Ursula von der Leyen

On pourrait finir par ne plus prendre garde aux propos d’Ursula von der Leyen. Ce serait dommage.

Il y a chez Ursula von der Leyen une forme d’orgueil et de démesure qui la conduit à sous-estimer le danger extrême de la situation.

Faire l’Europe, oui. Mais surtout sans les Européens, semble-t-il.

Étonnamment – ou pas -, il semblerait que certains ne se satisfassent pas de régler cette facture plutôt salée sans en connaître les tenants et les aboutissants.

Alors on se prend à rêver : et si les citoyens européens se mobilisaient ? S’ils prenaient conscience qu’ils sont les dindons de cette sale farce ?

Lors de son entretien du 14 Juillet, le président de la République a évoqué la question de la réforme des retraites. Or a été éludée et est toujours éludée la question de la démographie.

Vous voyez bien qu’un tel niveau de compétence économique est hors de la portée du commun des mortels. Donner de l’argent à Poutine pour qu’il en perde. On est sauvés.

Comme Marlborough, Ursula s’en va en guerre. Depuis l’agression russe en Ukraine, la présidente de la Commission multiplie les déclarations martiales. À l’évidence, elle est

Cette Union n’hésite plus à bafouer les choix démocratiques au nom d’un prétendu État de droit qui n’est qu’une machine de guerre contre les peuples insoumis.

Qui va payer ? On le sait : les contribuables français et allemands.
La présidente de la Commission européenne n’a pas mâché ses mots au sujet des récentes déclarations hongroises, martelant : « Ce que Poutine suggère serait une violation des sanctions. »

Qu’a donc fait la Hongrie, au-delà de ces accusations, pour mériter cet acharnement, alors que le pays traverse, comme ses voisins, une crise économique de plus en plus grave à cause de la guerre en Ukraine ?

Que dire si un quelconque génie s’avise d’accélérer l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN cette fois ? Au nom de l’article 5, cette guerre deviendrait alors la nôtre…

La question taboue, néanmoins la plus importante de cette histoire, regarde d’éventuels conflits d’intérêts, ou collusion entre la présidente de la Commission européenne et l’industrie pharmaceutique.

C’est l’heure bruxelloise de la distribution des bons points. Ursula von der Leyen explique, dans un français teinté d’accent allemand, que la France a été sage et que Macron s’est comporté comme un brave commis.

Il est, bien sûr, frappant de voir avec quelle aisance la présidente de la Commission européenne évolue dans un monde qui est le sien.
On a eu la Syrie, nous aurons sans doute l’Afghanistan.

Les instances européennes naviguent à vue, tel un canard sans tête…

Le courage est bien la vertu qui manque à ces quatre leçons sans frontières…

Ouf, tout d’abord : la suppression de l’ENA n’aura pas d’effets rétroactifs. On est rassuré, nos chers ministres énarques ne devront pas se faire hara-kiri et resteront bien en place.

Après les quelques courbettes d’usage, les deux fonctionnaires de l’Europe sont repartis, contents d’eux-mêmes, remerciant de l’invitation…
Sur les réseaux sociaux, la vidéo a déclenché les réactions outrées de nombreux internautes et de la presse occidentale dénonçant « une mise en scène sexiste », « une humiliation ».

Il en est des avions de chasse comme des vaccins et, bien entendu, de tant d’autres choses.

Vous me direz qu’au degré d’hystérie où nous sommes parvenus, plus rien ne saurait nous étonner.

Un refrain éculé.

La Commission est hors-sol et elle se moque bien des aspirations des peuples.

La présidente de la Commission, Mme von der Leyen, a affirmé au Parlement européen avec force qu’en Europe seront renforcés les droits des LGBTQI…

Dans son discours sur l’état de l’Union, von der Leyen s’étonne de la frilosité du Vieux Continent face à l’afflux des m

On pourrait finir par ne plus prendre garde aux propos d’Ursula von der Leyen. Ce serait dommage.

Il y a chez Ursula von der Leyen une forme d’orgueil et de démesure qui la conduit à sous-estimer le danger extrême de la situation.

Faire l’Europe, oui. Mais surtout sans les Européens, semble-t-il.

Étonnamment – ou pas -, il semblerait que certains ne se satisfassent pas de régler cette facture plutôt salée sans en connaître les tenants et les aboutissants.

Alors on se prend à rêver : et si les citoyens européens se mobilisaient ? S’ils prenaient conscience qu’ils sont les dindons de cette sale farce ?

Lors de son entretien du 14 Juillet, le président de la République a évoqué la question de la réforme des retraites. Or a été éludée et est toujours éludée la question de la démographie.

Vous voyez bien qu’un tel niveau de compétence économique est hors de la portée du commun des mortels. Donner de l’argent à Poutine pour qu’il en perde. On est sauvés.

Comme Marlborough, Ursula s’en va en guerre. Depuis l’agression russe en Ukraine, la présidente de la Commission multiplie les déclarations martiales. À l’évidence, elle est

Cette Union n’hésite plus à bafouer les choix démocratiques au nom d’un prétendu État de droit qui n’est qu’une machine de guerre contre les peuples insoumis.

Qui va payer ? On le sait : les contribuables français et allemands.
La présidente de la Commission européenne n’a pas mâché ses mots au sujet des récentes déclarations hongroises, martelant : « Ce que Poutine suggère serait une violation des sanctions. »

Qu’a donc fait la Hongrie, au-delà de ces accusations, pour mériter cet acharnement, alors que le pays traverse, comme ses voisins, une crise économique de plus en plus grave à cause de la guerre en Ukraine ?

Que dire si un quelconque génie s’avise d’accélérer l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN cette fois ? Au nom de l’article 5, cette guerre deviendrait alors la nôtre…

La question taboue, néanmoins la plus importante de cette histoire, regarde d’éventuels conflits d’intérêts, ou collusion entre la présidente de la Commission européenne et l’industrie pharmaceutique.

C’est l’heure bruxelloise de la distribution des bons points. Ursula von der Leyen explique, dans un français teinté d’accent allemand, que la France a été sage et que Macron s’est comporté comme un brave commis.

Il est, bien sûr, frappant de voir avec quelle aisance la présidente de la Commission européenne évolue dans un monde qui est le sien.
On a eu la Syrie, nous aurons sans doute l’Afghanistan.

Les instances européennes naviguent à vue, tel un canard sans tête…

Le courage est bien la vertu qui manque à ces quatre leçons sans frontières…

Ouf, tout d’abord : la suppression de l’ENA n’aura pas d’effets rétroactifs. On est rassuré, nos chers ministres énarques ne devront pas se faire hara-kiri et resteront bien en place.

Après les quelques courbettes d’usage, les deux fonctionnaires de l’Europe sont repartis, contents d’eux-mêmes, remerciant de l’invitation…
Sur les réseaux sociaux, la vidéo a déclenché les réactions outrées de nombreux internautes et de la presse occidentale dénonçant « une mise en scène sexiste », « une humiliation ».

Il en est des avions de chasse comme des vaccins et, bien entendu, de tant d’autres choses.

Vous me direz qu’au degré d’hystérie où nous sommes parvenus, plus rien ne saurait nous étonner.

Un refrain éculé.

La Commission est hors-sol et elle se moque bien des aspirations des peuples.

La présidente de la Commission, Mme von der Leyen, a affirmé au Parlement européen avec force qu’en Europe seront renforcés les droits des LGBTQI…

Dans son discours sur l’état de l’Union, von der Leyen s’étonne de la frilosité du Vieux Continent face à l’afflux des m
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