USA
Trois cents ans après sa fondation, l’héritage colonial fait encore un peu de résistance.
Mais il faut bien le dire, « le Donald » fait plus penser au Docteur Folamour qu’au Prince de Machiavel…
En vérité, les Californiens font depuis des années leur miel de tous les délires écologistes…
Après le « tout est politique », tout devient psychiatrique.
La guerre de Corée n’en était pas une parce que le Congrès, seul habilité à déclarer la guerre, ne l’avait pas fait.
Le feuilleton russe continue, qui recycle en permanence de vieilles allégations en nouvelles.
L’ayatollah Ali Khamenei, commence par prévenir qu’il « ne faut pas jouer avec la queue du lion ».
Restait le dernier missile à ogives multiples… le sexe.
Est-ce que Trump est allé voir Poutine comme de Gaulle s’en était allé à Baden-Baden ? Pour se protéger contre l’actuel coup d’État rampant mené contre lui par la coalition des services secrets anglo-saxons ?
Donald Trump est ce qu’il est. Mais au moins a-t-il tenté de préserver un dialogue d’homme à homme.
Traduction : cher Donald, si tu ne rentres pas dans le rang, on va arrêter « tes proches » et tu n’auras que les yeux pour pleurer.
Est-il entre les mains de Poutine ? Des néoconservateurs ? Ou bien Trump veut-il tout simplement régler ses comptes ?
Ces politiques traduisent, voire déguisent, un échec : l’incapacité de mettre en œuvre une juste méritocratie…
Donald Trump veut faire des législatives de l’automne son référendum personnel.
En fait, 50 millions d’Américains vivent dans la pauvreté.
Il est dans l’intérêt de la France de mettre la question iranienne au centre du débat, quitte à se monter plus flexible sur les mesures protectionnistes prises par Trump.
Cette personnalité éminemment foutraque vient de nous administrer une magistrale leçon de politique.
Si la France avait eu la chance d’avoir un homme de sa trempe, notre avenir aurait été tout autre.
La Chine sera sans doute la première à profiter du retrait des entreprises européennes en Iran, ce qui ajoutera encore à sa spectaculaire montée en puissance.
L’Himalaya de la bien-pensance existe. Il est à Portland. Amis alpinistes, inutile de vous y attaquer : les pentes sont trop abruptes.
Donald Trump ne fait jamais que brailler un peu fort ce que des têtes mieux formées que la sienne murmurent tout bas depuis des décennies.
Le petit garçon caractériel Trump a pris le dessus.
C’est tellement énorme qu’on a envie d’en rire. Mais tout ce que fait ce type est énorme.
Après tout, Trump considère haut et fort que les guerres commerciales sont plus faciles à gagner que les expéditions coloniales des Bush.
La parfaite dramaturgie récemment déployée par la « bande des quatre » est impeccable.
En façade, les 14 premiers mois de la présidence Trump représentent un incontestable succès.
Trois cents ans après sa fondation, l’héritage colonial fait encore un peu de résistance.
Mais il faut bien le dire, « le Donald » fait plus penser au Docteur Folamour qu’au Prince de Machiavel…
En vérité, les Californiens font depuis des années leur miel de tous les délires écologistes…
Après le « tout est politique », tout devient psychiatrique.
La guerre de Corée n’en était pas une parce que le Congrès, seul habilité à déclarer la guerre, ne l’avait pas fait.
Le feuilleton russe continue, qui recycle en permanence de vieilles allégations en nouvelles.
L’ayatollah Ali Khamenei, commence par prévenir qu’il « ne faut pas jouer avec la queue du lion ».
Restait le dernier missile à ogives multiples… le sexe.
Est-ce que Trump est allé voir Poutine comme de Gaulle s’en était allé à Baden-Baden ? Pour se protéger contre l’actuel coup d’État rampant mené contre lui par la coalition des services secrets anglo-saxons ?
Donald Trump est ce qu’il est. Mais au moins a-t-il tenté de préserver un dialogue d’homme à homme.
Traduction : cher Donald, si tu ne rentres pas dans le rang, on va arrêter « tes proches » et tu n’auras que les yeux pour pleurer.
Est-il entre les mains de Poutine ? Des néoconservateurs ? Ou bien Trump veut-il tout simplement régler ses comptes ?
Ces politiques traduisent, voire déguisent, un échec : l’incapacité de mettre en œuvre une juste méritocratie…
Donald Trump veut faire des législatives de l’automne son référendum personnel.
En fait, 50 millions d’Américains vivent dans la pauvreté.
Il est dans l’intérêt de la France de mettre la question iranienne au centre du débat, quitte à se monter plus flexible sur les mesures protectionnistes prises par Trump.
Cette personnalité éminemment foutraque vient de nous administrer une magistrale leçon de politique.
Si la France avait eu la chance d’avoir un homme de sa trempe, notre avenir aurait été tout autre.
La Chine sera sans doute la première à profiter du retrait des entreprises européennes en Iran, ce qui ajoutera encore à sa spectaculaire montée en puissance.
L’Himalaya de la bien-pensance existe. Il est à Portland. Amis alpinistes, inutile de vous y attaquer : les pentes sont trop abruptes.
Donald Trump ne fait jamais que brailler un peu fort ce que des têtes mieux formées que la sienne murmurent tout bas depuis des décennies.
Le petit garçon caractériel Trump a pris le dessus.
C’est tellement énorme qu’on a envie d’en rire. Mais tout ce que fait ce type est énorme.
Après tout, Trump considère haut et fort que les guerres commerciales sont plus faciles à gagner que les expéditions coloniales des Bush.
La parfaite dramaturgie récemment déployée par la « bande des quatre » est impeccable.
En façade, les 14 premiers mois de la présidence Trump représentent un incontestable succès.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées