Remaniement
Délit de blasphème, laxisme, ironie sur le port de l’uniforme… Nicole Belloubet apparaît comme un choix incohérent.
Cette déconnexion n’est pas anecdotique, bien au contraire…
Mise en examen, Rachida Dati, connue pour son franc-parler, sera difficile à canaliser.
Choisis pour ce qu’ils sont… et non ce qu’ils font. (Ou ont fait.)
Bien sûr, des noms circulaient, tantôt envisagés, tantôt écartés.
On attend avec impatience le nom du successeur de Rima Abdul-Malak. Il est promis à un avenir brillant.
L’important, c’est de changer, de tenir la France en haleine, de montrer qu’on détient encore la foudre des nominations.
Remaniement ou pas, Macron gardera le manche du pouvoir et le cap mondialiste.
Que faut-il retenir de ce remaniement croupion ? Rien sur le fond.
Pas d’effet d’annonce grandiloquent, donc, dans ce remaniement.
Certains voudraient nous faire croire que la France retient son souffle…
Emmanuel Macron s’exprimera d’ici à la fin de la semaine.
Le politologue Guillaume Bigot analyse à notre micro le remaniement opéré par Emmanuel Macron et Élisabeth Borne. Des changements à la marge pour un cap inchangé, sinon absent !
La voici donc nommée secrétaire d’État, chargée de l’Économie sociale et solidaire et de la Vie associative après une traversée du désert, version bac à sable…
Le remaniement illustre une fois de plus la déchirure qui détruit l’ancien parti de Sarkozy.
Olivier Véran incarne la faillite de la crise du Covid, la suspension des soignants non vaccinés et la mise en place d’une politique des plus répressives avec le vote du passe sanitaire et du passe vaccinal.
Alors qu’il vient de reconnaître qu’il avait menti dans l’affaire du Stade de France, il a été non seulement maintenu dans les mêmes fonctions, mais même promu.
Un tout dernier clin d’œil : on note l’absence remarquée de Christophe Castaner dans cette fine équipe.
Il y a dans ces choix une désinvolture qui confine au mépris.
Les diverses passations de pouvoir ne furent qu’effusions, embrassades et tapes dans le dos. Quelques larmes, aussi…
Il va participer pleinement à la transformation d’Emmanuel Macron en candidat reconditionné, remis en selle…
Le genou était symboliquement plié. L’affaire aussi.
La nouvelle équipe est donc composée pour entamer la reconquête des instants idylliques de la victoire surréaliste de 2017.
Me Gilbert Collard réagit au sujet du remaniement annoncé ce lundi soir. Concernant la nomination de Me Eric Dupond-Moretti comme garde des Sceaux, il déclare
Même s’il salue la bonne nouvelle du départ de Christophe Castaner, Alexandre Langlois précise que le ministre de l’Intérieur doit être exemplaire. Or, le policier
De l’art de comprendre que, par essence, la vie est tragique et que gouverner un pays comme le nôtre relève d’un tout autre art que celui consistant à gérer un conseil d’administration de société anonyme.
Le bruit court d’un remaniement prochain qui, pour faire face aux défis à venir, rassemblerait la fine fleur de la nation…
Délit de blasphème, laxisme, ironie sur le port de l’uniforme… Nicole Belloubet apparaît comme un choix incohérent.
Cette déconnexion n’est pas anecdotique, bien au contraire…
Mise en examen, Rachida Dati, connue pour son franc-parler, sera difficile à canaliser.
Choisis pour ce qu’ils sont… et non ce qu’ils font. (Ou ont fait.)
Bien sûr, des noms circulaient, tantôt envisagés, tantôt écartés.
On attend avec impatience le nom du successeur de Rima Abdul-Malak. Il est promis à un avenir brillant.
L’important, c’est de changer, de tenir la France en haleine, de montrer qu’on détient encore la foudre des nominations.
Remaniement ou pas, Macron gardera le manche du pouvoir et le cap mondialiste.
Que faut-il retenir de ce remaniement croupion ? Rien sur le fond.
Pas d’effet d’annonce grandiloquent, donc, dans ce remaniement.
Certains voudraient nous faire croire que la France retient son souffle…
Emmanuel Macron s’exprimera d’ici à la fin de la semaine.
Le politologue Guillaume Bigot analyse à notre micro le remaniement opéré par Emmanuel Macron et Élisabeth Borne. Des changements à la marge pour un cap inchangé, sinon absent !
La voici donc nommée secrétaire d’État, chargée de l’Économie sociale et solidaire et de la Vie associative après une traversée du désert, version bac à sable…
Le remaniement illustre une fois de plus la déchirure qui détruit l’ancien parti de Sarkozy.
Olivier Véran incarne la faillite de la crise du Covid, la suspension des soignants non vaccinés et la mise en place d’une politique des plus répressives avec le vote du passe sanitaire et du passe vaccinal.
Alors qu’il vient de reconnaître qu’il avait menti dans l’affaire du Stade de France, il a été non seulement maintenu dans les mêmes fonctions, mais même promu.
Un tout dernier clin d’œil : on note l’absence remarquée de Christophe Castaner dans cette fine équipe.
Il y a dans ces choix une désinvolture qui confine au mépris.
Les diverses passations de pouvoir ne furent qu’effusions, embrassades et tapes dans le dos. Quelques larmes, aussi…
Il va participer pleinement à la transformation d’Emmanuel Macron en candidat reconditionné, remis en selle…
Le genou était symboliquement plié. L’affaire aussi.
La nouvelle équipe est donc composée pour entamer la reconquête des instants idylliques de la victoire surréaliste de 2017.
Me Gilbert Collard réagit au sujet du remaniement annoncé ce lundi soir. Concernant la nomination de Me Eric Dupond-Moretti comme garde des Sceaux, il déclare
Même s’il salue la bonne nouvelle du départ de Christophe Castaner, Alexandre Langlois précise que le ministre de l’Intérieur doit être exemplaire. Or, le policier
De l’art de comprendre que, par essence, la vie est tragique et que gouverner un pays comme le nôtre relève d’un tout autre art que celui consistant à gérer un conseil d’administration de société anonyme.
Le bruit court d’un remaniement prochain qui, pour faire face aux défis à venir, rassemblerait la fine fleur de la nation…