Racisme anti-Blancs

Au Royaume-Uni, une nouvelle directive incite les juges à se montrer compréhensifs lorsque l’accusé est un non-Blanc.

L’appropriation culturelle n’est pas condamnée quand c’est un « racisé » qui incarne à l’écran un personnage blanc.

Les nombreux délires qu’il profère rencontrent un certain succès auprès d’utilisateurs africains revanchards.

Les arbitres sont de moins en moins respectés et les joueurs de plus en plus virulents entre eux.

Ce n’est pas une nouvelle : la France a laissé se développer une véritable culture de la violence.

C’est le principe même, machiavélique, de l’idéologie woke : que l’homme blanc et ses œuvres soient toujours coupables.

Au grand dam de la gauche, la parole s’est libérée. L’ère du déni est maintenant terminée.

Certes, Véran a mûri depuis sa fébrilité adolescente du temps de « la Covid », mais au fond, c’est le même bonhomme.

Car au-delà d’être un « vendu », une « putain de passoire », le « pire gardien de l’histoire du tir au but » ou encore un « fils de pute », Hugo Lloris a un impardonnable défaut : c’est un « sale Blanc ».

Une récente décision judiciaire est venue fragiliser encore une situation sécuritaire déjà extrêmement précaire.
Dans sa décision, le tribunal correctionnel a retenu l’outrage à une personne dépositaire de l’autorité publique en raison de « la race, de l’ethnie ou de la religion ».

Donc, les Blancs d’un côté et les « racisés » de l’autre, c’est ça ?

Comment les langues anciennes pourraient-elles résister ? Dès que les délires américains seront récupérés, l’atteinte sera fatale et emportera ce qui reste des « lettres classiques ».

Aujourd’hui, le petit business de Manon Aubry s’écrit sur les dernières pages de l’agenda politique de la gauche française.

Elle donne aujourd’hui une interview à Boulevard Voltaire pour expliquer le sens de son engagement et réagir, notamment, à la publication du sondage de CNews sur le racisme anti-Blanc.

Nous ne sommes pas la génération « genou à terre », alors nous avons décidé d’agir.
Le racisme n’a pas de couleur ni d’excuses, ses auteurs sont tous à mettre au même niveau.
Je ne crois pas me souvenir que la police patrouillait à nos sorties d’école, mais une fois encore, ces temps ne sont plus…

Figure de style, métaphore, stylisation, de l’art, quoi.

Avec Fary, nous avons trouvé, selon la glaçante formule d’Édouard Philippe à propos de Notre-Dame, « une flèche adaptée aux enjeux de notre époque ».

J’attends, surtout, que Mme Belloubet et M. Castaner fassent enfin leur travail en enquêtant et saisissant la Justice.
Certains découvrent, aujourd’hui, le racisme anti-Blanc. Nous ne les avons pas attendus. Mais nous nous réjouissons que la LICRA, enfin et plutôt pitoyablement, suive nos traces.

À l’inverse du titre, d’une limpidité immaculée, sa démonstration plonge le lecteur dans un abîme de tuyauteries intellectuelles alambiquées.

Ce rappeur a au moins le mérite de montrer les conséquences de la propagande que nous subissons depuis cinquante ans.
Monsieur Fassin, il est aisé de ne voir que ce que l’on veut voir de l’Histoire.
Le rappeur Nick Conrad sera jugé en janvier 2019 pour « provocation directe à commettre des atteintes à la vie ». Aucune mention d’incitation à la haine

Il ne subsiste, dorénavant, que les ruines d’un pays en proie au communautarisme.

Pas comme ce salaud de Zemmour qui, lui, est un vrai raciste.

Au Royaume-Uni, une nouvelle directive incite les juges à se montrer compréhensifs lorsque l’accusé est un non-Blanc.

L’appropriation culturelle n’est pas condamnée quand c’est un « racisé » qui incarne à l’écran un personnage blanc.

Les nombreux délires qu’il profère rencontrent un certain succès auprès d’utilisateurs africains revanchards.

Les arbitres sont de moins en moins respectés et les joueurs de plus en plus virulents entre eux.

Ce n’est pas une nouvelle : la France a laissé se développer une véritable culture de la violence.

C’est le principe même, machiavélique, de l’idéologie woke : que l’homme blanc et ses œuvres soient toujours coupables.

Au grand dam de la gauche, la parole s’est libérée. L’ère du déni est maintenant terminée.

Certes, Véran a mûri depuis sa fébrilité adolescente du temps de « la Covid », mais au fond, c’est le même bonhomme.

Car au-delà d’être un « vendu », une « putain de passoire », le « pire gardien de l’histoire du tir au but » ou encore un « fils de pute », Hugo Lloris a un impardonnable défaut : c’est un « sale Blanc ».

Une récente décision judiciaire est venue fragiliser encore une situation sécuritaire déjà extrêmement précaire.
Dans sa décision, le tribunal correctionnel a retenu l’outrage à une personne dépositaire de l’autorité publique en raison de « la race, de l’ethnie ou de la religion ».

Donc, les Blancs d’un côté et les « racisés » de l’autre, c’est ça ?

Comment les langues anciennes pourraient-elles résister ? Dès que les délires américains seront récupérés, l’atteinte sera fatale et emportera ce qui reste des « lettres classiques ».

Aujourd’hui, le petit business de Manon Aubry s’écrit sur les dernières pages de l’agenda politique de la gauche française.

Elle donne aujourd’hui une interview à Boulevard Voltaire pour expliquer le sens de son engagement et réagir, notamment, à la publication du sondage de CNews sur le racisme anti-Blanc.

Nous ne sommes pas la génération « genou à terre », alors nous avons décidé d’agir.
Le racisme n’a pas de couleur ni d’excuses, ses auteurs sont tous à mettre au même niveau.
Je ne crois pas me souvenir que la police patrouillait à nos sorties d’école, mais une fois encore, ces temps ne sont plus…

Figure de style, métaphore, stylisation, de l’art, quoi.

Avec Fary, nous avons trouvé, selon la glaçante formule d’Édouard Philippe à propos de Notre-Dame, « une flèche adaptée aux enjeux de notre époque ».

J’attends, surtout, que Mme Belloubet et M. Castaner fassent enfin leur travail en enquêtant et saisissant la Justice.
Certains découvrent, aujourd’hui, le racisme anti-Blanc. Nous ne les avons pas attendus. Mais nous nous réjouissons que la LICRA, enfin et plutôt pitoyablement, suive nos traces.

À l’inverse du titre, d’une limpidité immaculée, sa démonstration plonge le lecteur dans un abîme de tuyauteries intellectuelles alambiquées.

Ce rappeur a au moins le mérite de montrer les conséquences de la propagande que nous subissons depuis cinquante ans.
Monsieur Fassin, il est aisé de ne voir que ce que l’on veut voir de l’Histoire.
Le rappeur Nick Conrad sera jugé en janvier 2019 pour « provocation directe à commettre des atteintes à la vie ». Aucune mention d’incitation à la haine

Il ne subsiste, dorénavant, que les ruines d’un pays en proie au communautarisme.

Pas comme ce salaud de Zemmour qui, lui, est un vrai raciste.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
