USA
Les plans de Trump en matière de politique étrangère bousculeraient le statu quo européen.
Aux yeux de beaucoup de catholiques, Trump incarne un rempart contre les dérives progressistes démocrates.
Il n’est pas certain qu’une campagne axée sur des enjeux sociétaux séduise les masses…
Jusqu’à vendredi, un shutdown semblait inévitable. Des milliers de fonctionnaires risquaient le chômage.
Bien loin d’avoir désarmé, les adversaires de Trump espèrent toujours le voir finir ses jours en prison.
De la petite fiole de Colin Powell allait alors sortir un bien mauvais génie qui se préparait à déchaîner l’apocalypse sur la Mésopotamie…
Dans la nuit du 6 au 7 janvier, le représentant de la Californie, Kevin McCarthy, a été élu « Speaker » de la Chambre des représentants au 15e tour de scrutin…
Le Congrès américain s’est prononcé favorablement pour une aide massive à l’Ukraine : 45 milliards de dollars, sur les 1.700 milliards du budget fédéral.
Nul doute qu’une fois de plus, le pouvoir de nuisance du dollar à l’encontre d’éventuelles entreprises européennes désobéissantes permettra aux Américains de conserver la tutelle américaine sur les semi-conducteurs
Dans le même temps – hasard du calendrier ou relation de cause à effet -, Téhéran a reculé à la dernière minute alors qu’il était proche d’un accord avec Washington sur ses activités atomiques controversées.
Lorsque Donald Trump a annoncé la mort du chef djihadiste, il a rendu hommage à Kayla Mueller.
En avril 2017, Donald Trump avait qualifié le massacre des Arméniens d’« une des pires atrocités de masse du XXe siècle », mais il s’était gardé d’utiliser le terme de « génocide ».
Un petit garçon de 7 ans, James Younger, explique qu’il est une fille, que sa mère lui a dit qu’il est une fille, qu’elle l’habille en fille, le coiffe en fille, lui met du vernis à ongles.
L’opération al Baghdadi ne convaincra nullement ses adversaires que Trump soit doté de quelque compétence.
Trump est parti pour gagner l’élection de 2020.
Trump représente un danger « existentiel » pour ces décisionnaires occultes et provoque, depuis trois ans, une allergie viscérale au sein de l’État profond.
C’est la mise en accusation par l’homme théoriquement le plus puissant du monde de la trilogie infernale de la pensée unique, du politiquement correct et du terrorisme intellectuel.
Pour favoriser sa campagne 2020, Trump aurait tordu le bras du nouveau président ukrainien…
Donald Trump a bel et bien une méthode et une stratégie vis-à-vis de l’Iran ; mais il ne veut pas de morts et pense que les sanctions économiques finiront par aboutir à des meilleurs résultats.
Trump crie, menace, mais préfère finalement négocier que frapper. Heureuse évolution dont on espère qu’elle soit appelée à durer.
Et donc, ce manteau, il a fait quoi, pour créer la polémique ? Son prix ? L’équivalent de dix ans de salaire d’une famille de migrants ayant franchi le Rio Grande ?
L’autre avantage, avec l’ancien magnat de l’immobilier, demeure son inculture encyclopédique des affaires du vaste monde : imperméable aux idéologies du moment, il préfère creuser le sillon du pragmatisme.
Décidément, Trump marche dans les pas de notre Président sur certains sujets stratégiques.
Dans leur frénésie anti-Trump, des intellectuels et des médias s’en prennent non seulement au président américain mais aussi à la faiblesse, réelle ou supposée, des USA et de leur armée.
Exhiber la violence crue, nue, gratuite, stupide, indécente, abjecte pour la faire reculer ? C’est le pari lancé, en février dernier, par des élèves du trop tristement célèbre lycée de Columbine
À tout prendre, les Américains préfèrent organiser une passation avec le moins nocif des deux mouvements islamistes…
Efficacité plutôt qu’idéologie, c’est la recette des pays qui ont décidé de faire de l’immigration un atout économique. La France, hélas, persiste dans la démarche inverse…
Les plans de Trump en matière de politique étrangère bousculeraient le statu quo européen.
