Politique française
Pas étonnant, dès lors, que le cri de révolte du peuple des ronds-points, qui a pendant des semaines reçu le soutien ou au moins la compréhension de l’opinion, ait bénéficié à Marine Le Pen.

Elle a tenu longtemps dans cette fameuse troisième voie centriste, entre le socialisme moribond et la droite dure qui monte. Mais la diabolisation qui marchait

Il faut dire que la victimisation est une constante chez ces femmes politiques de gauche.
Cette démission ratée est un nouvel affront à notre Président…

Martine Aubry avance en dézinguant, c’est sa spécialité.

Dommage que son addiction au jeune Emmanuel l’ait si longtemps aveuglé.
Désormais, les électeur LR, mais aussi ceux de Nicolas Dupont-Aignan et du Rassemblement national, attendent la suite…

Afficher avec une suffisance provocatrice une politique de fracture sociale est évidemment un contresens…

…scier les pattes de Wauquiez la veille de son ascension du mont Mezenc, « je trouve Madame mauvaise copine », comme chantait Brel…
Et ce sera, en 2022, le scénario espéré par Macron : la gauche au faux nez libéral pourra garder le pouvoir…

Depuis l’affaire Benalla, l’autorité d’Emmanuel Macron ne rassure plus les Français mais elle les inquiète.

Cette semaine, Philippe de Villiers a de nouveau reçu, sur ses terres vendéennes, le chef de l’État et il a renouvelé photos et déclarations en sa faveur.

Édouard Philippe (qui ne fait qu’appliquer la volonté d’Emmanuel Macron) préfère passer en force. On n’a plus qu’à se taire.

L’union des droites fait son chemin, malgré les obstacles.
Emmanuel Macron est le petit prince bonapartiste 2.0 que les états-majors de droite n’ont jamais osé fabriquer.
Face au marais macronien, composé de droito-centristes et de socialistes anémiés, droite et gauche de conviction issues de la « France périphérique » ont encore de l’avenir devant elles.

Il est grand temps que MM. Macron et Philippe rappellent certaines lignes rouges à ne pas franchir.

On peut même s’interroger sur un certain degré de connivence tant chacun des comparses s’acharne à tenir son rôle. Ils ont d’ailleurs un point commun évident : ce sont d’excellents comédiens…

Ce Christophe Castaner que l’on voyait si à l’aise devant les journalistes quand il était porte-parole du gouvernement a donc refusé d’aller porter la bonne parole sur le plateau de Léa Salamé…
Pas étonnant, dès lors, que le cri de révolte du peuple des ronds-points, qui a pendant des semaines reçu le soutien ou au moins la compréhension de l’opinion, ait bénéficié à Marine Le Pen.

Elle a tenu longtemps dans cette fameuse troisième voie centriste, entre le socialisme moribond et la droite dure qui monte. Mais la diabolisation qui marchait

Il faut dire que la victimisation est une constante chez ces femmes politiques de gauche.
Cette démission ratée est un nouvel affront à notre Président…

Martine Aubry avance en dézinguant, c’est sa spécialité.

Dommage que son addiction au jeune Emmanuel l’ait si longtemps aveuglé.
Désormais, les électeur LR, mais aussi ceux de Nicolas Dupont-Aignan et du Rassemblement national, attendent la suite…

Afficher avec une suffisance provocatrice une politique de fracture sociale est évidemment un contresens…

…scier les pattes de Wauquiez la veille de son ascension du mont Mezenc, « je trouve Madame mauvaise copine », comme chantait Brel…
Et ce sera, en 2022, le scénario espéré par Macron : la gauche au faux nez libéral pourra garder le pouvoir…

Depuis l’affaire Benalla, l’autorité d’Emmanuel Macron ne rassure plus les Français mais elle les inquiète.

Cette semaine, Philippe de Villiers a de nouveau reçu, sur ses terres vendéennes, le chef de l’État et il a renouvelé photos et déclarations en sa faveur.

Édouard Philippe (qui ne fait qu’appliquer la volonté d’Emmanuel Macron) préfère passer en force. On n’a plus qu’à se taire.

L’union des droites fait son chemin, malgré les obstacles.
Emmanuel Macron est le petit prince bonapartiste 2.0 que les états-majors de droite n’ont jamais osé fabriquer.
Face au marais macronien, composé de droito-centristes et de socialistes anémiés, droite et gauche de conviction issues de la « France périphérique » ont encore de l’avenir devant elles.

Il est grand temps que MM. Macron et Philippe rappellent certaines lignes rouges à ne pas franchir.

On peut même s’interroger sur un certain degré de connivence tant chacun des comparses s’acharne à tenir son rôle. Ils ont d’ailleurs un point commun évident : ce sont d’excellents comédiens…

Ce Christophe Castaner que l’on voyait si à l’aise devant les journalistes quand il était porte-parole du gouvernement a donc refusé d’aller porter la bonne parole sur le plateau de Léa Salamé…
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