Quotidien
Au matin, les cotillons étaient restés sous plastique, les mines sentaient la bataille perdue, la débâcle.
Quotidien a envoyé trois têtes chercheuses chargées de comprendre l’incompréhensible.
« C’est ce qui fait du corps du nageur non seulement un idéal sportif, mais également un idéal pour faire l’amour. »
Il y a un vrai décalage entre ce qui est prêché en plateau et la réalité des coulisses.
Après ses propos violents impunis à ce jour, l’ex-humoriste de France Inter débarque dans l’émission de Yann Barthès.
L’envoyé spécial de Boboland s’attendait à être chassé, mais le métier n’est plus ce qu’il était.
L’émission de Yann Barthès reste elle-même, jusqu’à en être caricaturale.
L’émission Quotidien de Yann Barthès est accusée de racisme : Cyril Hanouna relance la guerre contre son concurrent.
Voilà Yann Barthès pris au piège de sa propre idéologie.
L’acteur vient d’intégrer le jury du festival de Cannes 2024.
Sur le plateau de Quotidien, la journaliste Ambre Chalumeau déroule la pelote queer jusqu’au bout.
Le journaliste reste obstinément aveugle à la défaite que constitue cette affaire.
L’animateur de Quotidien auditionné à l’Assemblée ? « Arrogance, toute-puissance et mépris »…
Pour la première fois, Yann Barthès devra s’expliquer sérieusement sur son refus d’inviter tout représentant du RN.
Un manque de pluralisme revendiqué chez Quotidien. L’Arcom et Reporters Sans Frontières n’y verront rien de méchant.
Seules les personnalités bénéficiant de cette étiquette peuvent être célébrées.
Plusieurs élus conservateurs, aux États-Unis, ont décidé de sonner la fin de la grande récréation LGBT et, partant, de restreindre les spectacles des drag-queens, tout simplement en les interdisant aux enfants.
L’émission de Barthès et sa bande est revenue sur l’affaire Palmade. Mais attention, pas au sens où on aurait pu l’entendre. Il s’est agi, en réalité, d’un florilège sur la banalité du mal.
L’animateur révèle que son objectif professionnel était de devenir cadreur à la télé, le voilà livré à des olibrius qui ne peuvent pas l’encadrer. Ah, que la société a changé…
« Si Marine Le Pen est élue le 24, c’est une option à prendre en compte, ce sera la faute de qui ? » Le presque élu manque tomber de son fauteuil. « Ben, des Françaises et des Français. » Ah ah. Pas des Allemands ou des Anglais.
On peine à ne pas voir, devant cette réaction épidermique médiatico-politique, une sorte de réflexe pavlovien à deux vitesses selon le média visé ou le candidat attaqué.
Des barricades ont été dressées devant le studio, des alarmes activées, des chiens dressés à la détection de la mauvaise pensée sont prêts à bondir. Il ne passera pas.
La dame va défaillir : y aurait-il « something rotten in the state of Denmark » ?
Au matin, les cotillons étaient restés sous plastique, les mines sentaient la bataille perdue, la débâcle.
Quotidien a envoyé trois têtes chercheuses chargées de comprendre l’incompréhensible.
« C’est ce qui fait du corps du nageur non seulement un idéal sportif, mais également un idéal pour faire l’amour. »
Il y a un vrai décalage entre ce qui est prêché en plateau et la réalité des coulisses.
Après ses propos violents impunis à ce jour, l’ex-humoriste de France Inter débarque dans l’émission de Yann Barthès.
L’envoyé spécial de Boboland s’attendait à être chassé, mais le métier n’est plus ce qu’il était.
L’émission de Yann Barthès reste elle-même, jusqu’à en être caricaturale.
L’émission Quotidien de Yann Barthès est accusée de racisme : Cyril Hanouna relance la guerre contre son concurrent.
Voilà Yann Barthès pris au piège de sa propre idéologie.
L’acteur vient d’intégrer le jury du festival de Cannes 2024.
Sur le plateau de Quotidien, la journaliste Ambre Chalumeau déroule la pelote queer jusqu’au bout.
Le journaliste reste obstinément aveugle à la défaite que constitue cette affaire.
L’animateur de Quotidien auditionné à l’Assemblée ? « Arrogance, toute-puissance et mépris »…
Pour la première fois, Yann Barthès devra s’expliquer sérieusement sur son refus d’inviter tout représentant du RN.
Un manque de pluralisme revendiqué chez Quotidien. L’Arcom et Reporters Sans Frontières n’y verront rien de méchant.
Seules les personnalités bénéficiant de cette étiquette peuvent être célébrées.
Plusieurs élus conservateurs, aux États-Unis, ont décidé de sonner la fin de la grande récréation LGBT et, partant, de restreindre les spectacles des drag-queens, tout simplement en les interdisant aux enfants.
L’émission de Barthès et sa bande est revenue sur l’affaire Palmade. Mais attention, pas au sens où on aurait pu l’entendre. Il s’est agi, en réalité, d’un florilège sur la banalité du mal.
L’animateur révèle que son objectif professionnel était de devenir cadreur à la télé, le voilà livré à des olibrius qui ne peuvent pas l’encadrer. Ah, que la société a changé…
« Si Marine Le Pen est élue le 24, c’est une option à prendre en compte, ce sera la faute de qui ? » Le presque élu manque tomber de son fauteuil. « Ben, des Françaises et des Français. » Ah ah. Pas des Allemands ou des Anglais.
On peine à ne pas voir, devant cette réaction épidermique médiatico-politique, une sorte de réflexe pavlovien à deux vitesses selon le média visé ou le candidat attaqué.
Des barricades ont été dressées devant le studio, des alarmes activées, des chiens dressés à la détection de la mauvaise pensée sont prêts à bondir. Il ne passera pas.
La dame va défaillir : y aurait-il « something rotten in the state of Denmark » ?