Royaume-Uni

Il est donc particulièrement liberticide d’évoquer la possibilité de faire revoter les Britanniques sur le Brexit.

Le « hard Brexit » fait peur et serait sans doute catastrophique. Voilà la chance de l’opiniâtre Mme May.
L’Angleterre a toujours préfiguré les profonds changements sociaux. Là, il ne s’agit plus des Beatles ou des punks… C’est autrement inquiétant.

L’avenir de l’Europe n’est pas dans un prêt-à-porter universel…

Eh bien, présenter un repas avec un petit drapeau britannique, c’est « raciste » !

Comment sortir l’Angleterre de l’Europe tout en y restant ?

Les édiles grands-bretons n’avaient pas pensé à tout. Faudra-t-il creuser un nouvel étang réservé aux transgenres…

Pourquoi s’arrêter là ? Pourquoi ne pas instaurer une circulation séparée : les hommes sur un trottoir, les femmes sur l’autre…
Mais qu’attendez-vous des rois ? Qu’ils soient des extraterrestres dans un monde moderne corrompu ?
le philosophe se produisait sur les planches londoniennes pour démonter consciencieusement le Brexit.

Sur fond d’azur, pour rappeler le bleu de l’Océan pacifique, deux bandes d’or symbolisant le soleil de la Californie.

Les enthousiasmes collectifs sont d’autant plus purs, limpides et unanimes que nulle once d’esprit partisan ne vient les troubler, les entraver.

Notre République est bien loin d’atteindre cette popularité.

Voilà, c’est fait. Ils sont mariés…

Stéphane Bern, OBE, s’extasiera sur la capacité de la monarchie britannique à épouser – le mot est de circonstance – notre époque.
La Grande-Bretagne s’est donc aperçue qu’en classe de troisième, seconde et première les élèves se montraient incapables de déchiffrer l’heure au moyen des aiguilles !
Quoi de moins dans l’air du temps que ce nouveau-né ? Quoi de plus désuet que l’importance accordée à sa filiation ?
Elle paye certainement le prix d’une vision angélique de la sécurité et de l’intégration. Gardons-nous de suivre le même chemin.
Chaque jour apporte son lot de révélations au sujet de l’exploitation de centaines d’enfants en Grande-Bretagne.
Près de 1.000 enfants (blancs) ont été abusés sexuellement, torturés, voire prostitués par des gangs dont les membres étaient d’origine pakistanaise ou bangladaise.
Il y a un certain panache à déposer sa carrière au pied de la Couronne pour un retard d’une minute.
À Oxford, on ne rigole pas avec ces sujets graves.
Un sous-officier britannique, appartenant aux fameux SAS, a décapité un djihadiste de Daech sur le théâtre afghan.
Le PDG de JP Morgan hurlait à qui voulait bien l’entendre qu’il déplacerait 4.000 employés de Londres vers d’autres grandes Bourses européennes…

Certaines écoles britanniques, sous couvert de ne heurter aucune sensibilité spirituelle, n’utiliseront plus les références « avant et après Jésus-Christ ».
L’interdiction de la viande halal dans les cantines scolaires vient d’être votée dans le comté du Lancashire.

C’est beau, l’amour.
La France et le Royaume Uni devront rapidement réfléchir à leur destin commun, bien plus qu’avec l’Allemagne.

Il est donc particulièrement liberticide d’évoquer la possibilité de faire revoter les Britanniques sur le Brexit.

Le « hard Brexit » fait peur et serait sans doute catastrophique. Voilà la chance de l’opiniâtre Mme May.
L’Angleterre a toujours préfiguré les profonds changements sociaux. Là, il ne s’agit plus des Beatles ou des punks… C’est autrement inquiétant.

L’avenir de l’Europe n’est pas dans un prêt-à-porter universel…

Eh bien, présenter un repas avec un petit drapeau britannique, c’est « raciste » !

Comment sortir l’Angleterre de l’Europe tout en y restant ?

Les édiles grands-bretons n’avaient pas pensé à tout. Faudra-t-il creuser un nouvel étang réservé aux transgenres…

Pourquoi s’arrêter là ? Pourquoi ne pas instaurer une circulation séparée : les hommes sur un trottoir, les femmes sur l’autre…
Mais qu’attendez-vous des rois ? Qu’ils soient des extraterrestres dans un monde moderne corrompu ?
le philosophe se produisait sur les planches londoniennes pour démonter consciencieusement le Brexit.

Sur fond d’azur, pour rappeler le bleu de l’Océan pacifique, deux bandes d’or symbolisant le soleil de la Californie.

Les enthousiasmes collectifs sont d’autant plus purs, limpides et unanimes que nulle once d’esprit partisan ne vient les troubler, les entraver.

Notre République est bien loin d’atteindre cette popularité.

Voilà, c’est fait. Ils sont mariés…

Stéphane Bern, OBE, s’extasiera sur la capacité de la monarchie britannique à épouser – le mot est de circonstance – notre époque.
La Grande-Bretagne s’est donc aperçue qu’en classe de troisième, seconde et première les élèves se montraient incapables de déchiffrer l’heure au moyen des aiguilles !
Quoi de moins dans l’air du temps que ce nouveau-né ? Quoi de plus désuet que l’importance accordée à sa filiation ?
Elle paye certainement le prix d’une vision angélique de la sécurité et de l’intégration. Gardons-nous de suivre le même chemin.
Chaque jour apporte son lot de révélations au sujet de l’exploitation de centaines d’enfants en Grande-Bretagne.
Près de 1.000 enfants (blancs) ont été abusés sexuellement, torturés, voire prostitués par des gangs dont les membres étaient d’origine pakistanaise ou bangladaise.
Il y a un certain panache à déposer sa carrière au pied de la Couronne pour un retard d’une minute.
À Oxford, on ne rigole pas avec ces sujets graves.
Un sous-officier britannique, appartenant aux fameux SAS, a décapité un djihadiste de Daech sur le théâtre afghan.
Le PDG de JP Morgan hurlait à qui voulait bien l’entendre qu’il déplacerait 4.000 employés de Londres vers d’autres grandes Bourses européennes…

Certaines écoles britanniques, sous couvert de ne heurter aucune sensibilité spirituelle, n’utiliseront plus les références « avant et après Jésus-Christ ».
L’interdiction de la viande halal dans les cantines scolaires vient d’être votée dans le comté du Lancashire.

C’est beau, l’amour.
La France et le Royaume Uni devront rapidement réfléchir à leur destin commun, bien plus qu’avec l’Allemagne.
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