Procès du 13-novembre
« Nous savions tout cela. Mais nous ne savions pas où, quand et comment ils allaient frapper. »
La protection des Français exigeait de nommer le mal et de le traiter pour ce qu’il est, un acte inscrit dans un plan criminel contre l’humanité, et non pas un terrorisme ordinaire…
L’issue du procès est déjà connue d’avance, ce sera perpète, le soutien psychologique pour l’accusé sera un plus. Mais entre-temps, la république laïque veut comprendre.
Eh bien, Monsieur Cazeneuve, oui, lorsque le droit ne va pas, il faut le changer.
Le procès historique qui fait suite aux attentats du 13 novembre a été ouvert ce mercredi 8 septembre. En raison de l’extrême gravité des faits
Alors que les accusés sont interrogés par le président de la cour sur leur identité, Salah Abdeslam prend la parole, donnant immédiatement le ton que prendrait son témoignage.
« Nous savions tout cela. Mais nous ne savions pas où, quand et comment ils allaient frapper. »
La protection des Français exigeait de nommer le mal et de le traiter pour ce qu’il est, un acte inscrit dans un plan criminel contre l’humanité, et non pas un terrorisme ordinaire…
L’issue du procès est déjà connue d’avance, ce sera perpète, le soutien psychologique pour l’accusé sera un plus. Mais entre-temps, la république laïque veut comprendre.
Eh bien, Monsieur Cazeneuve, oui, lorsque le droit ne va pas, il faut le changer.
Le procès historique qui fait suite aux attentats du 13 novembre a été ouvert ce mercredi 8 septembre. En raison de l’extrême gravité des faits
Alors que les accusés sont interrogés par le président de la cour sur leur identité, Salah Abdeslam prend la parole, donnant immédiatement le ton que prendrait son témoignage.