Ukraine
La volonté fondamentale du pape est de tout faire pour arrêter la guerre. Il a voulu maintenir les voies de discussion avec la Russie et l’Ukraine en vue de négociations pour la paix.
L’Europe veut la guerre, mais sans la faire, tout en demandant à son adversaire de ne pas prendre de mesures de rétorsion trop pénalisantes.
C’est une des conséquences moins visibles de la guerre en Ukraine : des clients français qui ont conclu des contrats avec des sociétés d’entremise de GPA font venir les mères porteuses ukrainiennes pour les faire accoucher en France
La fermeté affichée par les autorités peut étonner, quand on connaît le laxisme du gouvernement à l’égard des nombreux immigrés économiques, arrivés illégalement en France.
Alors que l’invasion de l’Ukraine est déjà vieille de plus de deux mois, malgré l’alerte, aucun écho public d’une rallonge des crédits consacrés à la défense de notre pays.
Nous assistons malheureusement à l’éclatement de l’équilibre fragile issu de la fin de la Seconde Guerre mondiale. La guerre froide est devenue chaude.
La tenue de cette conférence sur une base américaine – la symbolique est très forte – ne laisse aucun doute sur la volonté de Washington de prendre fermement la direction de la coalition pour contrecarrer la Russie coupable d’une guerre d’agression.
Cette guerre nous a surpris, d’abord par son déclenchement, ensuite par la résistance et le patriotisme ukrainiens, enfin par les questions qu’elle pose sur les capacités réelles de l’armée russe à conquérir puis contrôler des régions où elle n’est pas accueillie en libératrice.
Dans l’histoire, l’armée ukrainienne a été extrêmement redoutable, il n’y avait pas de raison que ses descendants ne se battent pas de manière héroïque et très intelligente.
Devant cette situation bien plus complexe qu’en apparence, les deux candidats sauront-ils montrer une réelle compréhension des enjeux ?
Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, à l’occasion de sa visite en Ukraine, a remis au président Volodymyr Zelensky un formulaire d’adhésion
Qui va payer ? On le sait : les contribuables français et allemands.
Quand Vladimir Poutine bombarde et martyrise Marioupol, il bombarde et il martyrise également Washington, Paris et Berlin.
C’est le retour des empires, des guerres entre États et, donc, des conflits à haute intensité.
Les Ukrainiens refusent le combat classique, armée contre armée, en terrain libre. Ils mènent une guerre de guérilla…
La réalité opérationnelle surprend les militaires occidentaux qui ne s’attendaient pas à autant de difficultés de la part d’une armée russe en théorie parmi les plus puissantes du monde.
Le 4 avril 1940 avait lieu le massacre de Katyń. Des milliers d’officiers polonais étaient exécutés sommairement. Un crime que l’URSS imputa des années durant à l’Allemagne nazie. Il fallut attendre 1990 pour que les Soviétiques reconnaissent leur responsabilité.
Bien davantage qu’un pacte militaire, l’OTAN, c’est d’abord un marché.
Les peuples ne peuvent vivre, se développer et s’épanouir que dans un cadre national…
L’Union européenne fait la guerre à la Russie (qui, elle-même, a déclenché une guerre), avec des armes non pas militaires mais économiques : elle a lancé
Ce terrible conflit en plein cœur de l’Europe ne peut laisser personne indifférent. Ces enfants pourraient être les miens.
Tout est possible, dans ce petit pays déjà éprouvé, tant sont ardentes les braises intercommunautaires sur lesquelles continuent de souffler des influences étrangères.
Ils sont partis la fleur au fusil. Insouciants et sûrs d’eux, car la guerre serait courte, la victoire certaine, sans aucun doute. D’Ursula von der Leyen à Emmanuel Macron…
La venue éclair de Joe Biden à Bruxelles est surtout le symbole de l’alignement européen sur la politique américaine, que souligne de façon éclatante la présence du président américain au Conseil européen.
Le 16 mars dernier, Joe Biden n’avait pas hésité à qualifier Vladimir Poutine de « criminel de guerre »…
En quelques semaines, nos indécrottables bien-pensants ont retourné leurs vestes comme crêpes à la Chandeleur, avec une rapidité de transformiste de métier.
Vladimir Zelinsky s’est adressé aux députés et sénateurs français par visioconférence, ce mercredi.
La Syrie ? Connais pas. Le Yémen, l’Afghanistan, le Liban, l’Iran ? C’est où, ça… Il n’y a plus personne pour couvrir ces conflits, plus grand monde pour seulement les évoquer.
