trafics
« Ce règlement, s’il était adopté, aboutirait à obliger les États à entériner les trafics d’enfants de toutes sortes qui pourraient avoir été validés dans un État de l’Union européenne. »
En déplacement aux Mureaux, le 19 mai dernier, une ville frappée par la délinquance, Élisabeth Borne préférait parler égalité femme-homme et changement climatique.
L’État n’est pas capable de proposer à ces jeunes gens, porteurs de papiers français, une solution viable pour trouver du travail autrement que par un cursus honorum rénové des Romains : guetteur, vendeur, caïd, parrain.
En exerçant leur droit de retrait, les agents de la ville de Paris qui travaillent au stade Max-Rousié, dans le XVIIe arrondissement de Paris, ont
À chacun son business. Celui de la mendicité et de l’agression de rue est, lui, réservé aux clans d’Europe de l’Est.
« Ce règlement, s’il était adopté, aboutirait à obliger les États à entériner les trafics d’enfants de toutes sortes qui pourraient avoir été validés dans un État de l’Union européenne. »
En déplacement aux Mureaux, le 19 mai dernier, une ville frappée par la délinquance, Élisabeth Borne préférait parler égalité femme-homme et changement climatique.
L’État n’est pas capable de proposer à ces jeunes gens, porteurs de papiers français, une solution viable pour trouver du travail autrement que par un cursus honorum rénové des Romains : guetteur, vendeur, caïd, parrain.
En exerçant leur droit de retrait, les agents de la ville de Paris qui travaillent au stade Max-Rousié, dans le XVIIe arrondissement de Paris, ont
À chacun son business. Celui de la mendicité et de l’agression de rue est, lui, réservé aux clans d’Europe de l’Est.