Ségolène Royal
Au pays des merveilles, Ségolène se plaît à rêver d’une équipe en tous points semblable à celle qui est en place.
C’est tellement banal de postuler à Matignon que Ségolène Royal y regarde à deux fois.
Cette semaine, Anne Hidalgo met en garde les terroristes, Audrey Lamy est touchée par ses cambrioleurs et Jamel Debouzze très fier d’avancer avec son époque…
Des camions espagnols chargés de tomates sont régulièrement arraisonnés par les paysans français.
Maintenant que CNews menace BFM TV, un vent de panique souffle sur les bonnes consciences.
Ça faisait longtemps qu’on n’avait pas entendu parler de Ségolène Royal…
L’instinct de Ségolène Royal pour dénicher les lieux chargés d’amour n’est plus à démontrer.
Invité sur RTL le dimanche 11 septembre, François Hollande, son ancien compagnon, est revenu sur la polémique et l’a défendue.
Pourtant, quel crime a commis Ségolène Royal, si ce n’est celui consistant à faire preuve de la plus élémentaire prudence ?
Il y avait une version officielle bien rodée, on en a parlé dans ces colonnes pas plus tard qu’hier. L’Ukraine, pays démocratique et bien administré,
Tel qu’il se doit, cette déclaration fait son petit effet, la candidate « inutile » s’étranglant devant les micros de Radio J.
La chose saute encore plus aux yeux et aux oreilles à propos du Parti socialiste, la formation inclusive et bienveillante, féministe et progressiste qu’on sait.
La militante des causes perdues d’avance pressentait le triomphe. Le score des grands soirs. Un de ces résultats qui relèguent le Napoléon de Waterloo au rang de « petit joueur ». Elle ne fut pas déçue.
Ségolène Royal fait preuve de bon sens populaire face à cette appellation quelque peu grotesque et dépourvue de sens.
Et des danseurs d’arriver sur le plateau… Cohn-Bendit dans un numéro de claquettes… Le regain d’audience est à ce prix !
Dévorée par l’ambition, rien ne l’atteint, notre Ségolène nationale.
Si ce n’est pas une revanche à prendre sur l’élection présidentielle de 2007, ça y ressemble bigrement.
À l’heure qu’il est, elle est certainement en train de chercher comment se remettre en selle.
Ségolène Royal a apparemment gardé de son dernier poste d’« ambassadrice chargée de la négociation internationale pour les pôles arctique et antarctique » une chaude pelisse dont elle espère que la réversibilité s’avérera utile.
Grâce à la méthode Coué se profile une femme providentielle : Ségolène Royal.
De liberté d’expression il ne fut question, de menaces de mort non plus…
Débarquée de son poste et, du même coup, de sa tacite obligation de réserve, Ségolène Royal se lâche…
Qu’importe, Ségolène Royal « se vit comme un recours ». Ça s’appelle la mégalomanie, une maladie fort répandue chez les politiques.
L’ex-compagne de François Hollande paraissait affectionner le mélange des genres, profitant d’un poste où l’on est généralement soumis à une forme de discrétion pour, en permanence, critiquer l’homme l’ayant fait reine : Emmanuel Macron.
De fait, tous ceux qui l’ont approchée le disent : Ségolène Royal n’en fait qu’à sa tête.
Il ne s’agit ni d’une chasse aux sorcières, ni d’un désir de nuire aux ambitions de Mme Royal, si tant est qu’elle en ait ; il faut tout simplement clarifier cette situation.
Pauvre Ségolène Royal ! Le père Noël ne lui a pas fait de cadeau !
Au pays des merveilles, Ségolène se plaît à rêver d’une équipe en tous points semblable à celle qui est en place.
C’est tellement banal de postuler à Matignon que Ségolène Royal y regarde à deux fois.
Cette semaine, Anne Hidalgo met en garde les terroristes, Audrey Lamy est touchée par ses cambrioleurs et Jamel Debouzze très fier d’avancer avec son époque…
Des camions espagnols chargés de tomates sont régulièrement arraisonnés par les paysans français.
Maintenant que CNews menace BFM TV, un vent de panique souffle sur les bonnes consciences.
Ça faisait longtemps qu’on n’avait pas entendu parler de Ségolène Royal…
L’instinct de Ségolène Royal pour dénicher les lieux chargés d’amour n’est plus à démontrer.
Invité sur RTL le dimanche 11 septembre, François Hollande, son ancien compagnon, est revenu sur la polémique et l’a défendue.
Pourtant, quel crime a commis Ségolène Royal, si ce n’est celui consistant à faire preuve de la plus élémentaire prudence ?
Il y avait une version officielle bien rodée, on en a parlé dans ces colonnes pas plus tard qu’hier. L’Ukraine, pays démocratique et bien administré,
Tel qu’il se doit, cette déclaration fait son petit effet, la candidate « inutile » s’étranglant devant les micros de Radio J.
La chose saute encore plus aux yeux et aux oreilles à propos du Parti socialiste, la formation inclusive et bienveillante, féministe et progressiste qu’on sait.
La militante des causes perdues d’avance pressentait le triomphe. Le score des grands soirs. Un de ces résultats qui relèguent le Napoléon de Waterloo au rang de « petit joueur ». Elle ne fut pas déçue.
Ségolène Royal fait preuve de bon sens populaire face à cette appellation quelque peu grotesque et dépourvue de sens.
Et des danseurs d’arriver sur le plateau… Cohn-Bendit dans un numéro de claquettes… Le regain d’audience est à ce prix !
Dévorée par l’ambition, rien ne l’atteint, notre Ségolène nationale.
Si ce n’est pas une revanche à prendre sur l’élection présidentielle de 2007, ça y ressemble bigrement.
À l’heure qu’il est, elle est certainement en train de chercher comment se remettre en selle.
Ségolène Royal a apparemment gardé de son dernier poste d’« ambassadrice chargée de la négociation internationale pour les pôles arctique et antarctique » une chaude pelisse dont elle espère que la réversibilité s’avérera utile.
Grâce à la méthode Coué se profile une femme providentielle : Ségolène Royal.
De liberté d’expression il ne fut question, de menaces de mort non plus…
Débarquée de son poste et, du même coup, de sa tacite obligation de réserve, Ségolène Royal se lâche…
Qu’importe, Ségolène Royal « se vit comme un recours ». Ça s’appelle la mégalomanie, une maladie fort répandue chez les politiques.
L’ex-compagne de François Hollande paraissait affectionner le mélange des genres, profitant d’un poste où l’on est généralement soumis à une forme de discrétion pour, en permanence, critiquer l’homme l’ayant fait reine : Emmanuel Macron.
De fait, tous ceux qui l’ont approchée le disent : Ségolène Royal n’en fait qu’à sa tête.
Il ne s’agit ni d’une chasse aux sorcières, ni d’un désir de nuire aux ambitions de Mme Royal, si tant est qu’elle en ait ; il faut tout simplement clarifier cette situation.
Pauvre Ségolène Royal ! Le père Noël ne lui a pas fait de cadeau !