Theresa May
Les élections anticipées auront lieu jeudi 12 décembre. La campagne sera monstrueuse.
S’il veut gagner, à court ou à long terme, BoJo n’a donc qu’une chose à faire : afficher sa fermeté sans faille, jusqu’à ce que le blocage soit tel que l’on soit obligé d’aller aux urnes.
Déjà, on sent l’accélération : c’est Boris Johnson, très probablement, qui sera le futur Premier ministre, réussissant ainsi à gagner la guerre qu’il menait de l’intérieur contre Theresa May depuis son accession au pouvoir.
Ce scénario était pourtant prévisible depuis plus d’un an, et même deux.
Nigel Farage, par-delà ses apparents « changements de pied », n’a cessé de montrer la cohérence, la justesse et la réussite de sa stratégie, et son grand talent manœuvrier.
Il faut être distrait pour ne pas voir que dans le duo, qui ne se détache que superficiellement du chœur des 27, c’est l’Allemagne qui pèse désormais le plus lourd.
À quoi bon se déplacer jusqu’aux urnes si l’on a le sentiment qu’elles ne sont rien d’autre qu’une corbeille à papier ?
En attendant de probables rebondissements à venir, ça navigue à vue, au 10 Downing Street.
Nous aurions bien tort de nous réjouir des malheurs de nos meilleurs amis anglais, puisque en France, de semblables manœuvres de coulisses sont depuis longtemps la norme.
Si cette manifestation ne réussit pas à faire changer la décision du Premier ministre britannique, elle s’apparente tout bonnement à une propagande.
Le « hard Brexit » fait peur et serait sans doute catastrophique. Voilà la chance de l’opiniâtre Mme May.
L’avenir de l’Europe n’est pas dans un prêt-à-porter universel…
Il y a des matins où on aimerait être britannique.
Au programme des réjouissances : le sauvetage du Brexit et un peu celui de l’Europe, aussi.
Trump, c’est l’éléphant plus républicain que jamais qui piétine avec bonheur les porcelaines du magasin-musée européen…
Donald Trump respecte ce qui est respectable. À savoir ceux qui ont la force de lui tenir tête.
Comment sortir l’Angleterre de l’Europe tout en y restant ?
Les travaillistes retrouvent du poil de la bête.
Arrivée discrètement au 10 Downing Street, Theresa May pourrait y imprimer sa marque et devenir la nouvelle Dame de fer de la politique britannique.
Les élections anticipées auront lieu jeudi 12 décembre. La campagne sera monstrueuse.
S’il veut gagner, à court ou à long terme, BoJo n’a donc qu’une chose à faire : afficher sa fermeté sans faille, jusqu’à ce que le blocage soit tel que l’on soit obligé d’aller aux urnes.
Déjà, on sent l’accélération : c’est Boris Johnson, très probablement, qui sera le futur Premier ministre, réussissant ainsi à gagner la guerre qu’il menait de l’intérieur contre Theresa May depuis son accession au pouvoir.
Ce scénario était pourtant prévisible depuis plus d’un an, et même deux.
Nigel Farage, par-delà ses apparents « changements de pied », n’a cessé de montrer la cohérence, la justesse et la réussite de sa stratégie, et son grand talent manœuvrier.
Il faut être distrait pour ne pas voir que dans le duo, qui ne se détache que superficiellement du chœur des 27, c’est l’Allemagne qui pèse désormais le plus lourd.
À quoi bon se déplacer jusqu’aux urnes si l’on a le sentiment qu’elles ne sont rien d’autre qu’une corbeille à papier ?
En attendant de probables rebondissements à venir, ça navigue à vue, au 10 Downing Street.
Nous aurions bien tort de nous réjouir des malheurs de nos meilleurs amis anglais, puisque en France, de semblables manœuvres de coulisses sont depuis longtemps la norme.
Si cette manifestation ne réussit pas à faire changer la décision du Premier ministre britannique, elle s’apparente tout bonnement à une propagande.
Le « hard Brexit » fait peur et serait sans doute catastrophique. Voilà la chance de l’opiniâtre Mme May.
L’avenir de l’Europe n’est pas dans un prêt-à-porter universel…
Il y a des matins où on aimerait être britannique.
Au programme des réjouissances : le sauvetage du Brexit et un peu celui de l’Europe, aussi.
Trump, c’est l’éléphant plus républicain que jamais qui piétine avec bonheur les porcelaines du magasin-musée européen…
Donald Trump respecte ce qui est respectable. À savoir ceux qui ont la force de lui tenir tête.
Comment sortir l’Angleterre de l’Europe tout en y restant ?
Les travaillistes retrouvent du poil de la bête.
Arrivée discrètement au 10 Downing Street, Theresa May pourrait y imprimer sa marque et devenir la nouvelle Dame de fer de la politique britannique.