Tests
À compter du 15 octobre, les tarifs des tests de dépistage contre le Covid iront d’au moins 22 euros, pour un antigénique (25 euros par les pharmacies, sauf le week-end, où ils seront facturés 30 euros ), et jusqu’à 44 euros pour un test PCR…
La fin de la gratuité des tests est tout sauf un argument comptable : c’est une boîte de Pandore ouverte par des inconscients.
L’Académie de médecine se sent aussi obligée de mettre en garde les nouveaux professionnels de santé que nous allons devenir avec l’arrivée des auto-tests…
Avec 12 millions d’élèves accueillis par près d’un million de de personnels, comment le ministère parviendra-t-il à tester, chaque mois, jusqu’à un million d’enfants et d’enseignants ?
Open bar pour tous, partout, sans prescription, remboursé à 100 % avec, bien évidemment, des files d’attente de plusieurs centaines de mètres devant les structures qui les pratiquent.
Plusieurs dizaines de tests auraient été biaisés à cause d’un problème de qualité d’un réactif au laboratoire.
Si l’épidémie, comme le pensent beaucoup de médecins, tire à sa fin, ces tests perdent beaucoup de leur intérêt.
Illusoire de compter sur les tests actuels pour arrêter maintenant l’épidémie.
Des masques qui arriveront peut-être aussi en avril, qui sait ? À Pâques ou à la Trinité, mironton, mirontaine ?
À compter du 15 octobre, les tarifs des tests de dépistage contre le Covid iront d’au moins 22 euros, pour un antigénique (25 euros par les pharmacies, sauf le week-end, où ils seront facturés 30 euros ), et jusqu’à 44 euros pour un test PCR…
La fin de la gratuité des tests est tout sauf un argument comptable : c’est une boîte de Pandore ouverte par des inconscients.
L’Académie de médecine se sent aussi obligée de mettre en garde les nouveaux professionnels de santé que nous allons devenir avec l’arrivée des auto-tests…
Avec 12 millions d’élèves accueillis par près d’un million de de personnels, comment le ministère parviendra-t-il à tester, chaque mois, jusqu’à un million d’enfants et d’enseignants ?
Open bar pour tous, partout, sans prescription, remboursé à 100 % avec, bien évidemment, des files d’attente de plusieurs centaines de mètres devant les structures qui les pratiquent.
Plusieurs dizaines de tests auraient été biaisés à cause d’un problème de qualité d’un réactif au laboratoire.
Si l’épidémie, comme le pensent beaucoup de médecins, tire à sa fin, ces tests perdent beaucoup de leur intérêt.
Illusoire de compter sur les tests actuels pour arrêter maintenant l’épidémie.
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