Trans
Le CNC a eu manifestement à cœur de rester dans les clous d’un politiquement correct très apprécié aux USA.
Les Français trouvent-ils normal qu’une personne trans remporte un prix… féminin ?
GPA, transactivisme… où est passé le féminisme sur le service public ?
Sur le plateau de Quotidien, la journaliste Ambre Chalumeau déroule la pelote queer jusqu’au bout.
Avant d’être épouse catholique de 25 ans et mère de 2 enfants, Daisy Strongin était jeune trans.
C’est moins sexy d’écouter des mères qui ont marché de Paris jusqu’à Rome pour parler de la messe traditionnelle…
L’exploit perd de sa superbe lorsque l’on apprend que « Valentina » n’avait jamais remporté de compétition masculine avant sa transition.
L’article visait à conseiller les parents confrontés à une « dysphorie de genre » chez leur enfant. Un problème d’ampleur, que l’organisme a décidé de gérer de manière peu orthodoxe.
Tandis que la bien-pensance en France associe la lutte contre l’idéologie du genre à de l’homophobie et résume la transphobie à de la LGBTphobie, ce sont les LGB eux-mêmes outre-Manche qui rappellent que la transidentité n’a rien à voir avec l’homosexualité.
C’est donc avec émoi qu’on apprend qu’un enfant qui apprend péniblement à distinguer les couleurs et les formes bénéficie, en revanche, d’une imparable assurance en ce qui concerne son genre.
Le CNC a eu manifestement à cœur de rester dans les clous d’un politiquement correct très apprécié aux USA.
Les Français trouvent-ils normal qu’une personne trans remporte un prix… féminin ?
GPA, transactivisme… où est passé le féminisme sur le service public ?
Sur le plateau de Quotidien, la journaliste Ambre Chalumeau déroule la pelote queer jusqu’au bout.
Avant d’être épouse catholique de 25 ans et mère de 2 enfants, Daisy Strongin était jeune trans.
C’est moins sexy d’écouter des mères qui ont marché de Paris jusqu’à Rome pour parler de la messe traditionnelle…
L’exploit perd de sa superbe lorsque l’on apprend que « Valentina » n’avait jamais remporté de compétition masculine avant sa transition.
L’article visait à conseiller les parents confrontés à une « dysphorie de genre » chez leur enfant. Un problème d’ampleur, que l’organisme a décidé de gérer de manière peu orthodoxe.
Tandis que la bien-pensance en France associe la lutte contre l’idéologie du genre à de l’homophobie et résume la transphobie à de la LGBTphobie, ce sont les LGB eux-mêmes outre-Manche qui rappellent que la transidentité n’a rien à voir avec l’homosexualité.
C’est donc avec émoi qu’on apprend qu’un enfant qui apprend péniblement à distinguer les couleurs et les formes bénéficie, en revanche, d’une imparable assurance en ce qui concerne son genre.