Salah Abdeslam
La France n’a pas fini de débourser entre 450.000 et 500.000 euros par an pour le djihadiste de 34 ans.
À ce propos, y a-t-il quelqu’un qui se préoccupe, dans la presse parisienne, du droit à l’espoir des familles de victimes ?
Si la peine la plus lourde que peut prononcer un tribunal en France n’est qu’une perpétuité relative, alors le laxisme s’empare insidieusement de l’institution et des mentalités.
Deux quinquagénaires, Gérard et Thierry, racontent à Boulevard Voltaire ce qu’ils ont vécu ce soir-là.
À force de chercher des excuses à cet homme qui ne fut pas un lampiste mais, pour le moins, un complice actif des islamistes, on oublie que le devoir des juges, c’est aussi de protéger la société.
Mais quelle que soit la sévérité des peines prononcées, fussent-elles exemplaires, elles resteraient symboliques si le pouvoir ne tirait pas toutes les conséquences de cet attentat programmé par les islamistes.
Chaque semaine, Boulevard Voltaire sélectionne dans l’actualité des infos insolites ou extravagantes qui nous ont fait sourire ou des sujets plus sérieux. Reçu chez « Quotidien
Aujourd’hui, donc, on veut humaniser Abdeslam – c’est la trame de l’intervention à Quotidien de son avocat. Or, comment ne pas penser d’abord aux victimes et à leurs familles ?
Ces élites établies sont les émanations des masses qui les portent, partageant avec elles les nouvelles « valeurs occidentales » d’Abdeslam : perte d’idéal social ou politique, absence de rêve communautaire et national, déstructuration familiale.
L’issue du procès est déjà connue d’avance, ce sera perpète, le soutien psychologique pour l’accusé sera un plus. Mais entre-temps, la république laïque veut comprendre.
Le procès historique qui fait suite aux attentats du 13 novembre a été ouvert ce mercredi 8 septembre. En raison de l’extrême gravité des faits
La période électorale qui s’ouvre permettra-t-elle d’entendre des propositions à la fois sévères et réalistes pour lutter contre ce fléau ?
Alors que les accusés sont interrogés par le président de la cour sur leur identité, Salah Abdeslam prend la parole, donnant immédiatement le ton que prendrait son témoignage.
Salah Abdeslam ne vient pas de nulle part…
Au siècle dernier, le terrorisme était chose plus « sérieuse ». On se battait pour la libération d’une terre.
La vie des criminels ne peut pas passer avant celle des victimes.
Salah Abdeslam, seul survivant du commando islamiste ayant commis les attentats du 13 novembre 2015, est jugé depuis lundi en Belgique pour une autre affaire. L’occasion, pour Xavier Raufer, de revenir sur l’organisation de ce groupe terroriste.
L’État de droit est une ascèse, un tour de force, un miracle.
Salah Abdeslam est accusé d’actes de terrorisme qui ont provoqué 130 morts et des centaines de blessés, au nom de l’islam.
Il n’est plus possible – aujourd’hui – d’avoir une politique migratoire qui ne tienne pas compte de la sécurité des Français.
La France n’a pas fini de débourser entre 450.000 et 500.000 euros par an pour le djihadiste de 34 ans.
À ce propos, y a-t-il quelqu’un qui se préoccupe, dans la presse parisienne, du droit à l’espoir des familles de victimes ?
Si la peine la plus lourde que peut prononcer un tribunal en France n’est qu’une perpétuité relative, alors le laxisme s’empare insidieusement de l’institution et des mentalités.
Deux quinquagénaires, Gérard et Thierry, racontent à Boulevard Voltaire ce qu’ils ont vécu ce soir-là.
À force de chercher des excuses à cet homme qui ne fut pas un lampiste mais, pour le moins, un complice actif des islamistes, on oublie que le devoir des juges, c’est aussi de protéger la société.
Mais quelle que soit la sévérité des peines prononcées, fussent-elles exemplaires, elles resteraient symboliques si le pouvoir ne tirait pas toutes les conséquences de cet attentat programmé par les islamistes.
Chaque semaine, Boulevard Voltaire sélectionne dans l’actualité des infos insolites ou extravagantes qui nous ont fait sourire ou des sujets plus sérieux. Reçu chez « Quotidien
Aujourd’hui, donc, on veut humaniser Abdeslam – c’est la trame de l’intervention à Quotidien de son avocat. Or, comment ne pas penser d’abord aux victimes et à leurs familles ?
Ces élites établies sont les émanations des masses qui les portent, partageant avec elles les nouvelles « valeurs occidentales » d’Abdeslam : perte d’idéal social ou politique, absence de rêve communautaire et national, déstructuration familiale.
L’issue du procès est déjà connue d’avance, ce sera perpète, le soutien psychologique pour l’accusé sera un plus. Mais entre-temps, la république laïque veut comprendre.
Le procès historique qui fait suite aux attentats du 13 novembre a été ouvert ce mercredi 8 septembre. En raison de l’extrême gravité des faits
La période électorale qui s’ouvre permettra-t-elle d’entendre des propositions à la fois sévères et réalistes pour lutter contre ce fléau ?
Alors que les accusés sont interrogés par le président de la cour sur leur identité, Salah Abdeslam prend la parole, donnant immédiatement le ton que prendrait son témoignage.
Salah Abdeslam ne vient pas de nulle part…
Au siècle dernier, le terrorisme était chose plus « sérieuse ». On se battait pour la libération d’une terre.
La vie des criminels ne peut pas passer avant celle des victimes.
Salah Abdeslam, seul survivant du commando islamiste ayant commis les attentats du 13 novembre 2015, est jugé depuis lundi en Belgique pour une autre affaire. L’occasion, pour Xavier Raufer, de revenir sur l’organisation de ce groupe terroriste.
L’État de droit est une ascèse, un tour de force, un miracle.
Salah Abdeslam est accusé d’actes de terrorisme qui ont provoqué 130 morts et des centaines de blessés, au nom de l’islam.
Il n’est plus possible – aujourd’hui – d’avoir une politique migratoire qui ne tienne pas compte de la sécurité des Français.