Ukraine
On se croirait revenu à l’époque de la 5e colonne et des boches déguisés en bonnes sœurs…
L’argument défensif utilisé par Kiev ne convainc pas Amnesty.
Selon Amnesty, l’Ukraine met en danger sa propre population civile en installant des emprises militaires au sein des zones habitées. Ça alors !
Le communiqué d’Amnesty peut-il légèrement changer la doxa en vigueur ? Il est permis d’en douter.
Viktor Orban ne manie pas la langue de bois. Il est l’un des rares dirigeants européens à exprimer clairement que l’UE est au bord du naufrage.
La France doit retrouver son indépendance. Il n’y a de politique que dans une vision de long terme.
Le traitement politique et médiatique de l’évolution de la guerre en Ukraine offre, de nos jours, un parfait exemple de dissonance cognitive.
Être passé du journal télévisé de France 2 à la chaîne d’information LCI semble avoir libéré David Pujadas qui, désormais, rivalise d’audace.
Au moment où les dirigeants occidentaux ont affiché pour le G7 une complicité décontractée et narcissique, de bien mauvais aloi vu la gravité de la situation, la tribune de ces intellectuels allemands les ramène à la réalité d’une guerre qu’ils n’ont pas su prévenir
Renversé sur un passage piéton, un petit garçon de 5 ans a ainsi payé de sa vie l’inconscience criminelle d’un adulte.
Une adhésion de l’Ukraine dans l’Union européenne amènerait à un conflit plus large que ce qu’il n’est maintenant contre la Russie.
On mesure à quel point les déclarations bellicistes de Macron, à Kiev, sont anachroniques. Celui qui se voulait le « maître des horloges » se révèle être, finalement, le maître des contre-temps.
Que faire qui soit acceptable par les deux parties en guerre ?
Détachée des réalités nationales, elle joue avec le feu dans un jeu géopolitique qu’elle ne peut maîtriser puisqu’elle n’a ni armée, ni diplomatie réelle, ni même profondeur historique.
La France, c’est beau, c’est grand, c’est généreux. Mais la France doit être aussi prévoyante…
Tout n’est pas faux mais aucune de ces causes – même conjuguées ensemble – ne sont suffisantes pour justifier de telles conséquences.
Aucune preuve, donc, d’une quelconque collusion, mais peu importe, on procède par suggestion : des liens « flous ».
Biden a donc pris soin, dans sa tribune, de changer de ton et de faire passer des messages à Moscou : « Nous ne recherchons pas une guerre entre l’OTAN et la Russie… »
Frédéric Leclerc-Imhoff, JRI (journaliste reporter d’images), est décédé alors qu’il couvrait une évacuation de civils à Severodonetsk.
La présidente de la Manif Pour Tous dénonce les projets de reconnaissance qui vont être imposés aux états et risquent de démultiplier le trafic lié à la GPA.
La France, membre fondateur du projet européen, avait toutes les cartes et toute l’autorité nécessaires pour s’imposer en médiateur naturel de la paix.
Les États-Unis viennent de réussir à parfaire leur vieux rêve de domination sur l’Europe, un exploit mené avec détermination et surtout avec le soulagement lâche des vieilles nations européennes.
Prions le ciel qu’Andorre nous attaque vite. On gagnera l’Eurovision !
Il est évident que si la France devait être embringuée dans une guerre, les pertes seraient hors du commun avec ce qu’elle a pour l’instant subi dans les OPEX (opérations extérieures) de ces dernières décennies.
Comme Marlborough, Ursula s’en va en guerre. Depuis l’agression russe en Ukraine, la présidente de la Commission multiplie les déclarations martiales. À l’évidence, elle est
Les autorités de la région séparatiste géorgienne prorusse d’Ossétie du Sud ont annoncé, vendredi 13 mai, la tenue, le 17 juillet prochain, d’un référendum sur
L’invasion russe de l’Ukraine, que les Américains ont annoncée si fort qu’ils semblaient bien la désirer, n’a, pour l’instant, que des avantages.
Les voix – et voies – de la raison commencent à se faire entendre de part et d’autre des Alpes. Seront-elles entendues au palais de l’Élysée ?
