyens. »
En séance de la commission des affaires sociales chargée d’examiner le rapport de la Cour des comptes, le député insoumis Frédéric Mathieu s’est mis à égrainer la longue liste des retraites dont l’ancien ministre de Jospin sous Chirac, puis de l’Économie et des Finances sous Hollande, bénéficie aujourd’hui.
Depuis quand la politique sanitaire de la France se fait-elle dans les salles de rédaction des journaux ?
Une sorte de non-événement comme on a les non-anniversaires dans le monde merveilleux d’Alice.
Emmanuel Macron, champion malgré lui de l’Europe techno-libérale depuis l’annonce de la mise à la retraite prochaine d’Angela Merkel, se retrouve ainsi dans la position du repoussoir idéal pour tous les « lépreux » du Vieux Continent.
Au fait, qui surveille Pierre Moscovici ?
L’homme rode son spectacle. À propos de l’élection de Jair Bolsonaro, au Brésil, il croque ce dernier « démocrate illibéral ».
C’est le gouvernement des hauts fonctionnaires et des juges éclairés.
En France, coup de théâtre et amant qui sort du placard de la gauche : Jean-Luc Mélenchon apporte son soutien à Salvini !
Vérificateur de bruits de bottes, encore un nouvel emploi aidé ?
Ce que Pierre Moscovici appelle populisme, c’est l’expression démocratique la plus banale.
Accablants, ces allers-retours entre l’énorme entreprise des cousins et un membre des plus hautes instances politiques de l’État.
Pierre Moscovici n’a-t-il pas déjà eu la main sur les finances de notre pays ?
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