référendum
Une nouvelle Assemblée avant l’été ?
Évidemment, Emmanuel Macron devrait mettre son mandat dans la balance, le 9 juin prochain.
Les institutions sont-elles au service de la démocratie ou servent-elles à empêcher son expression ?
En Pologne, on semble avoir un tout petit peu moins peur de la démocratie.
« Le droit constitutionnel n’est pas une science, c’est de la politique appliquée »
Si un référendum est organisé, l’Elysée en sortira immanquablement perdant.
Outre les 185 parlementaires nécessaires, Debout la France va devoir trouver près de 5 millions de signataires. Dans une France opposée à 70 % à la réforme des retraites, cela devrait se trouver…
On n’avance pas vers une sortie de crise, sauf qu’on voit que les dernières décisions de Monsieur Poutine engendrent une crise interne à la Russie qui pourrait bien se terminer par la chute du pouvoir en place, et en particulier celle de Monsieur Poutine.
Depuis l’origine, même avant la gifle de 2005, l’Europe déploie ainsi avec la démocratie les rapports charmants d’un violeur avec sa victime.
Désormais, l’opposition est majoritaire au Parlement en ses deux chambres et pourrait donc imposer un projet de loi référendaire.
Si Marine Le Pen est élue, il y aura des gens qui seront content et d’autres mécontents, comme dans n’importe quelle élection. Il y aura des oppositions. C’est une bonne chose qu’il y ait des oppositions, en démocratie.
Comment marquer au fer rouge une Marine Le Pen décidément rétive à la diabolisation, en ce début de campagne de second tour ? Le Monde explore une voie. Tout en finesse, comme d’habitude.
Promettre d’appliquer sans faille les lois réglementant le séjour et, surtout, le retour des immigrés clandestins ou délinquants est plus sûr, car là, les États ont encore des marges de manœuvre non négligeables que la France n’utilise pas.
Force est de conclure que la droite ne se souvient qu’elle est de droite que lorsqu’elle est en danger.
Les soignants sont de plus en plus ulcérés par ce mode de fonctionnement qui privilégie la rentabilité aux dépens de la qualité des soins.
Le candidat utile sera celui qui prône la démocratie directe afin que la France sorte de sa paralysie et aborde sereinement la mondialisation, à l’instar de la Suisse.
Cette fatalité ne peut être brisée que si les Français retrouvent leur liberté, et cela ne pourra se faire que par référendum.
Référendum, la seule solution. D’accord, pas d’accord.
Malin comme un politicien de l’ancien monde, Macron n’aura rien décidé en matière de transition écologique, mais avec le superflu gadget qu’est son référendum, il aura gagné du temps, brassé du vent et bonimenté
Toute activité humaine pourra être dénoncée, et sanctionnée, au nom du sacro-saint principe de l’extrême écologie.
Déconnecté des préoccupations de la population, le président de la République a choisi de privilégier un autre sujet : le changement climatique.
Le Président avait indiqué, alors, que des référendums pourraient être lancés sur des points particuliers. « DES » référendums !
Un mouvement des gilets jaunes et/ou une manif pour tous numériques, en quelque sorte ?
Le 10 mai, le Conseil constitutionnel a rendu un avis favorable à la tenue d’un référendum d’initiative partagée concernant la vente de la société publique Aéroports de Paris.
Consensus exceptionnel et inouï dans notre démocratie super chahutée du moment…
En tout cas, on ne devrait pas se moquer de la Suisse.
Une lecture intelligente et novatrice trouverait les trois bonnes raisons à cette inauguration solennelle de la votation populaire, dix ans après sa naissance – l’âge de raison…
Une nouvelle Assemblée avant l’été ?
Évidemment, Emmanuel Macron devrait mettre son mandat dans la balance, le 9 juin prochain.
Les institutions sont-elles au service de la démocratie ou servent-elles à empêcher son expression ?
En Pologne, on semble avoir un tout petit peu moins peur de la démocratie.
« Le droit constitutionnel n’est pas une science, c’est de la politique appliquée »
Si un référendum est organisé, l’Elysée en sortira immanquablement perdant.
Outre les 185 parlementaires nécessaires, Debout la France va devoir trouver près de 5 millions de signataires. Dans une France opposée à 70 % à la réforme des retraites, cela devrait se trouver…
On n’avance pas vers une sortie de crise, sauf qu’on voit que les dernières décisions de Monsieur Poutine engendrent une crise interne à la Russie qui pourrait bien se terminer par la chute du pouvoir en place, et en particulier celle de Monsieur Poutine.
Depuis l’origine, même avant la gifle de 2005, l’Europe déploie ainsi avec la démocratie les rapports charmants d’un violeur avec sa victime.
Désormais, l’opposition est majoritaire au Parlement en ses deux chambres et pourrait donc imposer un projet de loi référendaire.
Si Marine Le Pen est élue, il y aura des gens qui seront content et d’autres mécontents, comme dans n’importe quelle élection. Il y aura des oppositions. C’est une bonne chose qu’il y ait des oppositions, en démocratie.
Comment marquer au fer rouge une Marine Le Pen décidément rétive à la diabolisation, en ce début de campagne de second tour ? Le Monde explore une voie. Tout en finesse, comme d’habitude.
Promettre d’appliquer sans faille les lois réglementant le séjour et, surtout, le retour des immigrés clandestins ou délinquants est plus sûr, car là, les États ont encore des marges de manœuvre non négligeables que la France n’utilise pas.
Force est de conclure que la droite ne se souvient qu’elle est de droite que lorsqu’elle est en danger.
Les soignants sont de plus en plus ulcérés par ce mode de fonctionnement qui privilégie la rentabilité aux dépens de la qualité des soins.
Le candidat utile sera celui qui prône la démocratie directe afin que la France sorte de sa paralysie et aborde sereinement la mondialisation, à l’instar de la Suisse.
Cette fatalité ne peut être brisée que si les Français retrouvent leur liberté, et cela ne pourra se faire que par référendum.
Référendum, la seule solution. D’accord, pas d’accord.
Malin comme un politicien de l’ancien monde, Macron n’aura rien décidé en matière de transition écologique, mais avec le superflu gadget qu’est son référendum, il aura gagné du temps, brassé du vent et bonimenté
Toute activité humaine pourra être dénoncée, et sanctionnée, au nom du sacro-saint principe de l’extrême écologie.
Déconnecté des préoccupations de la population, le président de la République a choisi de privilégier un autre sujet : le changement climatique.
Le Président avait indiqué, alors, que des référendums pourraient être lancés sur des points particuliers. « DES » référendums !
Un mouvement des gilets jaunes et/ou une manif pour tous numériques, en quelque sorte ?
Le 10 mai, le Conseil constitutionnel a rendu un avis favorable à la tenue d’un référendum d’initiative partagée concernant la vente de la société publique Aéroports de Paris.
Consensus exceptionnel et inouï dans notre démocratie super chahutée du moment…
En tout cas, on ne devrait pas se moquer de la Suisse.
Une lecture intelligente et novatrice trouverait les trois bonnes raisons à cette inauguration solennelle de la votation populaire, dix ans après sa naissance – l’âge de raison…
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