Aux yeux de beaucoup de catholiques, Trump incarne un rempart contre les dérives progressistes démocrates.
Il n’est pas certain qu’une campagne axée sur des enjeux sociétaux séduise les masses…
Jusqu’à vendredi, un shutdown semblait inévitable. Des milliers de fonctionnaires risquaient le chômage.
Bien loin d’avoir désarmé, les adversaires de Trump espèrent toujours le voir finir ses jours en prison.
De la petite fiole de Colin Powell allait alors sortir un bien mauvais génie qui se préparait à déchaîner l’apocalypse sur la Mésopotamie…
Dans la nuit du 6 au 7 janvier, le représentant de la Californie, Kevin McCarthy, a été élu « Speaker » de la Chambre des représentants au 15e tour de scrutin…
Le Congrès américain s’est prononcé favorablement pour une aide massive à l’Ukraine : 45 milliards de dollars, sur les 1.700 milliards du budget fédéral.
Nul doute qu’une fois de plus, le pouvoir de nuisance du dollar à l’encontre d’éventuelles entreprises européennes désobéissantes permettra aux Américains de conserver la tutelle américaine sur les semi-conducteurs
Dans le même temps – hasard du calendrier ou relation de cause à effet -, Téhéran a reculé à la dernière minute alors qu’il était proche d’un accord avec Washington sur ses activités atomiques controversées.
Lorsque Donald Trump a annoncé la mort du chef djihadiste, il a rendu hommage à Kayla Mueller.
En avril 2017, Donald Trump avait qualifié le massacre des Arméniens d’« une des pires atrocités de masse du XXe siècle », mais il s’était gardé d’utiliser le terme de « génocide ».
Un petit garçon de 7 ans, James Younger, explique qu’il est une fille, que sa mère lui a dit qu’il est une fille, qu’elle l’habille en fille, le coiffe en fille, lui met du vernis à ongles.
L’opération al Baghdadi ne convaincra nullement ses adversaires que Trump soit doté de quelque compétence.
Trump est parti pour gagner l’élection de 2020.
Trump représente un danger « existentiel » pour ces décisionnaires occultes et provoque, depuis trois ans, une allergie viscérale au sein de l’État profond.
C’est la mise en accusation par l’homme théoriquement le plus puissant du monde de la trilogie infernale de la pensée unique, du politiquement correct et du terrorisme intellectuel.
Pour favoriser sa campagne 2020, Trump aurait tordu le bras du nouveau président ukrainien…
Donald Trump a bel et bien une méthode et une stratégie vis-à-vis de l’Iran ; mais il ne veut pas de morts et pense que les sanctions économiques finiront par aboutir à des meilleurs résultats.
Trump crie, menace, mais préfère finalement négocier que frapper. Heureuse évolution dont on espère qu’elle soit appelée à durer.
Et donc, ce manteau, il a fait quoi, pour créer la polémique ? Son prix ? L’équivalent de dix ans de salaire d’une famille de migrants ayant franchi le Rio Grande ?
L’autre avantage, avec l’ancien magnat de l’immobilier, demeure son inculture encyclopédique des affaires du vaste monde : imperméable aux idéologies du moment, il préfère creuser le sillon du pragmatisme.
Décidément, Trump marche dans les pas de notre Président sur certains sujets stratégiques.
Dans leur frénésie anti-Trump, des intellectuels et des médias s’en prennent non seulement au président américain mais aussi à la faiblesse, réelle ou supposée, des USA et de leur armée.
Exhiber la violence crue, nue, gratuite, stupide, indécente, abjecte pour la faire reculer ? C’est le pari lancé, en février dernier, par des élèves du trop tristement célèbre lycée de Columbine
À tout prendre, les Américains préfèrent organiser une passation avec le moins nocif des deux mouvements islamistes…
Efficacité plutôt qu’idéologie, c’est la recette des pays qui ont décidé de faire de l’immigration un atout économique. La France, hélas, persiste dans la démarche inverse…
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