Ukraine
50 de ses soldats ont déserté dès la phase de formation, en France. 1.700 autres l’ont fait avant même le déploiement.
Scholz incarnera-t-il une vision française ou en profitera-t-il pour affirmer la position allemande ?
De quoi faire basculer les États-Unis du côté de la belligérance, alors que Zelensky envisageait une solution négociée.
Ce retour au réel est puissamment encouragé par deux diplomates américains chevronnés, R. Haass et C. Kupchan.
Contrainte budgétaire, opinion publique et potentielle victoire de Donald Trump poussent Berlin au désengagement.
Voilà du courage politique.
Ce n’est pas rien, de passer une vitesse, dans la conflictualité vis-à-vis de la Russie.
« Vous ne vous arrêtez jamais, Monsieur Pignon », disait Bernard Brochant (Thierry Lhermitte) à François Pignon (Jacques Villeret), le « con » de son dîner dans
On a failli arrêter l’hémorragie et faire cesser les pertes par dizaines de milliers.
Les Occidentaux ont sous-estimé la capacité de résilience et de résistance de Moscou.
« On ne voit pas l’ombre d’un mouvement, d’une tentative de renforcement de la défense. »
Trump s’est mis en retrait et a adopté une position ambigüe sur la crise ukrainienne.
Macron voulait guerroyer en Ukraine, c’est la Pologne qui vient nous aider à Paris.
Macron a vu Hollande acculé à la paralysie. Son orgueil refuse cette issue.
Les insensés qui voulaient croire à la victoire du bon sens sont priés de battre leur coulpe.
« Soit on est pro-Macron, soit on est accusé d’être pro-Poutine, résume Marine Le Pen. Cette attitude est abjecte ».
Terrible contraste entre un retraité de la politique toujours vif, et des politiciens aux manettes… déconnectés.
L’État a des progrès à faire pour doter son armée afin de garantir sa souveraineté en cas d’attaque.
Hollande, n’était-ce pas l’homme qui se livra sans respect du secret défense, auprès de Gérard Davet et Fabrice Lhomme ?
« On demande aux producteurs français d’être parfaits… et on achète au moins-disant social et environnemental »
Loin d’effrayer Poutine, Emmanuel Macron l’a rassuré. L’incertitude est levée : aucun pays n’enverra de troupes.
La déclaration de Gabriel Attal dans l’Hémicycle ressemble fort à une provocation.
Attaqués de l’intérieur par les normes de l’UE, les agriculteurs font aussi face à la concurrence extra-européenne.
« L’Ukraine est connue pour être l’un des pays les plus corrompus du monde ».
La Commission n’a pas dit non, mais ce n’est pas un oui immédiat.
Le conflit Hamas-Israël a tout écrasé dans l’actualité, et pas seulement les punaises de lit.
Jusqu’à vendredi, un shutdown semblait inévitable. Des milliers de fonctionnaires risquaient le chômage.
50 de ses soldats ont déserté dès la phase de formation, en France. 1.700 autres l’ont fait avant même le déploiement.
Scholz incarnera-t-il une vision française ou en profitera-t-il pour affirmer la position allemande ?
De quoi faire basculer les États-Unis du côté de la belligérance, alors que Zelensky envisageait une solution négociée.
Ce retour au réel est puissamment encouragé par deux diplomates américains chevronnés, R. Haass et C. Kupchan.
Contrainte budgétaire, opinion publique et potentielle victoire de Donald Trump poussent Berlin au désengagement.
Voilà du courage politique.
Ce n’est pas rien, de passer une vitesse, dans la conflictualité vis-à-vis de la Russie.
« Vous ne vous arrêtez jamais, Monsieur Pignon », disait Bernard Brochant (Thierry Lhermitte) à François Pignon (Jacques Villeret), le « con » de son dîner dans
On a failli arrêter l’hémorragie et faire cesser les pertes par dizaines de milliers.
Les Occidentaux ont sous-estimé la capacité de résilience et de résistance de Moscou.
« On ne voit pas l’ombre d’un mouvement, d’une tentative de renforcement de la défense. »
Trump s’est mis en retrait et a adopté une position ambigüe sur la crise ukrainienne.
Macron voulait guerroyer en Ukraine, c’est la Pologne qui vient nous aider à Paris.
Macron a vu Hollande acculé à la paralysie. Son orgueil refuse cette issue.
Les insensés qui voulaient croire à la victoire du bon sens sont priés de battre leur coulpe.
« Soit on est pro-Macron, soit on est accusé d’être pro-Poutine, résume Marine Le Pen. Cette attitude est abjecte ».
Terrible contraste entre un retraité de la politique toujours vif, et des politiciens aux manettes… déconnectés.
L’État a des progrès à faire pour doter son armée afin de garantir sa souveraineté en cas d’attaque.
Hollande, n’était-ce pas l’homme qui se livra sans respect du secret défense, auprès de Gérard Davet et Fabrice Lhomme ?
« On demande aux producteurs français d’être parfaits… et on achète au moins-disant social et environnemental »
Loin d’effrayer Poutine, Emmanuel Macron l’a rassuré. L’incertitude est levée : aucun pays n’enverra de troupes.
La déclaration de Gabriel Attal dans l’Hémicycle ressemble fort à une provocation.
Attaqués de l’intérieur par les normes de l’UE, les agriculteurs font aussi face à la concurrence extra-européenne.
« L’Ukraine est connue pour être l’un des pays les plus corrompus du monde ».
La Commission n’a pas dit non, mais ce n’est pas un oui immédiat.
Le conflit Hamas-Israël a tout écrasé dans l’actualité, et pas seulement les punaises de lit.
Jusqu’à vendredi, un shutdown semblait inévitable. Des milliers de fonctionnaires risquaient le chômage.
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