USA
L’acharnement de l’establishment à l’encontre du président américain devient préoccupant pour le monde occidental.
Donc Trump a eu une semaine phénoménale.
Le 8 novembre marquera le premier anniversaire de l’élection de Donald Trump. Avant lui, les choses étaient simples.
Trump est toujours assiégé. La machine infernale judiciaire est lancée.
Il semblerait que la liberté de recherche et d’expression des universitaires américains, s’agissant de l’Histoire, soit elle aussi mise à mal.
Une chose est sûre : on sait que l’on ne sait rien !
Trump a fustigé les « joueurs-millionnaires » au cours d’un flamboyant discours tenu en Alabama la semaine dernière.
Son discours reste dans la continuité directe de ceux de George W. Bush : la composante messianique reste la même.
Soit plus de 100 % du PIB. Elle augmente sans cesse et personne ne voit comment elle pourrait diminuer.
Son taux d’opinion favorable est de 30% (NBC). Et les démocrates ne voient pas la tournée promotionnelle de son livre d’un bon œil.
Trump sait que l’establishment républicain veut se faire réélire en 2018, tout en empêchant le président de gagner un deuxième mandat en 2020.
Il est d’usage de vouloir démolir les égéries de ses adversaires. Pas ses propres icônes. La démarche, on en conviendra, est assez, euh… originale.
On assiste aux Etats-Unis à un déboulonnage en règle des statues qui rappellent la Guerre de Sécession. Que révèle ce phénomène ?
Les Américains blancs ont souvent devancé les éventuelles exigences du « politiquement correct ».
Le maire de New-york va-t-il demander qu’on détruise tous les symboles de la conquête de l’Ouest ?
Après les manifestations de Charlottesville en Virginie, le souvenir de la guerre de Sécession (1861-1865) est quelque peu remonté à la surface.
Ce combat qui se trompe d’ennemi se poursuit de plus belle, aux États-Unis, avec le soutien de la majorité des médias du monde occidental.
Le Sud se voit à présent attaqué sur le dernier bastion qui lui reste : sa mémoire et son histoire.
L’Histoire est sans doute trop compliquée pour un Bill de Blasio, tout comme pour une Anne Hidalgo…
Il y a deux types de fascistes : les fascistes et les antifascistes.
VICE NEWS et HBO ont réalisé un documentaire au coeur de la manifestation de Charlottesville. L’horreur raciste en direct.
« Amérique terre de contrastes », comme disent les voyagistes.
Si l’on en croit la presse, Robert Lee serait un odieux raciste, fier partisan de l’esclavage. Or, rien n’est plus faux.
Le banquier Macron connaîtra un krach économique mondial et n’est pas sûr de terminer son mandat.
L’univocité des médias de toute nature au service de la bien-pensance risque d’éparpiller façon puzzle le peu de démocratie qui reste à nos scrutins.
Poussant ses adversaires à la faute, feignant l’incompétence, voire le dérangement mental, il organise le chaos afin de brouiller les pistes.
Les dix derniers jours de juillet ont été fertiles en contre-attaques trumpiennes, suivies de rebondissements intéressants.
L’acharnement de l’establishment à l’encontre du président américain devient préoccupant pour le monde occidental.
Donc Trump a eu une semaine phénoménale.
Le 8 novembre marquera le premier anniversaire de l’élection de Donald Trump. Avant lui, les choses étaient simples.
Trump est toujours assiégé. La machine infernale judiciaire est lancée.
Il semblerait que la liberté de recherche et d’expression des universitaires américains, s’agissant de l’Histoire, soit elle aussi mise à mal.
Une chose est sûre : on sait que l’on ne sait rien !
Trump a fustigé les « joueurs-millionnaires » au cours d’un flamboyant discours tenu en Alabama la semaine dernière.
Son discours reste dans la continuité directe de ceux de George W. Bush : la composante messianique reste la même.
Soit plus de 100 % du PIB. Elle augmente sans cesse et personne ne voit comment elle pourrait diminuer.
Son taux d’opinion favorable est de 30% (NBC). Et les démocrates ne voient pas la tournée promotionnelle de son livre d’un bon œil.
Trump sait que l’establishment républicain veut se faire réélire en 2018, tout en empêchant le président de gagner un deuxième mandat en 2020.
Il est d’usage de vouloir démolir les égéries de ses adversaires. Pas ses propres icônes. La démarche, on en conviendra, est assez, euh… originale.
On assiste aux Etats-Unis à un déboulonnage en règle des statues qui rappellent la Guerre de Sécession. Que révèle ce phénomène ?
Les Américains blancs ont souvent devancé les éventuelles exigences du « politiquement correct ».
Le maire de New-york va-t-il demander qu’on détruise tous les symboles de la conquête de l’Ouest ?
Après les manifestations de Charlottesville en Virginie, le souvenir de la guerre de Sécession (1861-1865) est quelque peu remonté à la surface.
Ce combat qui se trompe d’ennemi se poursuit de plus belle, aux États-Unis, avec le soutien de la majorité des médias du monde occidental.
Le Sud se voit à présent attaqué sur le dernier bastion qui lui reste : sa mémoire et son histoire.
L’Histoire est sans doute trop compliquée pour un Bill de Blasio, tout comme pour une Anne Hidalgo…
Il y a deux types de fascistes : les fascistes et les antifascistes.
VICE NEWS et HBO ont réalisé un documentaire au coeur de la manifestation de Charlottesville. L’horreur raciste en direct.
« Amérique terre de contrastes », comme disent les voyagistes.
Si l’on en croit la presse, Robert Lee serait un odieux raciste, fier partisan de l’esclavage. Or, rien n’est plus faux.
Le banquier Macron connaîtra un krach économique mondial et n’est pas sûr de terminer son mandat.
L’univocité des médias de toute nature au service de la bien-pensance risque d’éparpiller façon puzzle le peu de démocratie qui reste à nos scrutins.
Poussant ses adversaires à la faute, feignant l’incompétence, voire le dérangement mental, il organise le chaos afin de brouiller les pistes.
Les dix derniers jours de juillet ont été fertiles en contre-attaques trumpiennes, suivies de rebondissements intéressants.
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