USA vs Iran

Le candidat Trump prévint aussitôt qu’il était contre cet accord qu’il dénoncerait. Il le fit en 2018 et rétablit, en prime, les sanctions, obligeant les grandes entreprises françaises, Total en tête, à quitter l’Iran.

La plupart des médias ont vu dans la mort de Soleimani un « assassinat » mais quelques journalistes plus cultivés ont utilisé des euphémismes et périphrases tels : « a été tué », « liquidé » ou « exécuté ».

Quel meilleur repoussoir, pour Donald Trump, que l’élue de cette élite, principalement cantonnée dans les mégapoles des côtes de l’Est et de l’Ouest.

Contrairement à ce qui a été parfois raconté dans les médias, tout le monde n’a pas pleuré la mort de Soleimani en Iran, bien au contraire.

Ne reste plus qu’à savoir en quoi consistera la riposte iranienne, patrie des échecs, contre celle d’un poker souvent menteur.

Trump s’est entouré d’équipes bellicistes qui voient deux Carthage à détruire : la russe et l’iranienne.

Le général Qassem Soleimani, grande figure militaire en Iran, a été tué lors d’un raid américain à Bagdad, ce jeudi 3 janvier. Au micro de

Donald Trump a bel et bien une méthode et une stratégie vis-à-vis de l’Iran ; mais il ne veut pas de morts et pense que les sanctions économiques finiront par aboutir à des meilleurs résultats.

Macron, qui se croit un leader, s’entretient régulièrement avec son homologue iranien, Hassan Rohani, et rêve de jouer le rôle de médiateur dans la crise en cours.

Autant le Pentagone ne souhaite pas quitter totalement la Syrie afin de ne pas laisser le terrain libre à la Russie et à l’Iran, autant une intervention contre l’Iran l’inquiète beaucoup.

Il y a, certes, la guerre qui menace d’éclater entre les USA et l’Iran. Mais il y a surtout celle en cours à la Maison-Blanche, entre Donald Trump et une partie de son entourage…

La presse parisienne se perdant en conjectures sur la politique américaine fait intervenir ses « experts » pour tenter enfin de la décoder.

Le golfe Persique en train de nous emmener vers une déflagration mondiale ?

La vraie question, aujourd’hui, est de savoir ce que veut Donald Trump : veut-il attaquer l’Iran ou simplement le menacer ?

Le risque principal ne viendra ni de la Chine ni de l’Iran, mais des États-Unis eux-mêmes.

Paradoxalement, l’heure serait plus aux diplomates qu’aux pyromanes.

Ne pouvant envisager une invasion contre un pays de 80 millions d’habitants au nationalisme ombrageux, il utilise l’arme des sanctions, interdisant à tout pays de la planète de commercer avec l’Iran.

l’Union européenne se contentera, vraisemblablement, de suivre, comme d’habitude, les USA. Elle risque fort de se trouver, à nouveau, entraînée dans un conflit dont elle ne maîtrisera rien. Rien que du déjà-vu.

Le candidat Trump prévint aussitôt qu’il était contre cet accord qu’il dénoncerait. Il le fit en 2018 et rétablit, en prime, les sanctions, obligeant les grandes entreprises françaises, Total en tête, à quitter l’Iran.

La plupart des médias ont vu dans la mort de Soleimani un « assassinat » mais quelques journalistes plus cultivés ont utilisé des euphémismes et périphrases tels : « a été tué », « liquidé » ou « exécuté ».

Quel meilleur repoussoir, pour Donald Trump, que l’élue de cette élite, principalement cantonnée dans les mégapoles des côtes de l’Est et de l’Ouest.

Contrairement à ce qui a été parfois raconté dans les médias, tout le monde n’a pas pleuré la mort de Soleimani en Iran, bien au contraire.

Ne reste plus qu’à savoir en quoi consistera la riposte iranienne, patrie des échecs, contre celle d’un poker souvent menteur.

Trump s’est entouré d’équipes bellicistes qui voient deux Carthage à détruire : la russe et l’iranienne.

Le général Qassem Soleimani, grande figure militaire en Iran, a été tué lors d’un raid américain à Bagdad, ce jeudi 3 janvier. Au micro de

Donald Trump a bel et bien une méthode et une stratégie vis-à-vis de l’Iran ; mais il ne veut pas de morts et pense que les sanctions économiques finiront par aboutir à des meilleurs résultats.

Macron, qui se croit un leader, s’entretient régulièrement avec son homologue iranien, Hassan Rohani, et rêve de jouer le rôle de médiateur dans la crise en cours.

Autant le Pentagone ne souhaite pas quitter totalement la Syrie afin de ne pas laisser le terrain libre à la Russie et à l’Iran, autant une intervention contre l’Iran l’inquiète beaucoup.

Il y a, certes, la guerre qui menace d’éclater entre les USA et l’Iran. Mais il y a surtout celle en cours à la Maison-Blanche, entre Donald Trump et une partie de son entourage…

La presse parisienne se perdant en conjectures sur la politique américaine fait intervenir ses « experts » pour tenter enfin de la décoder.

Le golfe Persique en train de nous emmener vers une déflagration mondiale ?

La vraie question, aujourd’hui, est de savoir ce que veut Donald Trump : veut-il attaquer l’Iran ou simplement le menacer ?

Le risque principal ne viendra ni de la Chine ni de l’Iran, mais des États-Unis eux-mêmes.

Paradoxalement, l’heure serait plus aux diplomates qu’aux pyromanes.

Ne pouvant envisager une invasion contre un pays de 80 millions d’habitants au nationalisme ombrageux, il utilise l’arme des sanctions, interdisant à tout pays de la planète de commercer avec l’Iran.

l’Union européenne se contentera, vraisemblablement, de suivre, comme d’habitude, les USA. Elle risque fort de se trouver, à nouveau, entraînée dans un conflit dont elle ne maîtrisera rien. Rien que du déjà-vu.
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