Repentance
On trouve à côté de chaque vitrine ou œuvre un baratin bien-pensant nous invitant à la repentance sur l’horrible passé colonial de l’Europe assorti d’une leçon de morale sur notre présent honteux
On a découvert au Canada, dans un ancien pensionnat pour « autochtones », une fosse contenant les restes de plus de deux cents enfants…
Tout sonnait faux dans ce long et pénible exercice de masochisme dont le contenu et la chorégraphie ont été minutieusement préparés par un comité africain d’intellectuels gauchistes.
Quant à la repentance française, elle alimentera chez de nombreux jeunes d’origine algérienne le sentiment de leur identité victimaire propre à justifier leur séparatisme.
Voilà que soudain, de l’autre côté de l’Atlantique, des artistes s’interrogent…
Cet asservissement des dirigeants européens à la vague de fond, par idéologie ou suivisme, peut nous alarmer à bon droit.
Pour les pieds-noirs assassinés ou chassés. Pour la tombe de leurs aïeuls profanée. Pour les biens dont ils ont été spoliés et qui ont été tous dilapidés : lorsque la France est partie, Alger ressemblait à Nice. C’est aujourd’hui Bagdad, à peu de choses près.
Suite aux propos tenus, ce week-end, par le président algérien Abdelmadjid Tebboune, Jean Sévillia et Robert Ménard ripostent au micro de Boulevard Voltaire. Comment la
La repentance fait bombance.
Emmanuel Macron souhaite donner à la guerre d’Algérie « le même statut que celui qu’avait la Shoah pour Chirac en 1995 ».
Non, non et non, ça suffit, cette permanente repentance mémorielle !
Des colonies grecques comme Marseille jusqu’aux États-Unis, une colonie et le plus puissant État du monde, la colonisation et l’invasion ont été les grands moteurs de l’Histoire avec leurs aspects positifs ou négatifs pour les peuples concernés.
Alors qu’il était en Côte d’Ivoire, Emmanuel Macron a qualifié le colonialisme de « faute de la République ». Réaction de l’historien Jean Sévillia. En
Napoléon ne serait pas mort en 1821 à Sainte-Hélène mais entre 1969 et 2019, quelque part en France, dans une localité qui s’appelle Repentance.
On ne peut qu’appuyer cette demande marquée au coin du bon sens, Cortés ayant assimilé avec une rapidité confondante les codes de civilité des Aztèques et des Mayas à qui il aurait emprunté la pittoresque coutume de l’holocauste humain de masse…
Mais si le roi d’Espagne le fait, en toute bonne logique, les musulmans devraient à leur tour demander pardon.
L’Histoire est écrite par les vainqueurs, surtout s’ils sont idéologiques.
La loi Taubira sur l’esclavage subsiste comme un tabou vénéré, alors qu’elle cumule tous les défauts.
Le positionnement est politique, manichéen : l’Occident a pillé l’Afrique, il doit rendre gorge. Point.
Pour eux, le passé doit être jugé au présent pour que le futur soit rose, et tant pis si cela suscite des générations amnésiques.
Par sa repentance insultante à l’égard de la mémoire, Emmanuel Macron est-il digne de célébrer bientôt le centième anniversaire de l’armistice de 1918 ?
L’amertume et le ressentiment, voire la haine, envers « l’autre Espagne » ont rempli leurs cœurs
Première case cochée. Le 2 juin dernier, le Premier ministre socialiste a refusé de prêter serment sur la Bible et devant un crucifix. Une première en Espagne…
On l’aura compris, c’est d’abord un coup de repentance de plus que souhaite l’insoumis…
C’en est assez de la culpabilisation des Français ! C’en est assez de la repentance à sens unique !
On trouve à côté de chaque vitrine ou œuvre un baratin bien-pensant nous invitant à la repentance sur l’horrible passé colonial de l’Europe assorti d’une leçon de morale sur notre présent honteux
On a découvert au Canada, dans un ancien pensionnat pour « autochtones », une fosse contenant les restes de plus de deux cents enfants…
Tout sonnait faux dans ce long et pénible exercice de masochisme dont le contenu et la chorégraphie ont été minutieusement préparés par un comité africain d’intellectuels gauchistes.
Quant à la repentance française, elle alimentera chez de nombreux jeunes d’origine algérienne le sentiment de leur identité victimaire propre à justifier leur séparatisme.
Voilà que soudain, de l’autre côté de l’Atlantique, des artistes s’interrogent…
Cet asservissement des dirigeants européens à la vague de fond, par idéologie ou suivisme, peut nous alarmer à bon droit.
Pour les pieds-noirs assassinés ou chassés. Pour la tombe de leurs aïeuls profanée. Pour les biens dont ils ont été spoliés et qui ont été tous dilapidés : lorsque la France est partie, Alger ressemblait à Nice. C’est aujourd’hui Bagdad, à peu de choses près.
Suite aux propos tenus, ce week-end, par le président algérien Abdelmadjid Tebboune, Jean Sévillia et Robert Ménard ripostent au micro de Boulevard Voltaire. Comment la
La repentance fait bombance.
Emmanuel Macron souhaite donner à la guerre d’Algérie « le même statut que celui qu’avait la Shoah pour Chirac en 1995 ».
Non, non et non, ça suffit, cette permanente repentance mémorielle !
Des colonies grecques comme Marseille jusqu’aux États-Unis, une colonie et le plus puissant État du monde, la colonisation et l’invasion ont été les grands moteurs de l’Histoire avec leurs aspects positifs ou négatifs pour les peuples concernés.
Alors qu’il était en Côte d’Ivoire, Emmanuel Macron a qualifié le colonialisme de « faute de la République ». Réaction de l’historien Jean Sévillia. En
Napoléon ne serait pas mort en 1821 à Sainte-Hélène mais entre 1969 et 2019, quelque part en France, dans une localité qui s’appelle Repentance.
On ne peut qu’appuyer cette demande marquée au coin du bon sens, Cortés ayant assimilé avec une rapidité confondante les codes de civilité des Aztèques et des Mayas à qui il aurait emprunté la pittoresque coutume de l’holocauste humain de masse…
Mais si le roi d’Espagne le fait, en toute bonne logique, les musulmans devraient à leur tour demander pardon.
L’Histoire est écrite par les vainqueurs, surtout s’ils sont idéologiques.
La loi Taubira sur l’esclavage subsiste comme un tabou vénéré, alors qu’elle cumule tous les défauts.
Le positionnement est politique, manichéen : l’Occident a pillé l’Afrique, il doit rendre gorge. Point.
Pour eux, le passé doit être jugé au présent pour que le futur soit rose, et tant pis si cela suscite des générations amnésiques.
Par sa repentance insultante à l’égard de la mémoire, Emmanuel Macron est-il digne de célébrer bientôt le centième anniversaire de l’armistice de 1918 ?
L’amertume et le ressentiment, voire la haine, envers « l’autre Espagne » ont rempli leurs cœurs
Première case cochée. Le 2 juin dernier, le Premier ministre socialiste a refusé de prêter serment sur la Bible et devant un crucifix. Une première en Espagne…
On l’aura compris, c’est d’abord un coup de repentance de plus que souhaite l’insoumis…
C’en est assez de la culpabilisation des Français ! C’en est assez de la repentance à sens unique !
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