Renaud Camus
La juridiction agenaise n’a pas retenu les arguments de la défense, qui prônaient une relaxe au motif de la liberté d’expression.
Malgré l’effondrement culturel ou celui du système scolaire nous conditionnant à accepter le remplacement de notre propre civilisation, Renaud Camus rappelle que les dissidents qui
Il lui était reproché d’avoir publié un tweet raciste. Le tribunal correctionnel de Paris a, finalement, relaxé l’écrivain Renaud Camus, mercredi 10 février, annonce Le Monde.
On sait, on s’en doute un peu – on n’est pas aveugles et complètement imbéciles -, que la France ne sera jamais plus comme dans les films de Fernandel.
C’est peu dire qu’on aurait bien du mal à trouver dans ses cent cinquante livres quelque filiation célinienne.
Pour faire disparaître ce qui ne lui plaît pas, le pouvoir a deux solutions : il supprime ou il submerge.
Je ne sais pas si j’ai bien compris Renaud Camus mais en tout cas il a ouvert la porte à la réflexion.
Quand j’ai convié Renaud Camus à un dialogue, j’avoue avoir eu une seconde d’hésitation, comme un frisson de peur…
La juridiction agenaise n’a pas retenu les arguments de la défense, qui prônaient une relaxe au motif de la liberté d’expression.
Malgré l’effondrement culturel ou celui du système scolaire nous conditionnant à accepter le remplacement de notre propre civilisation, Renaud Camus rappelle que les dissidents qui
Il lui était reproché d’avoir publié un tweet raciste. Le tribunal correctionnel de Paris a, finalement, relaxé l’écrivain Renaud Camus, mercredi 10 février, annonce Le Monde.
On sait, on s’en doute un peu – on n’est pas aveugles et complètement imbéciles -, que la France ne sera jamais plus comme dans les films de Fernandel.
C’est peu dire qu’on aurait bien du mal à trouver dans ses cent cinquante livres quelque filiation célinienne.
Pour faire disparaître ce qui ne lui plaît pas, le pouvoir a deux solutions : il supprime ou il submerge.
Je ne sais pas si j’ai bien compris Renaud Camus mais en tout cas il a ouvert la porte à la réflexion.
Quand j’ai convié Renaud Camus à un dialogue, j’avoue avoir eu une seconde d’hésitation, comme un frisson de peur…
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