Rokhaya Diallo
La militante affirme que « la liberté d’expression des femmes non blanches est entravée ».
Retrouvez chaque vendredi les perles politiques de la semaine !
L’avantage du racisme anti-Blanc, c’est qu’on ne risque aucune condamnation, puisqu’il n’existe pas.
Comme en pareil cas, Yannick Jadot appelle le Numéro Vert « Sandrine Assistance ».
Quelle mouche a piqué Rokhaya Diallo ? Pourquoi tout déballer à ce moment-là ? Sincérité soudaine ou sourde vengeance ?
Il aurait sans doute fallu panthéoniser une personnalité ayant craché sur le pays. Quel dommage que, dans le cahier des charges, personne n’y ait pensé.
Céline Pina avait accusé Rokhaya Diallo d’une « proximité avec la mouvance islamique ».
Celle qui se définit elle-même comme « une féministe intersectionnelle et décoloniale » vient de perdre toute crédibilité.
Emmanuel Macron vient d’arriver au Rwanda pour y présenter – du moins, c’est ce qui est attendu – les « excuses officielles » de la
Quoi de mieux… qu’un bon petit point racisto-godwinien de derrière les fagots ?
Si des femmes musulmanes n’arrivent pas à s’émanciper, ce n’est pas la faute de leur culture, c’est la faute de la culture qu’on veut leur imposer.
On l’a compris, il y a contenu haineux et contenu haineux.
D’abord, il s’agit de plaire « sous la ceinture » à des téléspectateurs qu’on imagine friands de cette vulgarité – ce qui est absurde -…
Que se serait-il donc passé si Éric Zemmour avait susurré les mêmes gentillesses sur Hapsatou Sy que Rokhaya Diallo sur Charlotte d’Ornellas ?
Voilà, chère Rokhaya. Merci infiniment de m’avoir permis d’étaler mes états d’âme.
Il était grand temps que Boulevard Voltaire aborde à son tour l’épineuse affaire dite du « pansement de Rokhaya Diallo »
Dans une confrontation avec Rokhaya Diallo, le journaliste persiste sur la signification du port du voile islamique.
Comment vivraient les ligues de vertu antiracistes si, par malheur pour elles, le racisme n’était plus ?
Les « tentatives d’ethnicisation » n’ont rien dû à l’éviction de Mme Diallo, mais tout à Mme Diallo elle-même.
Rokhaya Diallo ne saurait être rémunérée pour une mission au service de la France et, dans le même temps, l’invectiver sans cesse.
La militante affirme que « la liberté d’expression des femmes non blanches est entravée ».
Retrouvez chaque vendredi les perles politiques de la semaine !
L’avantage du racisme anti-Blanc, c’est qu’on ne risque aucune condamnation, puisqu’il n’existe pas.
Comme en pareil cas, Yannick Jadot appelle le Numéro Vert « Sandrine Assistance ».
Quelle mouche a piqué Rokhaya Diallo ? Pourquoi tout déballer à ce moment-là ? Sincérité soudaine ou sourde vengeance ?
Il aurait sans doute fallu panthéoniser une personnalité ayant craché sur le pays. Quel dommage que, dans le cahier des charges, personne n’y ait pensé.
Céline Pina avait accusé Rokhaya Diallo d’une « proximité avec la mouvance islamique ».
Celle qui se définit elle-même comme « une féministe intersectionnelle et décoloniale » vient de perdre toute crédibilité.
Emmanuel Macron vient d’arriver au Rwanda pour y présenter – du moins, c’est ce qui est attendu – les « excuses officielles » de la
Quoi de mieux… qu’un bon petit point racisto-godwinien de derrière les fagots ?
Si des femmes musulmanes n’arrivent pas à s’émanciper, ce n’est pas la faute de leur culture, c’est la faute de la culture qu’on veut leur imposer.
On l’a compris, il y a contenu haineux et contenu haineux.
D’abord, il s’agit de plaire « sous la ceinture » à des téléspectateurs qu’on imagine friands de cette vulgarité – ce qui est absurde -…
Que se serait-il donc passé si Éric Zemmour avait susurré les mêmes gentillesses sur Hapsatou Sy que Rokhaya Diallo sur Charlotte d’Ornellas ?
Voilà, chère Rokhaya. Merci infiniment de m’avoir permis d’étaler mes états d’âme.
Il était grand temps que Boulevard Voltaire aborde à son tour l’épineuse affaire dite du « pansement de Rokhaya Diallo »
Dans une confrontation avec Rokhaya Diallo, le journaliste persiste sur la signification du port du voile islamique.
Comment vivraient les ligues de vertu antiracistes si, par malheur pour elles, le racisme n’était plus ?
Les « tentatives d’ethnicisation » n’ont rien dû à l’éviction de Mme Diallo, mais tout à Mme Diallo elle-même.
Rokhaya Diallo ne saurait être rémunérée pour une mission au service de la France et, dans le même temps, l’invectiver sans cesse.
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