UNI
Le tribunal administratif de Nantes a confirmé l’exclusion de la responsable de l’UNI Nantes pour neuf mois.
Le procès a commencé ce vendredi 8 novembre devant le tribunal administratif de Rennes.
La colle des affiches de l’UNI n’était pas encore sèche que des étudiants étaient déjà venus les arracher.
Sur l’Université catholique de Lille, les étudiants ont découvert un tag appelant à mettre « les cathos au feu ».
Il y a quelques décennies, on se battait entre militants adversaires, mais on ne se lynchait pas.
L’UNI dénonce « le laxisme de l’État français », voire « une certaine complaisance »
« Nous n’en serions pas là si Sylvie Retailleau avait écouté l’UNI, il y a plusieurs semaines. »
Sur le papier, la liste « Active ton CROUS », proche des Frères musulmans, n’a rien d’alarmant…
Cette victoire de l’UNI marque un tournant au sein de la diversité des opinions dans les facultés
Cette proposition de loi n’est d’ailleurs pas la première à aborder le problème.
Refusant de céder à la panique, Yvenn et Samuel, militants à l’UNI, ont décidé de porter plainte.
Partout en France, une cinquantaine d’universités sont concernées par les blocages. Même les facultés historiquement moins ou peu militantes se retrouvent embrigadés par le mouvement.
À l’invitation du syndicat étudiant UNI, Stanislas Rigault devait débattre avec les étudiants de la fac de droit de Nice. La conférence a été annulée en raison de menaces « de troubles à l’ordre public ».
De quoi l’impunité dont bénéficient ces « milices antifas » est-elle le nom, quand le pouvoir use d’une célérité foudroyante à condamner et dissoudre les Zouaves ou Génération identitaire ?
« Cette soumission à l’idéologie woke » largement dénoncée donc dans la presse par le syndicat étudiant de droite a contraint la direction de l’établissement à clarifier la situation et démentir les faits.
Le tribunal administratif de Nantes a confirmé l’exclusion de la responsable de l’UNI Nantes pour neuf mois.
Le procès a commencé ce vendredi 8 novembre devant le tribunal administratif de Rennes.
La colle des affiches de l’UNI n’était pas encore sèche que des étudiants étaient déjà venus les arracher.
Sur l’Université catholique de Lille, les étudiants ont découvert un tag appelant à mettre « les cathos au feu ».
Il y a quelques décennies, on se battait entre militants adversaires, mais on ne se lynchait pas.
L’UNI dénonce « le laxisme de l’État français », voire « une certaine complaisance »
« Nous n’en serions pas là si Sylvie Retailleau avait écouté l’UNI, il y a plusieurs semaines. »
Sur le papier, la liste « Active ton CROUS », proche des Frères musulmans, n’a rien d’alarmant…
Cette victoire de l’UNI marque un tournant au sein de la diversité des opinions dans les facultés
Cette proposition de loi n’est d’ailleurs pas la première à aborder le problème.
Refusant de céder à la panique, Yvenn et Samuel, militants à l’UNI, ont décidé de porter plainte.
Partout en France, une cinquantaine d’universités sont concernées par les blocages. Même les facultés historiquement moins ou peu militantes se retrouvent embrigadés par le mouvement.
À l’invitation du syndicat étudiant UNI, Stanislas Rigault devait débattre avec les étudiants de la fac de droit de Nice. La conférence a été annulée en raison de menaces « de troubles à l’ordre public ».
De quoi l’impunité dont bénéficient ces « milices antifas » est-elle le nom, quand le pouvoir use d’une célérité foudroyante à condamner et dissoudre les Zouaves ou Génération identitaire ?
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