saint Michel
Il aura suffi au chariot élévateur sur place de quelques heures et de quelques mètres pour contenter les libres censeurs
Le maire et le curé des Sables-d’Olonne en ont fait aujourd’hui l’annonce conjointe lors d’une conférence de presse.
Depuis 2019, la statue de saint Michel des Sables-d’Olonne fait l’objet d’un combat judiciaire et politique acharné…
Le Conseil d’État n’admet pas le pourvoi en cassation de la ville et condamne donc la statue.
À en voir la ferveur de l’assistance et la hauteur des propos, gageons que la prochaine fête parachutiste de la Saint-Michel, dans un an, aura lieu au même endroit, devant la même statue, solidement ancrée devant l’église et dans les cœur des Vendéens.
La ville va en cassation et entend faire droit à sa demande de maintien.
La cour administrative d’appel de Nantes se prononcera le 30 août prochain. En cas d’avis défavorable, la mairie a annoncé qu’elle irait jusque devant le conseil d’État.
Surprise, Patrick Buisson fait son apparition auprès d’Éric Zemmour et de Philippe de Villiers, et offre à la foule cette image de la droite hors les murs qu’ils ont théorisée ensemble à la Rotonde.
Au-delà de la statue de saint Michel, c’est contre le déboulonnage de toutes les statues que viennent se prononcer les candidats, fermement opposés au « wokisme » et à cet anticléricalisme, bras armé de la cancel culture.
Si la Libre Pensée obtenait gain de cause, cela entraînerait l’annulation de la décision municipale et l’obligation de déboulonner la statue, en maintenant cependant le socle, généreuse concession de nos révolutionnaires des temps modernes.
Il aura suffi au chariot élévateur sur place de quelques heures et de quelques mètres pour contenter les libres censeurs
Le maire et le curé des Sables-d’Olonne en ont fait aujourd’hui l’annonce conjointe lors d’une conférence de presse.
Depuis 2019, la statue de saint Michel des Sables-d’Olonne fait l’objet d’un combat judiciaire et politique acharné…
Le Conseil d’État n’admet pas le pourvoi en cassation de la ville et condamne donc la statue.
À en voir la ferveur de l’assistance et la hauteur des propos, gageons que la prochaine fête parachutiste de la Saint-Michel, dans un an, aura lieu au même endroit, devant la même statue, solidement ancrée devant l’église et dans les cœur des Vendéens.
La ville va en cassation et entend faire droit à sa demande de maintien.
La cour administrative d’appel de Nantes se prononcera le 30 août prochain. En cas d’avis défavorable, la mairie a annoncé qu’elle irait jusque devant le conseil d’État.
Surprise, Patrick Buisson fait son apparition auprès d’Éric Zemmour et de Philippe de Villiers, et offre à la foule cette image de la droite hors les murs qu’ils ont théorisée ensemble à la Rotonde.
Au-delà de la statue de saint Michel, c’est contre le déboulonnage de toutes les statues que viennent se prononcer les candidats, fermement opposés au « wokisme » et à cet anticléricalisme, bras armé de la cancel culture.
Si la Libre Pensée obtenait gain de cause, cela entraînerait l’annulation de la décision municipale et l’obligation de déboulonner la statue, en maintenant cependant le socle, généreuse concession de nos révolutionnaires des temps modernes.