ruralité
Il aurait peut-être été plus élégant d’ajourner ce déplacement plutôt que de le réduire à une portion congrue
Si on additionne les chiffres lâchés par Élisabeth Borne dans son ode aux ruralités, on compte… 217 petits millions.
La colère est montée lorsque « notre » préfet a décidé d’ouvrir un centre de migrants dans la petite ville de Réalmont.
Au-delà des villes dites « moyennes », c’est également le sort de nos campagnes qui devient préoccupant.
La vie et la jeunesse reviennent. Dès la rentrée de septembre, une quinzaine d’élèves en blouses grises empliront de leurs cris et de leurs jeux la cour de récréation aujourd’hui silencieuse.
Dans ces territoires où, bien souvent, « le député est toujours à Paris et jamais sur le terrain », les grands oubliés se tournent vers des candidats implantés localement et attentifs à leurs soucis.
Le temps d’une émission de télé (L’amour est dans le pré), d’une exposition photo comme celle de Victorine Alisse ou d’un confinement (la peur de manquer), les français renouent parfois avec leurs paysans.
Depuis plusieurs années, une partie de la France dite périphérique se réveille. Le département de l’Aisne, notamment, a voté à près de 60 % (59,9 %) en faveur de la candidate RN au second tour des élections présidentielles. Que s’est-il passé ?
Chez Reconquête, Maylis Perrot pense que les électeurs ont voté Le Pen en se tournant vers un nom qu’ils connaissent ; maintenant, aux législatives, ce sera aux candidats de faire la différence.
La PME industrielle familiale est l’idéal économique que nous devons viser.
Qualifier cette France d’« extrême droite » est emblématique de la scission électorale de notre pays.
Tous les candidats à l’Élysée, grands ou petits, étaient invités mais les candidats de gauche ont décliné, sauf Fabien Roussel qui, comme Marine Le Pen, a proposé l’envoi d’un ambassadeur. Macron n’a pas répondu.
Une annonce destinée à soutenir la natalité française dans la ruralité qui intervient dans un contexte particulier, celui du possible ralliement de Marion Maréchal au parti Reconquête.
Ils étaient 42.000 manifestants en France, samedi, selon le ministère de l’Intérieur : circassiens, chasseurs et agriculteurs pour faire entendre leur voix. Subissant les injonctions
La mobilisation de ces Goliath urbains a eu raison du David rural
Il aurait peut-être été plus élégant d’ajourner ce déplacement plutôt que de le réduire à une portion congrue
Si on additionne les chiffres lâchés par Élisabeth Borne dans son ode aux ruralités, on compte… 217 petits millions.
La colère est montée lorsque « notre » préfet a décidé d’ouvrir un centre de migrants dans la petite ville de Réalmont.
Au-delà des villes dites « moyennes », c’est également le sort de nos campagnes qui devient préoccupant.
La vie et la jeunesse reviennent. Dès la rentrée de septembre, une quinzaine d’élèves en blouses grises empliront de leurs cris et de leurs jeux la cour de récréation aujourd’hui silencieuse.
Dans ces territoires où, bien souvent, « le député est toujours à Paris et jamais sur le terrain », les grands oubliés se tournent vers des candidats implantés localement et attentifs à leurs soucis.
Le temps d’une émission de télé (L’amour est dans le pré), d’une exposition photo comme celle de Victorine Alisse ou d’un confinement (la peur de manquer), les français renouent parfois avec leurs paysans.
Depuis plusieurs années, une partie de la France dite périphérique se réveille. Le département de l’Aisne, notamment, a voté à près de 60 % (59,9 %) en faveur de la candidate RN au second tour des élections présidentielles. Que s’est-il passé ?
Chez Reconquête, Maylis Perrot pense que les électeurs ont voté Le Pen en se tournant vers un nom qu’ils connaissent ; maintenant, aux législatives, ce sera aux candidats de faire la différence.
La PME industrielle familiale est l’idéal économique que nous devons viser.
Qualifier cette France d’« extrême droite » est emblématique de la scission électorale de notre pays.
Tous les candidats à l’Élysée, grands ou petits, étaient invités mais les candidats de gauche ont décliné, sauf Fabien Roussel qui, comme Marine Le Pen, a proposé l’envoi d’un ambassadeur. Macron n’a pas répondu.
Une annonce destinée à soutenir la natalité française dans la ruralité qui intervient dans un contexte particulier, celui du possible ralliement de Marion Maréchal au parti Reconquête.
Ils étaient 42.000 manifestants en France, samedi, selon le ministère de l’Intérieur : circassiens, chasseurs et agriculteurs pour faire entendre leur voix. Subissant les injonctions
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