Sexisme
Gare à celui qui, d’aventure, voudrait identifier le harceleur de Saint-Denis !
Pourquoi une étude complémentaire n’a-t-elle pas été mise à l’œuvre au sein des juridictions pénales pour que l’on connaisse véritablement le profil des responsables de ces violences sexuelles ?
Pourquoi ne pas dénoncer avec au moins autant de virulence, par exemple, la pratique de l’excision sur 125.000 femmes qui vivent en France ?
Les policiers ont cherché, scruté, visionné… 50 heures de vidéo… Ils n’y ont rien trouvé qui corrobore les dires de la jeune femme.
La jeune fille, qui a porté plainte, dénonce un climat de plus en plus malsain et dangereux pour les femmes à Strasbourg.
Ce projet est d’autant plus dommageable que Montréal voit, chaque année, le français reculer un peu plus au profit de l’anglais.
La tendance des femmes à passer davantage de temps que les hommes dans les tâches ménagères est vraie aussi bien dans les couples… que pour les personnes vivant seules !
Conditionner les esprits à l’idée d’un continuum insécable entre le dragueur lourdingue, le harceleur et le violeur est une technique éprouvée des féministes extrémistes, surtout quand il s’agit des mâles blancs.
On notera le caractère évidemment, éminemment, sexiste de cette bande dessinée…
Les réseaux sociaux sont un inépuisable terrain de fouille archéologique…
Elles auraient pu, elles auraient dû, elles y ont cru, elles auraient mérité, cela tenait à peu, elles ont fait « belle figure », mais elles ont perdu.
L’absence de réaction à l’incident de Nantes est inquiétante.
Le lavage des cerveaux fait toujours du mal…
Si l’on tient la porte à une femme, on est sexiste. Si on ne la tient pas, on est un « macho » mal éduqué. Et si l’on reste sur le pas de la porte, dubitatif, on risque d’être verbalisé pour un regard appuyé.
L’indignation factice est devenue l’outil de stérilisation massif de tout débat.
Contrairement à tout ce que l’on a distillé à l’occasion de la Journée de la femme, elles seraient de plus en plus nombreuses à admettre notre côté « macho »…
Combien d’hommes vont régler l’addition du restaurant, ce jeudi 14 février au soir ?
Avec madame Damidot, nous avons changé de siècle et de civilisation.
Sur le plateau, le malaise est palpable. Faut-il rire ou pas ?
En régions aussi, les cuistres au pouvoir n’ont rien de plus urgent que de gaspiller l’argent du contribuable pour rejoindre la cohorte des « Précieuses ridicules »…
« Sexiste » et « contraire à nos valeurs » : avec de telles qualifications, normalement, le contrevenant ne devrait pas s’en remettre.
Comment se fait-il que les femmes supportent toujours, en dépit des progrès de la science et du droit, cet asservissement profondément inégalitaire de leurs règles ?
La rentrée, donc, a été l’occasion pour le ministre de condamner sur Twitter l’absence des pères aux réunions.
La robe n’est-elle pas un allié objectif du violeur en lui permettant de trousser facilement sa proie ?
Les hommes seront acceptés « uniquement s’ils sont accompagnés par une femme ».
C’est la vieille virilité bravache du « Gaulois » qu’on assassine…
Dernière cartouche pour Anne Hidalgo face à au tsunami de critiques dont elle fait l’objet : la féminité.
Gare à celui qui, d’aventure, voudrait identifier le harceleur de Saint-Denis !
Pourquoi une étude complémentaire n’a-t-elle pas été mise à l’œuvre au sein des juridictions pénales pour que l’on connaisse véritablement le profil des responsables de ces violences sexuelles ?
Pourquoi ne pas dénoncer avec au moins autant de virulence, par exemple, la pratique de l’excision sur 125.000 femmes qui vivent en France ?
Les policiers ont cherché, scruté, visionné… 50 heures de vidéo… Ils n’y ont rien trouvé qui corrobore les dires de la jeune femme.
La jeune fille, qui a porté plainte, dénonce un climat de plus en plus malsain et dangereux pour les femmes à Strasbourg.
Ce projet est d’autant plus dommageable que Montréal voit, chaque année, le français reculer un peu plus au profit de l’anglais.
La tendance des femmes à passer davantage de temps que les hommes dans les tâches ménagères est vraie aussi bien dans les couples… que pour les personnes vivant seules !
Conditionner les esprits à l’idée d’un continuum insécable entre le dragueur lourdingue, le harceleur et le violeur est une technique éprouvée des féministes extrémistes, surtout quand il s’agit des mâles blancs.
On notera le caractère évidemment, éminemment, sexiste de cette bande dessinée…
Les réseaux sociaux sont un inépuisable terrain de fouille archéologique…
Elles auraient pu, elles auraient dû, elles y ont cru, elles auraient mérité, cela tenait à peu, elles ont fait « belle figure », mais elles ont perdu.
L’absence de réaction à l’incident de Nantes est inquiétante.
Le lavage des cerveaux fait toujours du mal…
Si l’on tient la porte à une femme, on est sexiste. Si on ne la tient pas, on est un « macho » mal éduqué. Et si l’on reste sur le pas de la porte, dubitatif, on risque d’être verbalisé pour un regard appuyé.
L’indignation factice est devenue l’outil de stérilisation massif de tout débat.
Contrairement à tout ce que l’on a distillé à l’occasion de la Journée de la femme, elles seraient de plus en plus nombreuses à admettre notre côté « macho »…
Combien d’hommes vont régler l’addition du restaurant, ce jeudi 14 février au soir ?
Avec madame Damidot, nous avons changé de siècle et de civilisation.
Sur le plateau, le malaise est palpable. Faut-il rire ou pas ?
En régions aussi, les cuistres au pouvoir n’ont rien de plus urgent que de gaspiller l’argent du contribuable pour rejoindre la cohorte des « Précieuses ridicules »…
« Sexiste » et « contraire à nos valeurs » : avec de telles qualifications, normalement, le contrevenant ne devrait pas s’en remettre.
Comment se fait-il que les femmes supportent toujours, en dépit des progrès de la science et du droit, cet asservissement profondément inégalitaire de leurs règles ?
La rentrée, donc, a été l’occasion pour le ministre de condamner sur Twitter l’absence des pères aux réunions.
La robe n’est-elle pas un allié objectif du violeur en lui permettant de trousser facilement sa proie ?
Les hommes seront acceptés « uniquement s’ils sont accompagnés par une femme ».
C’est la vieille virilité bravache du « Gaulois » qu’on assassine…
Dernière cartouche pour Anne Hidalgo face à au tsunami de critiques dont elle fait l’objet : la féminité.