Seconde guerre mondiale

Le 1er septembre 1939, la Pologne était envahie. Débutait, ainsi, la Seconde Guerre mondiale.

Sous la férule de l’État le plus cher du monde, la France semble courir vers la catastrophe.

J’ai lu attentivement le texte officiel signé de M. Sébastien Lecornu…

L’histoire d’un jeune héros, « semblable à la nuit », dont le « bon sang ne saurait mentir…

En ce 3 septembre 1939, personne n’imagine que dans quelques mois, la France connaîtra la pire défaite de son Histoire
Personne n’a encore imaginé construire à Colombey-les-Deux-Églises un parc d’attractions : au train où vont les choses, cette idée saugrenue pourrait bien venir à l’esprit de quelque politicien.

La « gratitude éternelle » de notre Président pour Albion n’est-elle point surjouée ?

Combien sont-ils à avoir quitté le sol français et à avoir rejoint l’Angleterre avant l’appel du général de Gaulle et juste après avoir entendu l’appel à « cesser le combat » du maréchal Pétain ? À vrai dire, une poignée.

Le Conseil des ministres est divisé en trois camps : celui des combattants-résistants, celui des liquidateurs, celui des hésitants qui, chaque heure passant, se rangent dans le deuxième camp…

En coulisse, le clan de la défaite commence à prendre le pas sur celui de la poursuite de la guerre.

La Wehrmacht entre à Paris.

Français, c’est un état d’esprit, c’est avoir la certitude que chaque individu, chaque peuple peut s’émanciper, c’est défendre une Histoire, c’est défendre un art de vivre, c’est tout simplement aimer la France.

Le jeune général quitte le front le 5 juin et, le 6, prend son poste de sous-secrétaire d’État chargé de la Défense nationale et de la Guerre…

La Luftwaffe cible le ministère de l’Air, les nombreux aérodromes de Paris et sa couronne, ainsi que les usines Citroën, quai de Javel, qui fabriquent alors des armements.

L’évacuation de Dunkerque reste un exploit : en moins de 10 jours, plus de 330.000 soldats alliés sont ramenés à Douvres.

À l’aube du 21 mai, les armées allemandes encerclent un million de soldats français et alliés (belges et britanniques)…

Le président du Conseil, Paul Reynaud (1878-1966), fait entrer le vainqueur de Verdun au poste de vice-président du Conseil…

De Gaulle restera discret sur cet épisode mais n’empêchera pas la littérature (Faulkner, Bouchet, Ortoli et bien d’autres) de s’emparer de cet épisode pour renforcer sa légende.

Bataille oubliée de la Seconde Guerre mondiale, Stonne symbolise, à bien des égards, la résistance et la pugnacité de l’armée française face à l’invasion ennemie, suite à l’offensive du 10 mai.

Cette « drôle de guerre » prend fin le 10 mai 1940 avec l’invasion de la Belgique, du Luxembourg et des Pays-Bas par les armées allemandes au sol, précédées par des attaques aériennes.

S’il est un événement français qui aimante toute l’histoire du XXe siècle, c’est bien celui de la débâcle de 1940.

Le vendredi 25 août, au matin, les Allemands commencent à plier bagage.

À Paris, les barricades se multiplient. Les combats s’intensifient entre des résistants à l’armement aussi disparate que modeste et les soldats allemands, munis d’armes lourdes.

Impatient, le général Leclerc décide d’envoyer un détachement commandé par le chef d’escadron Jacques de Guillebon (1909-1985) à Versailles.

Le 19 août, divers groupes quelque peu désorganisés commencent à dresser, ici et là, quelques barricades, organisent des embuscades et harcèlent des positions allemandes.

La France n’a pas attendu Emmanuel Macron pour reconnaître la part prise par l’Afrique dans la libération du territoire national.

Le général de Lattre réussit à convaincre les Américains d’engager rapidement ses propres troupes dans le combat.

Pour la première fois depuis la défaite de juin 1940, une armée française va se battre sur le sol national.

