RN
Pour Boulevard Voltaire, Sébastien Chenu évoque les thèmes qui ont agité les élus et les militants. Le RN regarde désormais l’avenir sans complexe.
À l’image des comptes du parti assainis par d’excellents scores aux élections législatives et de la future élection pour la présidence du parti, Marine Le Pen et ses troupes actent une forme de « reset ».
À dix jours des législatives italiennes, une échéance majeure aussi pour l’Europe, Vincenzo Sofo, mari de Marion Maréchal, député européen et membre de Fratelli d’Italia, le parti de Giorgia Meloni, nous livre en exclusivité son analyse sur les enjeux du scrutin et sa vision de la politique française.
Jordan Bardella et Louis Aliot sont deux candidats sur la même ligne, ils n’ont pas de points de divergence idéologique.
Le RN de Bardella se met en ordre de marche pour 2027. Et ce ne sera pas sans Marine Le Pen.
Loin des injonctions festivistes et des appels à l’insouciance, Olivier Fisher a perdu la sienne, ce soir-là, en même temps que l’un de ses meilleurs amis. Pas question, pour lui, de sombrer dans l’angélisme.
À cet instant, le garde des Sceaux redevient ce qu’il est, un bloc. Un bloc de haine de la nation, de ses représentants et de ceux qui y sont attachés.
C’est qu’ils sont malins, au RN. Ils vous font disparaître un « grand gaillard » député en un clin d’œil plus vite qu’un cadavre de journaliste dans une ambassade saoudienne !
Le maire de Perpignan, ancien député et vice-président du Rassemblement national, annonce officiellement sa candidature à la présidence du parti anciennement présidé par Marine Le Pen et brigué par Jordan Bardella.
On voit mal qui pourrait barrer la route au jeune et fulgurant Bardella. Seule Marine Le Pen en aurait les capacités.
Il y a là plus qu’une provocation, plus qu’une dispute sur le fond : une entreprise profondément antidémocratique, une volonté de tuer, d’exclure, de disqualifier, de marquer au fer rouge, coûte que coûte, une partie de la représentation nationale.
Comment expliquer cette opposition du RN à une mesure apparemment de bon sens, soutenant les salariés les plus précaires ?
Lors de cette intervention magistrale, Julien Odoul évoque les agressions du week-end du 14 juillet. Éric Dupond-Moretti rit, puis marmonne derrière son masque…
Le mot de colère d’Élisabeth Borne est révélateur. Il dévoile la duplicité du macronisme vis-à-vis de ce qui fait la France : ses frontières.
Le jeune homme confie avoir dénombré une quarantaine de personnes, certains masqués, tous vêtus de noir.
Comment le RN peut-il dès lors sortir de ce piège qui interdit d’évoquer certains thèmes, sous peine de basculer à nouveau dans le camp des réprouvés ?
Une majorité de circonstance s’est reconstituée au sein de chaque commission pour écarter le Rassemblement national des postes clés, alors même qu’il est le deuxième groupe de l’Assemblée nationale.
Ce sondage montre une envolée des personnalités de la droite nationale, à commencer par la première d’entre elles : Marine Le Pen gagne 6 points, à 39 % d’avis favorables.
Cette puissante commission est désormais présidée par un Insoumis, ancien membre de la Ligue communiste révolutionnaire, ce dont, d’ailleurs, LR et majorité présidentielle devraient parfaitement s’accommoder…
Pap Ndiaye a trouvé la cause de tous les maux de la société éducative et le sens profond de son action : il doit combattre avant tout le Rassemblement national, parti dans la République mais pas républicain.
Pour Boulevard Voltaire, Sébastien Chenu évoque les thèmes qui ont agité les élus et les militants. Le RN regarde désormais l’avenir sans complexe.
À l’image des comptes du parti assainis par d’excellents scores aux élections législatives et de la future élection pour la présidence du parti, Marine Le Pen et ses troupes actent une forme de « reset ».
À dix jours des législatives italiennes, une échéance majeure aussi pour l’Europe, Vincenzo Sofo, mari de Marion Maréchal, député européen et membre de Fratelli d’Italia, le parti de Giorgia Meloni, nous livre en exclusivité son analyse sur les enjeux du scrutin et sa vision de la politique française.
Jordan Bardella et Louis Aliot sont deux candidats sur la même ligne, ils n’ont pas de points de divergence idéologique.
Le RN de Bardella se met en ordre de marche pour 2027. Et ce ne sera pas sans Marine Le Pen.
Loin des injonctions festivistes et des appels à l’insouciance, Olivier Fisher a perdu la sienne, ce soir-là, en même temps que l’un de ses meilleurs amis. Pas question, pour lui, de sombrer dans l’angélisme.
À cet instant, le garde des Sceaux redevient ce qu’il est, un bloc. Un bloc de haine de la nation, de ses représentants et de ceux qui y sont attachés.
C’est qu’ils sont malins, au RN. Ils vous font disparaître un « grand gaillard » député en un clin d’œil plus vite qu’un cadavre de journaliste dans une ambassade saoudienne !
Le maire de Perpignan, ancien député et vice-président du Rassemblement national, annonce officiellement sa candidature à la présidence du parti anciennement présidé par Marine Le Pen et brigué par Jordan Bardella.
On voit mal qui pourrait barrer la route au jeune et fulgurant Bardella. Seule Marine Le Pen en aurait les capacités.
Il y a là plus qu’une provocation, plus qu’une dispute sur le fond : une entreprise profondément antidémocratique, une volonté de tuer, d’exclure, de disqualifier, de marquer au fer rouge, coûte que coûte, une partie de la représentation nationale.
Comment expliquer cette opposition du RN à une mesure apparemment de bon sens, soutenant les salariés les plus précaires ?
Lors de cette intervention magistrale, Julien Odoul évoque les agressions du week-end du 14 juillet. Éric Dupond-Moretti rit, puis marmonne derrière son masque…
Le mot de colère d’Élisabeth Borne est révélateur. Il dévoile la duplicité du macronisme vis-à-vis de ce qui fait la France : ses frontières.
Le jeune homme confie avoir dénombré une quarantaine de personnes, certains masqués, tous vêtus de noir.
Comment le RN peut-il dès lors sortir de ce piège qui interdit d’évoquer certains thèmes, sous peine de basculer à nouveau dans le camp des réprouvés ?
Une majorité de circonstance s’est reconstituée au sein de chaque commission pour écarter le Rassemblement national des postes clés, alors même qu’il est le deuxième groupe de l’Assemblée nationale.
Ce sondage montre une envolée des personnalités de la droite nationale, à commencer par la première d’entre elles : Marine Le Pen gagne 6 points, à 39 % d’avis favorables.
Cette puissante commission est désormais présidée par un Insoumis, ancien membre de la Ligue communiste révolutionnaire, ce dont, d’ailleurs, LR et majorité présidentielle devraient parfaitement s’accommoder…
Pap Ndiaye a trouvé la cause de tous les maux de la société éducative et le sens profond de son action : il doit combattre avant tout le Rassemblement national, parti dans la République mais pas républicain.