Populisme
Ce que Pierre Moscovici appelle populisme, c’est l’expression démocratique la plus banale.
Il ne faut pas réduire le monde à un simple économisme bourgeois.
On ne transfuse pas des peuples entiers dans des corps sociaux différents. Cela crée des anticorps collectifs.
Elle dénonce l’ouverture des frontières qui, selon elle, consiste à importer des sous-prolétaires entrant en concurrence avec les travailleurs allemands les plus précarisés.
À cette Europe post-soixante-huitarde, Viktor Orbán oppose la nouvelle génération, à laquelle Emmanuel Macron n’appartient que par l’âge biologique.
L’élection de Macron a engagé un processus de recomposition générale sur lequel on n’est pas près de revenir. C’est en cela que réside son caractère historique.
Ce que Pierre Moscovici appelle populisme, c’est l’expression démocratique la plus banale.
Il ne faut pas réduire le monde à un simple économisme bourgeois.
On ne transfuse pas des peuples entiers dans des corps sociaux différents. Cela crée des anticorps collectifs.
Elle dénonce l’ouverture des frontières qui, selon elle, consiste à importer des sous-prolétaires entrant en concurrence avec les travailleurs allemands les plus précarisés.
À cette Europe post-soixante-huitarde, Viktor Orbán oppose la nouvelle génération, à laquelle Emmanuel Macron n’appartient que par l’âge biologique.
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