Pologne
Les déclarations de Tusk viennent désavouer et ringardiser nos immigrationnistes nationaux, à commencer par Macron.
Marque-t-elle un véritable revirement de Donald Tusk et de ses amis en matière de lutte contre l’immigration illégale ?
L’UE remplace progressivement ses propres productions par des importations sans les soumettre aux mêmes normes.
Macron voulait guerroyer en Ukraine, c’est la Pologne qui vient nous aider à Paris.
« En Pologne, la télévision publique présente des excuses aux personnes LGBT+ », se réjouissait Libération, le 13 février. En effet, deux jours plus tôt, lors d’une
Les Polonais seront-ils ceux sur lequel ce nouveau libéralisme autoritaire et totalitaire va se casser les dents ?
Une dérive autoritaire de la démocratie libérale est confirmée aujourd’hui par les moyens déployés par Donald Tusk.
Qui, à Bruxelles, pour s’indigner de l’émergence d’une démocratie authentiquement illibérale au cœur de l’Europe ?
Une défaite sèche pour les conservateurs polonais, même s’ils restent le premier parti de Pologne.
Si les estimations des sondages sont confirmées, le scrutin mettrait fin à hui ans de gouvernement du parti nationaliste
En Pologne, on semble avoir un tout petit peu moins peur de la démocratie.
La Constitution polonaise est juridiquement supérieure aux normes européennes.
Dans un récent entretien à La Stampa, le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, a affirmé : « Meloni et moi changerons l’Europe : le pouvoir aux seuls pays forts, ça suffit. »
Le sentiment d’insécurité n’existe pas en Pologne, contrairement à la France, où on se sent sous pression dans la rue. Cette différence rend la vie urbaine polonaise beaucoup plus agréable qu’en France.
Si la Pologne se veut leader européen de la résistance contre l’ours russe, elle peine à entraîner derrière elle des gouvernements ouest-européens que son conservatisme dérange.
Mercredi dernier, à quatre jours des élections, la Commission européenne lançait une nouvelle procédure contre la Pologne à propos des réformes du système judiciaire par le PiS.
La Coalition européenne (KE) avait fait de la critique de l’Église catholique et du soutien au lobby LGBT un des axes directeurs de sa campagne.
Le PiS s’est présenté lors de sa convention électorale du week-end dernier comme le parti à même de défendre les familles polonaises.
Tout a commencé par un article du Jerusalem Post qui déformait la réponse donnée à Varsovie par Netanyahou à un journaliste du quotidien de gauche israélien Haaretz…
L’assassinat du maire libéral pro-LGBT de Gdańsk Paweł Adamowicz, attaqué à l’arme blanche, le dimanche 13 janvier…serait, à en croire les libéraux et la gauche, la conséquence directe d’un climat de haine que le PiS ferait régner en Pologne depuis maintenant trois ans.
Du point de vue de Salvini, qui voudrait voir se former un grand bloc de droite après les prochaines élections au Parlement européen, ces discussions s’inscrivent dans la suite logique de ses discussions avec le Premier ministre hongrois Viktor Orbán…
Pour comprendre ces reculs, il faut bien prendre conscience du fait que les partis Fidesz et PiS sont deux partis de type démocrate-chrétien et non nationaliste.
Ces élections sont donc un avertissement pour le PiS, mais Bruxelles aurait tort de miser gros sur une défaite des conservateurs polonais aux prochaines élections législatives en 2019.
…Uniquement des organisations de gauche, pro-LGBT et pro-avortement, dont beaucoup sont financées par… l’OSF de George Soros.
Pour éviter une défaite de la Commission face à la Pologne devant le Conseil de l’Union européenne, les présidents des groupes centre droit (le PPE, dont font partie les LR français), de gauche et d’extrême gauche au Parlement européen ont eu, le 13 juin dernier, une idée lumineuse.
Comme d’habitude quand il est question d’Histoire, les journalistes français ne ratent pas une occasion d’étaler leur ignorance.
Dès le mois d’octobre, le président Andrzej Duda avait annoncé son intention de ratifier, si elle est adoptée par le parlement, la loi interdisant les avortements eugéniques.
On s’en prend à la Pologne car, à l’instar de nombre de pays de l’Est, elle résiste à l’invasion et aux attaques contre ses valeurs et son mode de vie.
