Politique familiale
À gauche, la politique familiale est toujours la grande absente. Ses candidats feignent sans doute de croire que l’importation de population immigrée aura réponse à tout.
Un effort visant à lutter contre la pauvreté des familles les plus vulnérables, mais au risque de s’éloigner encore un peu de la vocation universelle de la politique familiale…
Les politiques publiques des dernières décennies ont décidé qu’elles voulaient aider l’enfant, mais en tuant la famille.
Cette politique nataliste s’explique par le refus de Viktor Orbán de recourir à l’immigration économique pour compenser le déficit démographique.
Viktor Orbán entend répondre au problème de la baisse de la natalité que rencontre chaque pays de l’Union européenne
Moins médiatique et pourtant cruciale, une autre bataille se livre au sein même du pays : celle des défenseurs de la famille traditionnelle.
« La Démographie est le Destin » disait Auguste Comte.
« Le principe de base, qui s’énonce « à niveau de vie égal, taux d’imposition égal », est un principe républicain. »
Pour les individualistes qui nous gouvernent, la notion même de famille qu’il faudrait protéger en soi relève de l’archaïsme absolu.
« À partir du moment où mon co-rapporteur maintient, dans le rapport, cette proposition de suppression du quotient familial, il est évident que mon nom ne sera pas associé à cette proposition. »
La partie orientale de notre continent, longtemps à l’agonie, connaît aujourd’hui une remontée importante de ses taux de natalité, notamment en Russie (+34.3 % entre 2006 et 2016) et en Biélorussie (+30 %).
C’est déjà le cas en Allemagne. Ce pourrait bientôt être le cas en France.
Comme toute l’Europe centrale, l’Autriche n’échappe pas à un taux de natalité en berne, avec un indice de fécondité de 1,47 en 2015.
Le Vlaams Belang en Belgique, comme l’AfD en Allemagne, se permet de faire la promotion d’une politique nataliste.
Ce n’est pas la première fois qu’on s’attaque à l’universalité des allocations familiales.
Les gouvernements successifs dévoient, en fait, la politique familiale de la France en l’éloignant sans cesse du soutien initial à la fécondité.
L’idée centrale est de « remettre à plat le système d’aide social français pour qu’il soit le plus égalitaire possible ».
À partir d’avril 2018, Agnès Buzyn entend revoir à la baisse la PAJE (prestation d’accueil du jeune enfant).
À gauche, la politique familiale est toujours la grande absente. Ses candidats feignent sans doute de croire que l’importation de population immigrée aura réponse à tout.
Un effort visant à lutter contre la pauvreté des familles les plus vulnérables, mais au risque de s’éloigner encore un peu de la vocation universelle de la politique familiale…
Les politiques publiques des dernières décennies ont décidé qu’elles voulaient aider l’enfant, mais en tuant la famille.
Cette politique nataliste s’explique par le refus de Viktor Orbán de recourir à l’immigration économique pour compenser le déficit démographique.
Viktor Orbán entend répondre au problème de la baisse de la natalité que rencontre chaque pays de l’Union européenne
Moins médiatique et pourtant cruciale, une autre bataille se livre au sein même du pays : celle des défenseurs de la famille traditionnelle.
« La Démographie est le Destin » disait Auguste Comte.
« Le principe de base, qui s’énonce « à niveau de vie égal, taux d’imposition égal », est un principe républicain. »
Pour les individualistes qui nous gouvernent, la notion même de famille qu’il faudrait protéger en soi relève de l’archaïsme absolu.
« À partir du moment où mon co-rapporteur maintient, dans le rapport, cette proposition de suppression du quotient familial, il est évident que mon nom ne sera pas associé à cette proposition. »
La partie orientale de notre continent, longtemps à l’agonie, connaît aujourd’hui une remontée importante de ses taux de natalité, notamment en Russie (+34.3 % entre 2006 et 2016) et en Biélorussie (+30 %).
C’est déjà le cas en Allemagne. Ce pourrait bientôt être le cas en France.
Comme toute l’Europe centrale, l’Autriche n’échappe pas à un taux de natalité en berne, avec un indice de fécondité de 1,47 en 2015.
Le Vlaams Belang en Belgique, comme l’AfD en Allemagne, se permet de faire la promotion d’une politique nataliste.
Ce n’est pas la première fois qu’on s’attaque à l’universalité des allocations familiales.
Les gouvernements successifs dévoient, en fait, la politique familiale de la France en l’éloignant sans cesse du soutien initial à la fécondité.
L’idée centrale est de « remettre à plat le système d’aide social français pour qu’il soit le plus égalitaire possible ».
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