On se croirait revenu à l’époque de la 5e colonne et des boches déguisés en bonnes sœurs…
L’argument défensif utilisé par Kiev ne convainc pas Amnesty.
Selon Amnesty, l’Ukraine met en danger sa propre population civile en installant des emprises militaires au sein des zones habitées. Ça alors !
Le communiqué d’Amnesty peut-il légèrement changer la doxa en vigueur ? Il est permis d’en douter.
Viktor Orban ne manie pas la langue de bois. Il est l’un des rares dirigeants européens à exprimer clairement que l’UE est au bord du naufrage.
La France doit retrouver son indépendance. Il n’y a de politique que dans une vision de long terme.
Le traitement politique et médiatique de l’évolution de la guerre en Ukraine offre, de nos jours, un parfait exemple de dissonance cognitive.
Être passé du journal télévisé de France 2 à la chaîne d’information LCI semble avoir libéré David Pujadas qui, désormais, rivalise d’audace.
Au moment où les dirigeants occidentaux ont affiché pour le G7 une complicité décontractée et narcissique, de bien mauvais aloi vu la gravité de la situation, la tribune de ces intellectuels allemands les ramène à la réalité d’une guerre qu’ils n’ont pas su prévenir
Renversé sur un passage piéton, un petit garçon de 5 ans a ainsi payé de sa vie l’inconscience criminelle d’un adulte.
Une adhésion de l’Ukraine dans l’Union européenne amènerait à un conflit plus large que ce qu’il n’est maintenant contre la Russie.
On mesure à quel point les déclarations bellicistes de Macron, à Kiev, sont anachroniques. Celui qui se voulait le « maître des horloges » se révèle être, finalement, le maître des contre-temps.
Que faire qui soit acceptable par les deux parties en guerre ?
Détachée des réalités nationales, elle joue avec le feu dans un jeu géopolitique qu’elle ne peut maîtriser puisqu’elle n’a ni armée, ni diplomatie réelle, ni même profondeur historique.
La France, c’est beau, c’est grand, c’est généreux. Mais la France doit être aussi prévoyante…
Tout n’est pas faux mais aucune de ces causes – même conjuguées ensemble – ne sont suffisantes pour justifier de telles conséquences.
Aucune preuve, donc, d’une quelconque collusion, mais peu importe, on procède par suggestion : des liens « flous ».
Biden a donc pris soin, dans sa tribune, de changer de ton et de faire passer des messages à Moscou : « Nous ne recherchons pas une guerre entre l’OTAN et la Russie… »
Frédéric Leclerc-Imhoff, JRI (journaliste reporter d’images), est décédé alors qu’il couvrait une évacuation de civils à Severodonetsk.
La présidente de la Manif Pour Tous dénonce les projets de reconnaissance qui vont être imposés aux états et risquent de démultiplier le trafic lié à la GPA.
La France, membre fondateur du projet européen, avait toutes les cartes et toute l’autorité nécessaires pour s’imposer en médiateur naturel de la paix.
Les États-Unis viennent de réussir à parfaire leur vieux rêve de domination sur l’Europe, un exploit mené avec détermination et surtout avec le soulagement lâche des vieilles nations européennes.
Prions le ciel qu’Andorre nous attaque vite. On gagnera l’Eurovision !
Il est évident que si la France devait être embringuée dans une guerre, les pertes seraient hors du commun avec ce qu’elle a pour l’instant subi dans les OPEX (opérations extérieures) de ces dernières décennies.
Comme Marlborough, Ursula s’en va en guerre. Depuis l’agression russe en Ukraine, la présidente de la Commission multiplie les déclarations martiales. À l’évidence, elle est
Les autorités de la région séparatiste géorgienne prorusse d’Ossétie du Sud ont annoncé, vendredi 13 mai, la tenue, le 17 juillet prochain, d’un référendum sur
L’invasion russe de l’Ukraine, que les Américains ont annoncée si fort qu’ils semblaient bien la désirer, n’a, pour l’instant, que des avantages.
Les voix – et voies – de la raison commencent à se faire entendre de part et d’autre des Alpes. Seront-elles entendues au palais de l’Élysée ?
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