Union européenne

Décidément, l’UE rappelle la grenouille de la fable de La Fontaine. À force d’enflure, elle finira par éclater

Mi-2021, la flambée des prix du gaz a sifflé la fin de la récréation.

Il est grand temps d’éclairer les yeux des électeurs et de proposer les moyens de reprendre le contrôle du système.

L’objectif est évident : faire de l’Europe le laboratoire planétaire d’intégration des migrants.

« Peut-on avoir confiance dans les institutions européennes ? En un mot, non », écrit Jean Quatremer.

Ce président, ami des Frères musulmans, va pouvoir poursuivre sa politique néo-ottomane.

On se garde bien de nous dire dans quels « endroits » le droit des enfants est attaqué.

Ce n’est pas aux classes populaires de payer le coût de la transition écologique, selon Manon Aubry

« Derrière un affichage sécuritaire, ce Pacte renforce de manière significative les droits des migrants »

« On nous avait dit que cette saisine était impossible. Nous nous sommes aperçus que le service juridique n’avait jamais été consulté ! »

Au milieu de cette situation plutôt inquiétante, il reste des raisons d’espérer.

Huit pays membres de l’Union européenne viennent de signer une déclaration commune par laquelle ils demandent à la Commission de prendre des mesures concrètes pour renforcer le contrôle des frontières de l’Union.

En se soumettant aux lobbies et aux idéologies du Forum économique mondial, la Commission européenne veut gommer d’un trait de plume notre patrimoine culinaire.

Sur Public Sénat, le 19 novembre 2022, le député s’élevait contre « la caricature » du Qatar déployée dans les médias, une caricature nuisible aux droits de l’homme ! Il fallait oser, ca passe.

En imposant une doctrine libérale à un secteur inadapté, en supportant l’arrivée des ENR dans le mix électrique et en encourageant l’arrivée d’une myriade de fournisseurs alternatifs, l’Union européenne planta le décor d’une tragédie annoncée !

Mon sentiment est que l’État n’agit pas contre la hausse des prix, mais à la suite d’une hausse des prix que les majorités au pouvoir depuis 2012 ont elles-mêmes provoquée par leurs décisions nationales et européennes.

Dans un récent entretien à La Stampa, le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, a affirmé : « Meloni et moi changerons l’Europe : le pouvoir aux seuls pays forts, ça suffit. »

L’Europe envoie 24,3 millions d’euros par an au pays d’Erdoğan. L’idée ? Aider les femmes turques à faire garder leurs enfants pour qu’elles puissent reprendre leur travail. Que vient faire ici l’Europe ?

Tout le problème provient du fait que l’Union européenne, depuis qu’elle a renoncé au gaz russe, est prise à la gorge. Nous sommes passés d’une dépendance à une autre.

Que la politique européenne (et donc française), notamment en matière migratoire, puisse être soumise à des pressions, on pouvait s’en douter.

Pour le moment, les réactions à cette première bombe sont rares et mesurées. Un signe, pour plusieurs observateurs, que l’onde de choc n’est qu’à son début.

« Ce règlement, s’il était adopté, aboutirait à obliger les États à entériner les trafics d’enfants de toutes sortes qui pourraient avoir été validés dans un État de l’Union européenne. »

C’est évidemment un avertissement aux autres pays de l’Union européenne qui seraient tentés de mener une politique dissidente… et souveraine.

Une alliance des nations est un garde-fou contre la tentation d’hégémonie impériale.

Si l’apparition, certes rapide, des jeunes femmes voilées peut sembler anodine, elle s’inscrit en réalité dans la continuité d’anciens projets européens soutenant des initiatives proches de l’islam radical.

Nul doute qu’une fois de plus, le pouvoir de nuisance du dollar à l’encontre d’éventuelles entreprises européennes désobéissantes permettra aux Américains de conserver la tutelle américaine sur les semi-conducteurs

Philippe Olivier s’invite dans votre salon ! Député européen, conseiller spécial de Marine Le Pen, Philippe Olivier revient, pour BV, sur l’actualité de la semaine

Les dernières controverses entre la France et l’Italie manifestent un conflit idéologique entre un gouvernement mondialiste et euro-béat et un gouvernement national et euro-réaliste mais, plus profondément, il s’agit d’un conflit entre la légitimité démocratique et un système juridique et idéologique.

