Premier ministre
Le président avait promis que sa nomination serait jeudi soir
Cette fois, le bébé est là. Il ressemble à Benjamin Button, comme si le nouveau monde avait engendré l’ancien.
Thierry Beaudet s’illustre par une participation active à tous les combats qui détruisent le pays.
Bien qu’officiellement disqualifiée par Emmanuel Macron, Lucie Castets n’abandonne pas sa course vers Matignon.
Cet ancien membre du ministère de l’Économie a le CV typique du technocrate.
Emmanuel Macron semble avoir fermé la porte à la nomination d’un Premier ministre issu des rangs du NFP
L’union à gauche n’est pas pour demain.
Arrivé en première place, il devance Gabriel Attal et François Ruffin.
Ils sont des Black Blocs à boutons de manchette, des antifas de salon lambrissé prêts à tout pour contrer le RN.
On attend avec impatience le nom du successeur de Rima Abdul-Malak. Il est promis à un avenir brillant.
On vante les capacités de négociation du nouveau Premier ministre. Peut-être. Néanmoins, on notera que le nom d’Élisabeth Borne est associé au licenciement des soignants non vaccinés.
Le Président s’est levé de son banc. C’est décidé : la Première ministre, ce sera…
La revue communiste Regards vient juste d’imaginer ce que pourrait être un gouvernement de cohabitation mené par le même Mélenchon. Et là, c’est un peu entre train fantôme et musée des horreurs.
Premier ministre, donc, mais de qui ? Avec qui Jean-Luc Mélenchon souhaite-t-il cohabiter ? Aucune importance.
Le président avait promis que sa nomination serait jeudi soir
Cette fois, le bébé est là. Il ressemble à Benjamin Button, comme si le nouveau monde avait engendré l’ancien.
Thierry Beaudet s’illustre par une participation active à tous les combats qui détruisent le pays.
Bien qu’officiellement disqualifiée par Emmanuel Macron, Lucie Castets n’abandonne pas sa course vers Matignon.
Cet ancien membre du ministère de l’Économie a le CV typique du technocrate.
Emmanuel Macron semble avoir fermé la porte à la nomination d’un Premier ministre issu des rangs du NFP
L’union à gauche n’est pas pour demain.
Arrivé en première place, il devance Gabriel Attal et François Ruffin.
Ils sont des Black Blocs à boutons de manchette, des antifas de salon lambrissé prêts à tout pour contrer le RN.
On attend avec impatience le nom du successeur de Rima Abdul-Malak. Il est promis à un avenir brillant.
On vante les capacités de négociation du nouveau Premier ministre. Peut-être. Néanmoins, on notera que le nom d’Élisabeth Borne est associé au licenciement des soignants non vaccinés.
Le Président s’est levé de son banc. C’est décidé : la Première ministre, ce sera…
La revue communiste Regards vient juste d’imaginer ce que pourrait être un gouvernement de cohabitation mené par le même Mélenchon. Et là, c’est un peu entre train fantôme et musée des horreurs.
Premier ministre, donc, mais de qui ? Avec qui Jean-Luc Mélenchon souhaite-t-il cohabiter ? Aucune importance.
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