Les déclarations de Tusk viennent désavouer et ringardiser nos immigrationnistes nationaux, à commencer par Macron.
Marque-t-elle un véritable revirement de Donald Tusk et de ses amis en matière de lutte contre l’immigration illégale ?
L’UE remplace progressivement ses propres productions par des importations sans les soumettre aux mêmes normes.
Macron voulait guerroyer en Ukraine, c’est la Pologne qui vient nous aider à Paris.
« En Pologne, la télévision publique présente des excuses aux personnes LGBT+ », se réjouissait Libération, le 13 février. En effet, deux jours plus tôt, lors d’une
Les Polonais seront-ils ceux sur lequel ce nouveau libéralisme autoritaire et totalitaire va se casser les dents ?
Une dérive autoritaire de la démocratie libérale est confirmée aujourd’hui par les moyens déployés par Donald Tusk.
Qui, à Bruxelles, pour s’indigner de l’émergence d’une démocratie authentiquement illibérale au cœur de l’Europe ?
Une défaite sèche pour les conservateurs polonais, même s’ils restent le premier parti de Pologne.
Si les estimations des sondages sont confirmées, le scrutin mettrait fin à hui ans de gouvernement du parti nationaliste
En Pologne, on semble avoir un tout petit peu moins peur de la démocratie.
La Constitution polonaise est juridiquement supérieure aux normes européennes.
Dans un récent entretien à La Stampa, le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, a affirmé : « Meloni et moi changerons l’Europe : le pouvoir aux seuls pays forts, ça suffit. »
Le sentiment d’insécurité n’existe pas en Pologne, contrairement à la France, où on se sent sous pression dans la rue. Cette différence rend la vie urbaine polonaise beaucoup plus agréable qu’en France.
Si la Pologne se veut leader européen de la résistance contre l’ours russe, elle peine à entraîner derrière elle des gouvernements ouest-européens que son conservatisme dérange.
Mercredi dernier, à quatre jours des élections, la Commission européenne lançait une nouvelle procédure contre la Pologne à propos des réformes du système judiciaire par le PiS.
La Coalition européenne (KE) avait fait de la critique de l’Église catholique et du soutien au lobby LGBT un des axes directeurs de sa campagne.
Le PiS s’est présenté lors de sa convention électorale du week-end dernier comme le parti à même de défendre les familles polonaises.
Tout a commencé par un article du Jerusalem Post qui déformait la réponse donnée à Varsovie par Netanyahou à un journaliste du quotidien de gauche israélien Haaretz…
L’assassinat du maire libéral pro-LGBT de Gdańsk Paweł Adamowicz, attaqué à l’arme blanche, le dimanche 13 janvier…serait, à en croire les libéraux et la gauche, la conséquence directe d’un climat de haine que le PiS ferait régner en Pologne depuis maintenant trois ans.
Du point de vue de Salvini, qui voudrait voir se former un grand bloc de droite après les prochaines élections au Parlement européen, ces discussions s’inscrivent dans la suite logique de ses discussions avec le Premier ministre hongrois Viktor Orbán…
Pour comprendre ces reculs, il faut bien prendre conscience du fait que les partis Fidesz et PiS sont deux partis de type démocrate-chrétien et non nationaliste.
Ces élections sont donc un avertissement pour le PiS, mais Bruxelles aurait tort de miser gros sur une défaite des conservateurs polonais aux prochaines élections législatives en 2019.
…Uniquement des organisations de gauche, pro-LGBT et pro-avortement, dont beaucoup sont financées par… l’OSF de George Soros.
Pour éviter une défaite de la Commission face à la Pologne devant le Conseil de l’Union européenne, les présidents des groupes centre droit (le PPE, dont font partie les LR français), de gauche et d’extrême gauche au Parlement européen ont eu, le 13 juin dernier, une idée lumineuse.
Comme d’habitude quand il est question d’Histoire, les journalistes français ne ratent pas une occasion d’étaler leur ignorance.
Dès le mois d’octobre, le président Andrzej Duda avait annoncé son intention de ratifier, si elle est adoptée par le parlement, la loi interdisant les avortements eugéniques.
On s’en prend à la Pologne car, à l’instar de nombre de pays de l’Est, elle résiste à l’invasion et aux attaques contre ses valeurs et son mode de vie.