Terrorisme islamiste
La psychiatrie a si bon dos, par moments, qu’elle semble au politique ce que le blanchiment est à l’argent.
Frédéric Boccaletti, président du groupe RN au conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui connaît très bien la ville de La Seyne-sur-Mer, réagit au micro de Boulevard Voltaire sur l’attentat islamiste commis hier dans un supermarché de cette ville. « Voilée et vêtue de noir, elle a crié “Allah Akbar ! Vous êtes tous des mécréants !” »
C’est du lourd et nous, nous l’apprenons en juin 2018 !
Seuls les enfants méritent notre compassion.
Il est pitoyable après tant de crimes commis par le terrorisme islamiste de continuer à discuter ainsi du sexe des anges en développant ce sempiternel argument sur le risque d’amalgame.
Mais la famille royale britannique ne semble pas plus émue que cela par ces menaces.
Pourquoi, dans le même temps, le rôle néfaste de l’Arabie saoudite, du Qatar, du Koweit et de la Turquie est-il minimisé ?
Les sapeurs-pompiers de la BSPP (qui sont militaires) viennent de tirer la sonnette d’alarme.
Que les Français encore naïfs se réveillent…
L’attentat qui a été commis samedi à Paris aurait-il pu être évité alors qu’on sait que son auteur, Khamzat Azimov, était fiché S, comme la majorité des auteurs d’attentats islamistes sur le sol français ? Pourquoi ne neutralise-t-on pas ces individus avant leur passage à l’acte ? C’est les questions que se posent légitiment les citoyens.
Pendant que le microcosme du show-bizz patauge dans le politiquement correct et les sujets privilégiés qui détournent l’opinion publique des vrais dangers, la menace perdure.
Au lendemain de l’attentat islamiste commis par Khamzat Azimov, un citoyen français d’origine tchétchène, Xavier Raufer répond aux questions de Boulevard Voltaire. Samedi soir, à
Comment ne pas s’étonner alors de l’entêtement avec lequel le pouvoir, encore par la voix de Benjamin Griveaux pourtant bien gêné aux entournures et ressassant une leçon désaccordée avec le réel, maintient sa position sur les fichés S français et étrangers ?
Les incantations, jérémiades et autres appel au sang-froid des Macron, Philippe et Collomb ont finalement les mêmes accents que ceux des Hollande, Valls et Cazeneuve. Une rengaine lassante qui ne passe plus.
Une fois de plus, les Français payent la faiblesse d’un programme politique dont les lacunes en matière de sécurité et de défense avaient été soulignées lors de la campagne présidentielle de Macron.
La psychiatrie a si bon dos, par moments, qu’elle semble au politique ce que le blanchiment est à l’argent.
Frédéric Boccaletti, président du groupe RN au conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui connaît très bien la ville de La Seyne-sur-Mer, réagit au micro de Boulevard Voltaire sur l’attentat islamiste commis hier dans un supermarché de cette ville. « Voilée et vêtue de noir, elle a crié “Allah Akbar ! Vous êtes tous des mécréants !” »
C’est du lourd et nous, nous l’apprenons en juin 2018 !
Seuls les enfants méritent notre compassion.
Il est pitoyable après tant de crimes commis par le terrorisme islamiste de continuer à discuter ainsi du sexe des anges en développant ce sempiternel argument sur le risque d’amalgame.
Mais la famille royale britannique ne semble pas plus émue que cela par ces menaces.
Pourquoi, dans le même temps, le rôle néfaste de l’Arabie saoudite, du Qatar, du Koweit et de la Turquie est-il minimisé ?
Les sapeurs-pompiers de la BSPP (qui sont militaires) viennent de tirer la sonnette d’alarme.
Que les Français encore naïfs se réveillent…
L’attentat qui a été commis samedi à Paris aurait-il pu être évité alors qu’on sait que son auteur, Khamzat Azimov, était fiché S, comme la majorité des auteurs d’attentats islamistes sur le sol français ? Pourquoi ne neutralise-t-on pas ces individus avant leur passage à l’acte ? C’est les questions que se posent légitiment les citoyens.
Pendant que le microcosme du show-bizz patauge dans le politiquement correct et les sujets privilégiés qui détournent l’opinion publique des vrais dangers, la menace perdure.
Au lendemain de l’attentat islamiste commis par Khamzat Azimov, un citoyen français d’origine tchétchène, Xavier Raufer répond aux questions de Boulevard Voltaire. Samedi soir, à
Comment ne pas s’étonner alors de l’entêtement avec lequel le pouvoir, encore par la voix de Benjamin Griveaux pourtant bien gêné aux entournures et ressassant une leçon désaccordée avec le réel, maintient sa position sur les fichés S français et étrangers ?
Les incantations, jérémiades et autres appel au sang-froid des Macron, Philippe et Collomb ont finalement les mêmes accents que ceux des Hollande, Valls et Cazeneuve. Une rengaine lassante qui ne passe plus.
Une fois de plus, les Français payent la faiblesse d’un programme politique dont les lacunes en matière de sécurité et de défense avaient été soulignées lors de la campagne présidentielle de Macron.
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