Seconde guerre mondiale
Le débarquement du sud de la France devait, à l’origine, avoir lieu en même temps que celui du 6 juin.

Des Alsaciens et, partant, des Français, « forcés » de « servir » dans l’armée allemande ?

642 personnes ont été mitraillées ou brûlées vives.

Les Allemands pendent les 99 otages aux lampadaires et balcons de la ville.

Aurigny a été envahie par les Allemands dès 1940, l’île ayant été préalablement vidée de tous ses habitants transférés sur le continent.
En cette période trouble, les rares journaux publiés sont victimes non seulement de la pénurie de papier mais aussi de la censure de l’occupant nazi.

Le nombre de ceux qui peuvent témoigner des horreurs des camps de la mort et des combats de la Seconde Guerre mondiale se tarit au fil des années.

« Ils devaient choisir entre le déshonneur et la guerre. Ils ont choisi le déshonneur, et ils auront la guerre. »

Fait prisonnier, il vécut la captivité en Sibérie et ne fut libéré qu’en 1950.
Le débarquement du sud de la France devait, à l’origine, avoir lieu en même temps que celui du 6 juin.

Des Alsaciens et, partant, des Français, « forcés » de « servir » dans l’armée allemande ?

642 personnes ont été mitraillées ou brûlées vives.

Les Allemands pendent les 99 otages aux lampadaires et balcons de la ville.

Aurigny a été envahie par les Allemands dès 1940, l’île ayant été préalablement vidée de tous ses habitants transférés sur le continent.
En cette période trouble, les rares journaux publiés sont victimes non seulement de la pénurie de papier mais aussi de la censure de l’occupant nazi.

Le nombre de ceux qui peuvent témoigner des horreurs des camps de la mort et des combats de la Seconde Guerre mondiale se tarit au fil des années.

« Ils devaient choisir entre le déshonneur et la guerre. Ils ont choisi le déshonneur, et ils auront la guerre. »

Fait prisonnier, il vécut la captivité en Sibérie et ne fut libéré qu’en 1950.
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