republication
La prochaine sortie du Napoléon de Ridley Scott a de quoi interroger les Français et leur rapport à l’Histoire.
Le cinéaste nous livre un film intelligent et perspicace ; qui plus est, doté d’une photographie extrêmement soignée.
Avec Sauver ou périr, le réalisateur Frédéric Tellier, nous propose un film-hommage à ces soldats du feu
Ensemble, les huit nageurs et leurs deux entraîneurs, au fil de cocasses péripéties, accompliront l’impossible.
Un garçon se lie d’amitié avec un braconnier du coin, Totoche, qui lui apprendra peu à peu à apprivoiser la nature.
À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir les films que nous avions aimés lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, First Man, l’histoire
Il s’agit là du plus grand hommage que des cinéastes puissent rendre à la peinture.
Un film qui rappelle innocemment que les maris savent parfois prendre leurs responsabilités.
Reste un beau film sur la paysannerie et sur les relations père-fils.
La réussite du film revient en partie à Ana Girardot, qui porte le récit sur ses épaules.
Ingrat, odieux, ridicule, Godard, par peur de rater le train de la modernité, achèvera de se déconnecter du peuple.
Une comédie inoffensive de Carine Tardieu soulignant la nécessité, pour chacun, de connaître son père biologique.
Les auteurs nous vendent le Tigre mais, au fond, Clemenceau n’est là que pour mettre en valeur Deschanel.
Le pari du film de Zabou Breitman et d’Eléa Gobbé-Mévellec repose sur le contraste entre la dureté de ce qui nous est ra
«Où s’arrête-t-on une fois que l’on a décidé de réécrire l’Histoire ? »
Le film de Thierry de Peretti a pour intérêt de s’inspirer de personnages réels, tous abattus en 2001.
Les trente premières minutes du récit passent en revue les principaux arguments de la pensée royaliste !
L’imbrication de la petite Histoire dans la grande est désormais un classique du cinéma et ne manque pas d’efficacité.
Le comédien livre une interprétation crédible et emporte notre adhésion.
Un film où passion, retenue, honneur, courage, élégance et fraternité sont mis en avant
Le spectateur passe un bon moment et c’est l’essentiel.
On sort de la salle avec l’envie de revoir le film pour mieux en analyser toutes les subtilités.
Le film suit la trajectoire de Nicola, un jeune Napolitain des quartiers pauvres dont la mère commerçante subit régulièrement le racket des bandes organisées…
Un film discutable mais à voir tout de même.
Il témoigne d’une Europe qui n’a pas totalement abandonné sa foi chrétienne face aux injonctions de la modernité
Des lycéens se voient refuser l’accès au bac pour avoir rendu hommage aux victimes de Budapest.
La prochaine sortie du Napoléon de Ridley Scott a de quoi interroger les Français et leur rapport à l’Histoire.
Le cinéaste nous livre un film intelligent et perspicace ; qui plus est, doté d’une photographie extrêmement soignée.
Avec Sauver ou périr, le réalisateur Frédéric Tellier, nous propose un film-hommage à ces soldats du feu
Ensemble, les huit nageurs et leurs deux entraîneurs, au fil de cocasses péripéties, accompliront l’impossible.
Un garçon se lie d’amitié avec un braconnier du coin, Totoche, qui lui apprendra peu à peu à apprivoiser la nature.
À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir les films que nous avions aimés lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, First Man, l’histoire
Il s’agit là du plus grand hommage que des cinéastes puissent rendre à la peinture.
Un film qui rappelle innocemment que les maris savent parfois prendre leurs responsabilités.
Reste un beau film sur la paysannerie et sur les relations père-fils.
La réussite du film revient en partie à Ana Girardot, qui porte le récit sur ses épaules.
Ingrat, odieux, ridicule, Godard, par peur de rater le train de la modernité, achèvera de se déconnecter du peuple.
Une comédie inoffensive de Carine Tardieu soulignant la nécessité, pour chacun, de connaître son père biologique.
Les auteurs nous vendent le Tigre mais, au fond, Clemenceau n’est là que pour mettre en valeur Deschanel.
Le pari du film de Zabou Breitman et d’Eléa Gobbé-Mévellec repose sur le contraste entre la dureté de ce qui nous est ra
«Où s’arrête-t-on une fois que l’on a décidé de réécrire l’Histoire ? »
Le film de Thierry de Peretti a pour intérêt de s’inspirer de personnages réels, tous abattus en 2001.
Les trente premières minutes du récit passent en revue les principaux arguments de la pensée royaliste !
L’imbrication de la petite Histoire dans la grande est désormais un classique du cinéma et ne manque pas d’efficacité.
Le comédien livre une interprétation crédible et emporte notre adhésion.
Un film où passion, retenue, honneur, courage, élégance et fraternité sont mis en avant
Le spectateur passe un bon moment et c’est l’essentiel.
On sort de la salle avec l’envie de revoir le film pour mieux en analyser toutes les subtilités.
Le film suit la trajectoire de Nicola, un jeune Napolitain des quartiers pauvres dont la mère commerçante subit régulièrement le racket des bandes organisées…
Un film discutable mais à voir tout de même.
Il témoigne d’une Europe qui n’a pas totalement abandonné sa foi chrétienne face aux injonctions de la modernité
Des lycéens se voient refuser l’accès au bac pour avoir rendu hommage aux victimes de Budapest.
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