La volonté fondamentale du pape est de tout faire pour arrêter la guerre. Il a voulu maintenir les voies de discussion avec la Russie et l’Ukraine en vue de négociations pour la paix.
L’Europe veut la guerre, mais sans la faire, tout en demandant à son adversaire de ne pas prendre de mesures de rétorsion trop pénalisantes.
C’est une des conséquences moins visibles de la guerre en Ukraine : des clients français qui ont conclu des contrats avec des sociétés d’entremise de GPA font venir les mères porteuses ukrainiennes pour les faire accoucher en France
La fermeté affichée par les autorités peut étonner, quand on connaît le laxisme du gouvernement à l’égard des nombreux immigrés économiques, arrivés illégalement en France.
Alors que l’invasion de l’Ukraine est déjà vieille de plus de deux mois, malgré l’alerte, aucun écho public d’une rallonge des crédits consacrés à la défense de notre pays.
Nous assistons malheureusement à l’éclatement de l’équilibre fragile issu de la fin de la Seconde Guerre mondiale. La guerre froide est devenue chaude.
La tenue de cette conférence sur une base américaine – la symbolique est très forte – ne laisse aucun doute sur la volonté de Washington de prendre fermement la direction de la coalition pour contrecarrer la Russie coupable d’une guerre d’agression.
Cette guerre nous a surpris, d’abord par son déclenchement, ensuite par la résistance et le patriotisme ukrainiens, enfin par les questions qu’elle pose sur les capacités réelles de l’armée russe à conquérir puis contrôler des régions où elle n’est pas accueillie en libératrice.
Dans l’histoire, l’armée ukrainienne a été extrêmement redoutable, il n’y avait pas de raison que ses descendants ne se battent pas de manière héroïque et très intelligente.
Devant cette situation bien plus complexe qu’en apparence, les deux candidats sauront-ils montrer une réelle compréhension des enjeux ?
Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, à l’occasion de sa visite en Ukraine, a remis au président Volodymyr Zelensky un formulaire d’adhésion
Qui va payer ? On le sait : les contribuables français et allemands.
Quand Vladimir Poutine bombarde et martyrise Marioupol, il bombarde et il martyrise également Washington, Paris et Berlin.
C’est le retour des empires, des guerres entre États et, donc, des conflits à haute intensité.
Les Ukrainiens refusent le combat classique, armée contre armée, en terrain libre. Ils mènent une guerre de guérilla…
La réalité opérationnelle surprend les militaires occidentaux qui ne s’attendaient pas à autant de difficultés de la part d’une armée russe en théorie parmi les plus puissantes du monde.
Le 4 avril 1940 avait lieu le massacre de Katyń. Des milliers d’officiers polonais étaient exécutés sommairement. Un crime que l’URSS imputa des années durant à l’Allemagne nazie. Il fallut attendre 1990 pour que les Soviétiques reconnaissent leur responsabilité.
Bien davantage qu’un pacte militaire, l’OTAN, c’est d’abord un marché.
Les peuples ne peuvent vivre, se développer et s’épanouir que dans un cadre national…
L’Union européenne fait la guerre à la Russie (qui, elle-même, a déclenché une guerre), avec des armes non pas militaires mais économiques : elle a lancé
Ce terrible conflit en plein cœur de l’Europe ne peut laisser personne indifférent. Ces enfants pourraient être les miens.
Tout est possible, dans ce petit pays déjà éprouvé, tant sont ardentes les braises intercommunautaires sur lesquelles continuent de souffler des influences étrangères.
Ils sont partis la fleur au fusil. Insouciants et sûrs d’eux, car la guerre serait courte, la victoire certaine, sans aucun doute. D’Ursula von der Leyen à Emmanuel Macron…
La venue éclair de Joe Biden à Bruxelles est surtout le symbole de l’alignement européen sur la politique américaine, que souligne de façon éclatante la présence du président américain au Conseil européen.
Le 16 mars dernier, Joe Biden n’avait pas hésité à qualifier Vladimir Poutine de « criminel de guerre »…
En quelques semaines, nos indécrottables bien-pensants ont retourné leurs vestes comme crêpes à la Chandeleur, avec une rapidité de transformiste de métier.
Vladimir Zelinsky s’est adressé aux députés et sénateurs français par visioconférence, ce mercredi.
La Syrie ? Connais pas. Le Yémen, l’Afghanistan, le Liban, l’Iran ? C’est où, ça… Il n’y a plus personne pour couvrir ces conflits, plus grand monde pour seulement les évoquer.
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