Syrie
La seule solution est le rétablissement de l’autorité de Damas sur l’ensemble du territoire avec, pour corollaire, des garanties sur la sécurité de ses voisins – Israël, Liban et Turquie.
Pendant ce temps, dans Deir ez-Zor libérée par l’armée syrienne, Sa Sainteté Ignace Aphrem II Karim célébrait une messe dans les décombres de l’église Sainte-Marie. La première depuis six ans.
Le gouvernement et la plupart des médias ont choisi d’imposer, sans nuances, une vision manichéenne de la situation syrienne.
Je sais bien que la raison politique a des raisons que la raison ignore, mais là c’est le pompon.
Des Philippines au Nigéria, la violence est associée à la présence islamiste.
Cette guerre, terrible pour les Syriens qui l’ont subie, est une tache sur l’honneur de nos démocraties.
Voilà une information qui ne va pas plaire à tout le monde.
Pierre Le Corf vit à Alep. Il évoque la situation là-bas, dont la réalité est parfois bien différente de notre perception d’Occidentaux.
Depuis janvier, un demi-million de déplacés internes et réfugiés sont revenus en Syrie.

Seuls certains civils auront reçu les honneurs, à la condition que leur mort serve un récit binaire et idéologique sur cette guerre interminable.

Le docteur Ayman Soussan, ministre adjoint des Affaires étrangères du gouvernement syrien, devait participer cette semaine à deux colloques.

Mardi avait lieu un colloque organisé par les députés français Nicolas Dhuicq et Thierry Mariani, désireux de faire entendre une autre voix sur ce conflit.
La seule solution est le rétablissement de l’autorité de Damas sur l’ensemble du territoire avec, pour corollaire, des garanties sur la sécurité de ses voisins – Israël, Liban et Turquie.
Pendant ce temps, dans Deir ez-Zor libérée par l’armée syrienne, Sa Sainteté Ignace Aphrem II Karim célébrait une messe dans les décombres de l’église Sainte-Marie. La première depuis six ans.
Le gouvernement et la plupart des médias ont choisi d’imposer, sans nuances, une vision manichéenne de la situation syrienne.
Je sais bien que la raison politique a des raisons que la raison ignore, mais là c’est le pompon.
Des Philippines au Nigéria, la violence est associée à la présence islamiste.
Cette guerre, terrible pour les Syriens qui l’ont subie, est une tache sur l’honneur de nos démocraties.
Voilà une information qui ne va pas plaire à tout le monde.
Pierre Le Corf vit à Alep. Il évoque la situation là-bas, dont la réalité est parfois bien différente de notre perception d’Occidentaux.
Depuis janvier, un demi-million de déplacés internes et réfugiés sont revenus en Syrie.

Seuls certains civils auront reçu les honneurs, à la condition que leur mort serve un récit binaire et idéologique sur cette guerre interminable.

Le docteur Ayman Soussan, ministre adjoint des Affaires étrangères du gouvernement syrien, devait participer cette semaine à deux colloques.

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