squatteurs
Tous les crucifix et autres objets religieux du propriétaire ont été méticuleusement saccagés. Pourquoi ?
Un autre projet législatif devrait être soumis au vote dans les prochaines semaines
C’est une affiche, en effet, à en-tête du ministère de la Justice : « Besoin de la justice ? on vous dit quoi faire. »
Aussi incroyable que cela puisse paraître, la Justice française n’est pas toujours du côté des honnêtes gens.
Le tribunal, ayant jugé « irrégulière la procédure de reprise des lieux », condamne le propriétaire à verser 2.000 euros à ses squatteurs.
Le procès s’est tenu mardi devant le tribunal de grande instance de Lyon. Mis en délibéré, le jugement sera rendu le 14 mars.
Le propriétaire d’une usine ou d’une entreprise momentanément inoccupée est obligé d’engager une procédure judiciaire dès qu’un matelas est posé par terre.
Dans un communiqué publié sur un site anarchiste, l’auteur présumé revendique une « action individuelle en solidarité avec les personnes de l’ancien squat avenue de Fronton à Toulouse ».
Une issue heureuse qui donne des idées au collectif qui a mis la pression sur le squat. « On est prêt à recommencer sur d’autres occupations ».
Reportage exclusif devant la maison du vieillard de 88 ans squattée où a eu lieu un face-à-face tendu entre partisans des squatteurs et défenseurs du
Question centrale : à quelle date, exactement, se termine l’hiver ? La planète se réchauffe, certes, mais pas aux abords des logements squattés.
Passons l’hallucinante réaction du ministre du Logement qui souligne qu’il n’y a pas de « défaillance de la loi »…
Si le couple décide d’expulser de lui-même les squatteurs, il s’expose à une peine de trois ans de prison et de 30.000 euros d’amende pour violation de domicile.
Tous les crucifix et autres objets religieux du propriétaire ont été méticuleusement saccagés. Pourquoi ?
Un autre projet législatif devrait être soumis au vote dans les prochaines semaines
C’est une affiche, en effet, à en-tête du ministère de la Justice : « Besoin de la justice ? on vous dit quoi faire. »
Aussi incroyable que cela puisse paraître, la Justice française n’est pas toujours du côté des honnêtes gens.
Le tribunal, ayant jugé « irrégulière la procédure de reprise des lieux », condamne le propriétaire à verser 2.000 euros à ses squatteurs.
Le procès s’est tenu mardi devant le tribunal de grande instance de Lyon. Mis en délibéré, le jugement sera rendu le 14 mars.
Le propriétaire d’une usine ou d’une entreprise momentanément inoccupée est obligé d’engager une procédure judiciaire dès qu’un matelas est posé par terre.
Dans un communiqué publié sur un site anarchiste, l’auteur présumé revendique une « action individuelle en solidarité avec les personnes de l’ancien squat avenue de Fronton à Toulouse ».
Une issue heureuse qui donne des idées au collectif qui a mis la pression sur le squat. « On est prêt à recommencer sur d’autres occupations ».
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Question centrale : à quelle date, exactement, se termine l’hiver ? La planète se réchauffe, certes, mais pas aux abords des logements squattés.
Passons l’hallucinante réaction du ministre du Logement qui souligne qu’il n’y a pas de « défaillance de la loi »…
Si le couple décide d’expulser de lui-même les squatteurs, il s’expose à une peine de trois ans de prison et de 30.000 euros d’amende pour violation de domicile.
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