Le 1er septembre 1939, la Pologne était envahie. Débutait, ainsi, la Seconde Guerre mondiale.

Sous la férule de l’État le plus cher du monde, la France semble courir vers la catastrophe.

J’ai lu attentivement le texte officiel signé de M. Sébastien Lecornu…

L’histoire d’un jeune héros, « semblable à la nuit », dont le « bon sang ne saurait mentir…

En ce 3 septembre 1939, personne n’imagine que dans quelques mois, la France connaîtra la pire défaite de son Histoire
Personne n’a encore imaginé construire à Colombey-les-Deux-Églises un parc d’attractions : au train où vont les choses, cette idée saugrenue pourrait bien venir à l’esprit de quelque politicien.

La « gratitude éternelle » de notre Président pour Albion n’est-elle point surjouée ?

Combien sont-ils à avoir quitté le sol français et à avoir rejoint l’Angleterre avant l’appel du général de Gaulle et juste après avoir entendu l’appel à « cesser le combat » du maréchal Pétain ? À vrai dire, une poignée.

Le Conseil des ministres est divisé en trois camps : celui des combattants-résistants, celui des liquidateurs, celui des hésitants qui, chaque heure passant, se rangent dans le deuxième camp…

En coulisse, le clan de la défaite commence à prendre le pas sur celui de la poursuite de la guerre.

La Wehrmacht entre à Paris.

Français, c’est un état d’esprit, c’est avoir la certitude que chaque individu, chaque peuple peut s’émanciper, c’est défendre une Histoire, c’est défendre un art de vivre, c’est tout simplement aimer la France.

Le jeune général quitte le front le 5 juin et, le 6, prend son poste de sous-secrétaire d’État chargé de la Défense nationale et de la Guerre…

La Luftwaffe cible le ministère de l’Air, les nombreux aérodromes de Paris et sa couronne, ainsi que les usines Citroën, quai de Javel, qui fabriquent alors des armements.

L’évacuation de Dunkerque reste un exploit : en moins de 10 jours, plus de 330.000 soldats alliés sont ramenés à Douvres.

À l’aube du 21 mai, les armées allemandes encerclent un million de soldats français et alliés (belges et britanniques)…

Le président du Conseil, Paul Reynaud (1878-1966), fait entrer le vainqueur de Verdun au poste de vice-président du Conseil…

De Gaulle restera discret sur cet épisode mais n’empêchera pas la littérature (Faulkner, Bouchet, Ortoli et bien d’autres) de s’emparer de cet épisode pour renforcer sa légende.

Bataille oubliée de la Seconde Guerre mondiale, Stonne symbolise, à bien des égards, la résistance et la pugnacité de l’armée française face à l’invasion ennemie, suite à l’offensive du 10 mai.

Cette « drôle de guerre » prend fin le 10 mai 1940 avec l’invasion de la Belgique, du Luxembourg et des Pays-Bas par les armées allemandes au sol, précédées par des attaques aériennes.

S’il est un événement français qui aimante toute l’histoire du XXe siècle, c’est bien celui de la débâcle de 1940.

Le vendredi 25 août, au matin, les Allemands commencent à plier bagage.

À Paris, les barricades se multiplient. Les combats s’intensifient entre des résistants à l’armement aussi disparate que modeste et les soldats allemands, munis d’armes lourdes.

Impatient, le général Leclerc décide d’envoyer un détachement commandé par le chef d’escadron Jacques de Guillebon (1909-1985) à Versailles.

Le 19 août, divers groupes quelque peu désorganisés commencent à dresser, ici et là, quelques barricades, organisent des embuscades et harcèlent des positions allemandes.

La France n’a pas attendu Emmanuel Macron pour reconnaître la part prise par l’Afrique dans la libération du territoire national.

Le général de Lattre réussit à convaincre les Américains d’engager rapidement ses propres troupes dans le combat.

Pour la première fois depuis la défaite de juin 1940, une armée française va se battre sur le sol national.
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