Prisons

Robin Cotta a été égorgé dans sa cellule : sa mère accuse le système carcéral.

Sept ans après cette promesse de 15.000 places en cinq ans, on compte généreusement 4.465 places construites.

Inscrire des trafiquants au concours de la pénitenciaire ? Il suffisait d’y penser !

Le gouvernement travailliste britannique relâche plus de 5.000 prisonniers pour faire place aux émeutiers.

On peut craindre le pire : une libération massive dite d’urgence dans la lignée des libérations « sanitaires » du Covid
Le détenu aurait crié « Allah Akbar » lors de l’attaque.

Pour des personnes qui ont commis des délits graves, et qui sont censées faire pénitence en prison, c’est un scandale.

Plongée exceptionnelle dans un univers méconnu du grand public où la France solde, loin des regards, les conséquences d’une politique d’immigration folle.

Le problème majeur, en réalité, est que le prisonnier, et surtout celui des courtes peines, entretient en détention une oisiveté perverse qui l’empêchera de s’insérer sereinement.

À l’instar de nombreux autres services publics de l’État tels notre police, nos armées, nos écoles ou nos hôpitaux, notre système carcéral est désormais à bout de souffle.

Quant à la réinsertion, on ne voit pas très bien en quoi le rap pourrait aider à la manœuvre.

Chaque semaine, Boulevard Voltaire sélectionne dans l’actualité des infos insolites ou extravagantes qui nous ont fait sourire ou des sujets plus sérieux. Course de karting pour les

Nombre de gardiens aimeraient que l’énergie dépensée à préparer des activités pour les détenus soit consacrée à améliorer leurs propres conditions de travail.

Pour qui ont voté les 70.000 détenus que compte la France, dont 22 % à 24,5 % d’étrangers.

Alors que le Président sortant devrait annoncer sa candidature à sa réélection dans les prochaines semaines, ses concurrents commencent à attaquer son bilan quinquennal.

Il faudrait être bien naïf pour imaginer que, aujourd’hui, les peines de prison continueront à être fixées par les tribunaux compétents. En effet, il y

Le document est authentique mais résulterait d’une « initiative locale », se défend l’administration.
Il existe également des sorties organisées pour aider à la « réinsertion ». Pour les plus classiques, il s’agit de randonnées pédestres ou VTT, mais il arrive que l’administration organise des sorties en voilier ou à cheval…

Pour Edwige Diaz, « le but, c’est de savoir précisément quel est le nombre d’étrangers détenus ici »

Pour une grande partie de ceux qui nous dirigent, un prisonnier n’est pas un criminel ou un délinquant mais une victime. La victime d’un système oppressif, inégalitaire ou raciste.

Qu’on prenne garde à ce qui pourrait exploser derrière ces murs qui nous protègent ou à l’air libre.

Nos prisons sont pleines, surchargées, prêtes à exploser. Leur population n’a plus rien à voir avec celle du XIXe siècle, ni même avec celle des années 70.

Il y a urgence absolue. En cas d’explosion, les conséquences en seront incontrôlables. Les surveillants pénitentiaires, en nombre insuffisant et mal payés, seront incapables de faire face et risqueront leur vie.

Les surveillants de Condé-sur-Sarthe sont en grève. On les comprend.

Le secrétaire général du Syndicat pénitentiaire des surveillants revient sur la prise d’otage de la prison de Condé-sur-Sarthe et demande des comptes à l’administration. « En
Le 26 mai prochain, jour des élections européennes, grâce à Mme Belloubet, on va aller encore plus loin. Les détenus pourront voter par correspondance.
Nous proposons au chef doublement étoilé de l’accompagner dans ses prochaines œuvres de charité auprès de nos anciens et des plus démunis.

Il est vrai que madame Belloubet s’est fixé pour objectif principal non pas de lutter contre la délinquance mais contre la surpopulation carcérale…

Robin Cotta a été égorgé dans sa cellule : sa mère accuse le système carcéral.

Sept ans après cette promesse de 15.000 places en cinq ans, on compte généreusement 4.465 places construites.

Inscrire des trafiquants au concours de la pénitenciaire ? Il suffisait d’y penser !

Le gouvernement travailliste britannique relâche plus de 5.000 prisonniers pour faire place aux émeutiers.

On peut craindre le pire : une libération massive dite d’urgence dans la lignée des libérations « sanitaires » du Covid
Le détenu aurait crié « Allah Akbar » lors de l’attaque.

Pour des personnes qui ont commis des délits graves, et qui sont censées faire pénitence en prison, c’est un scandale.

Plongée exceptionnelle dans un univers méconnu du grand public où la France solde, loin des regards, les conséquences d’une politique d’immigration folle.

Le problème majeur, en réalité, est que le prisonnier, et surtout celui des courtes peines, entretient en détention une oisiveté perverse qui l’empêchera de s’insérer sereinement.

À l’instar de nombreux autres services publics de l’État tels notre police, nos armées, nos écoles ou nos hôpitaux, notre système carcéral est désormais à bout de souffle.

Quant à la réinsertion, on ne voit pas très bien en quoi le rap pourrait aider à la manœuvre.

Chaque semaine, Boulevard Voltaire sélectionne dans l’actualité des infos insolites ou extravagantes qui nous ont fait sourire ou des sujets plus sérieux. Course de karting pour les

Nombre de gardiens aimeraient que l’énergie dépensée à préparer des activités pour les détenus soit consacrée à améliorer leurs propres conditions de travail.

Pour qui ont voté les 70.000 détenus que compte la France, dont 22 % à 24,5 % d’étrangers.

Alors que le Président sortant devrait annoncer sa candidature à sa réélection dans les prochaines semaines, ses concurrents commencent à attaquer son bilan quinquennal.

Il faudrait être bien naïf pour imaginer que, aujourd’hui, les peines de prison continueront à être fixées par les tribunaux compétents. En effet, il y

Le document est authentique mais résulterait d’une « initiative locale », se défend l’administration.
Il existe également des sorties organisées pour aider à la « réinsertion ». Pour les plus classiques, il s’agit de randonnées pédestres ou VTT, mais il arrive que l’administration organise des sorties en voilier ou à cheval…

Pour Edwige Diaz, « le but, c’est de savoir précisément quel est le nombre d’étrangers détenus ici »

Pour une grande partie de ceux qui nous dirigent, un prisonnier n’est pas un criminel ou un délinquant mais une victime. La victime d’un système oppressif, inégalitaire ou raciste.

Qu’on prenne garde à ce qui pourrait exploser derrière ces murs qui nous protègent ou à l’air libre.

Nos prisons sont pleines, surchargées, prêtes à exploser. Leur population n’a plus rien à voir avec celle du XIXe siècle, ni même avec celle des années 70.

Il y a urgence absolue. En cas d’explosion, les conséquences en seront incontrôlables. Les surveillants pénitentiaires, en nombre insuffisant et mal payés, seront incapables de faire face et risqueront leur vie.

Les surveillants de Condé-sur-Sarthe sont en grève. On les comprend.

Le secrétaire général du Syndicat pénitentiaire des surveillants revient sur la prise d’otage de la prison de Condé-sur-Sarthe et demande des comptes à l’administration. « En
Le 26 mai prochain, jour des élections européennes, grâce à Mme Belloubet, on va aller encore plus loin. Les détenus pourront voter par correspondance.
Nous proposons au chef doublement étoilé de l’accompagner dans ses prochaines œuvres de charité auprès de nos anciens et des plus démunis.

Il est vrai que madame Belloubet s’est fixé pour objectif principal non pas de lutter contre la délinquance mais contre la surpopulation carcérale…
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