Décidément, l’UE rappelle la grenouille de la fable de La Fontaine. À force d’enflure, elle finira par éclater

Mi-2021, la flambée des prix du gaz a sifflé la fin de la récréation.

Il est grand temps d’éclairer les yeux des électeurs et de proposer les moyens de reprendre le contrôle du système.

L’objectif est évident : faire de l’Europe le laboratoire planétaire d’intégration des migrants.

« Peut-on avoir confiance dans les institutions européennes ? En un mot, non », écrit Jean Quatremer.

Ce président, ami des Frères musulmans, va pouvoir poursuivre sa politique néo-ottomane.

On se garde bien de nous dire dans quels « endroits » le droit des enfants est attaqué.

Ce n’est pas aux classes populaires de payer le coût de la transition écologique, selon Manon Aubry

« Derrière un affichage sécuritaire, ce Pacte renforce de manière significative les droits des migrants »

« On nous avait dit que cette saisine était impossible. Nous nous sommes aperçus que le service juridique n’avait jamais été consulté ! »

Au milieu de cette situation plutôt inquiétante, il reste des raisons d’espérer.

Huit pays membres de l’Union européenne viennent de signer une déclaration commune par laquelle ils demandent à la Commission de prendre des mesures concrètes pour renforcer le contrôle des frontières de l’Union.

En se soumettant aux lobbies et aux idéologies du Forum économique mondial, la Commission européenne veut gommer d’un trait de plume notre patrimoine culinaire.

Sur Public Sénat, le 19 novembre 2022, le député s’élevait contre « la caricature » du Qatar déployée dans les médias, une caricature nuisible aux droits de l’homme ! Il fallait oser, ca passe.

En imposant une doctrine libérale à un secteur inadapté, en supportant l’arrivée des ENR dans le mix électrique et en encourageant l’arrivée d’une myriade de fournisseurs alternatifs, l’Union européenne planta le décor d’une tragédie annoncée !

Mon sentiment est que l’État n’agit pas contre la hausse des prix, mais à la suite d’une hausse des prix que les majorités au pouvoir depuis 2012 ont elles-mêmes provoquée par leurs décisions nationales et européennes.

Dans un récent entretien à La Stampa, le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, a affirmé : « Meloni et moi changerons l’Europe : le pouvoir aux seuls pays forts, ça suffit. »

L’Europe envoie 24,3 millions d’euros par an au pays d’Erdoğan. L’idée ? Aider les femmes turques à faire garder leurs enfants pour qu’elles puissent reprendre leur travail. Que vient faire ici l’Europe ?

Tout le problème provient du fait que l’Union européenne, depuis qu’elle a renoncé au gaz russe, est prise à la gorge. Nous sommes passés d’une dépendance à une autre.

Que la politique européenne (et donc française), notamment en matière migratoire, puisse être soumise à des pressions, on pouvait s’en douter.

Pour le moment, les réactions à cette première bombe sont rares et mesurées. Un signe, pour plusieurs observateurs, que l’onde de choc n’est qu’à son début.

« Ce règlement, s’il était adopté, aboutirait à obliger les États à entériner les trafics d’enfants de toutes sortes qui pourraient avoir été validés dans un État de l’Union européenne. »

C’est évidemment un avertissement aux autres pays de l’Union européenne qui seraient tentés de mener une politique dissidente… et souveraine.

Une alliance des nations est un garde-fou contre la tentation d’hégémonie impériale.

Si l’apparition, certes rapide, des jeunes femmes voilées peut sembler anodine, elle s’inscrit en réalité dans la continuité d’anciens projets européens soutenant des initiatives proches de l’islam radical.

Nul doute qu’une fois de plus, le pouvoir de nuisance du dollar à l’encontre d’éventuelles entreprises européennes désobéissantes permettra aux Américains de conserver la tutelle américaine sur les semi-conducteurs

Philippe Olivier s’invite dans votre salon ! Député européen, conseiller spécial de Marine Le Pen, Philippe Olivier revient, pour BV, sur l’actualité de la semaine

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