Renaissance
Pour les candidats à la présidence de Renaissance, l’enjeu du congrès est double : se placer et redonner vie au parti.
Le vote Bardella dans l’agglomération parisienne atteint le score inédit de 22 %, faisant un bond spectaculaire de 8 %
Aider à mourir Renaissance, euthanasier ce parti moribond sera le message envoyé aux Français adeptes de la fin de vie.
BV était sur place avec Jordan Florentin et Julien Tellier.
La majorité est à l’épreuve et très sérieusement secouée. Et ce n’est pas l’éloignement momentané d’Emmanuel Macron ni sa gênante virée à Kinshasa qui ont rassuré les troupes.
C’est donc là que se révèle l’horrible vérité : Renaissance cherche en vain les clients, même cachés sous les bancs de l’Assemblée.
Loïc Signor ne s’est jamais caché de certains « désaccords » avec une partie de sa direction.
Dans cette écrasante majorité, on trouve… les députés Renaissance. Eux aussi se sont opposés à ce que l’on enquête, ou même que l’on débatte, sur le fait que les impôts des Européens servent à financer un mouvement islamiste
« Incompréhensible », oui. Surtout pour ceux qui croyaient que Nicolas Sarkozy incarnait la droiture, la vraie.
Rarement l’incohérence de ce système finissant n’aura été aussi criante : les Français élisent un Président, fatalement tenté de se comporter en roi, mais qui se tient à peine mieux qu’un boutiquier.
Pour continuer de filer cette métaphore, filmique tant que philosophique, on constatera que dans l’actuelle France, nous n’en sommes plus très loin. Il y a la réalité des médias et celle de la rue.
On assiste ainsi à quelques ralliements étonnants, laissant à supposer, pour reprendre une formule empruntée à La Rochefoucauld, que les vertus pourraient bien se perdre dans l’intérêt comme les fleuves dans la mer.
Ce mouvement va devenir un parti politique qui aura pour objectif de « toujours faire le choix des Lumières contre l’obscurantisme ».
Pour les candidats à la présidence de Renaissance, l’enjeu du congrès est double : se placer et redonner vie au parti.
Le vote Bardella dans l’agglomération parisienne atteint le score inédit de 22 %, faisant un bond spectaculaire de 8 %
Aider à mourir Renaissance, euthanasier ce parti moribond sera le message envoyé aux Français adeptes de la fin de vie.
BV était sur place avec Jordan Florentin et Julien Tellier.
La majorité est à l’épreuve et très sérieusement secouée. Et ce n’est pas l’éloignement momentané d’Emmanuel Macron ni sa gênante virée à Kinshasa qui ont rassuré les troupes.
C’est donc là que se révèle l’horrible vérité : Renaissance cherche en vain les clients, même cachés sous les bancs de l’Assemblée.
Loïc Signor ne s’est jamais caché de certains « désaccords » avec une partie de sa direction.
Dans cette écrasante majorité, on trouve… les députés Renaissance. Eux aussi se sont opposés à ce que l’on enquête, ou même que l’on débatte, sur le fait que les impôts des Européens servent à financer un mouvement islamiste
« Incompréhensible », oui. Surtout pour ceux qui croyaient que Nicolas Sarkozy incarnait la droiture, la vraie.
Rarement l’incohérence de ce système finissant n’aura été aussi criante : les Français élisent un Président, fatalement tenté de se comporter en roi, mais qui se tient à peine mieux qu’un boutiquier.
Pour continuer de filer cette métaphore, filmique tant que philosophique, on constatera que dans l’actuelle France, nous n’en sommes plus très loin. Il y a la réalité des médias et celle de la rue.
On assiste ainsi à quelques ralliements étonnants, laissant à supposer, pour reprendre une formule empruntée à La Rochefoucauld, que les vertus pourraient bien se perdre dans l’intérêt comme les fleuves dans la mer.
Ce mouvement va devenir un parti politique qui aura pour objectif de « toujours faire le choix des Lumières contre l’obscurantisme ».